Bel-Ami - Guy de Maupassant - Babelio
AccueilMes livresAjouter des livres
D�couvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Jacques Laurent (Autre)Philippe Bonnefis (�diteur scientifique)
EAN : 9782253009009
367 pages
Le Livre de Poche (01/08/1979)
  Existe en �dition audio
3.93/5   12985 notes
R�sum� :
Guy de Maupassant

Bel-Ami

Le monde est une mascarade o� le succ�s va de pr�f�rence aux crapules. La r�ussite, les honneurs, les femmes et le pouvoir: le monde n'a gu�re chang�. On rencontre toujours - moins les moustaches - dans les salles de r�daction ou ailleurs, de ces jeunes aventuriers de l'arrivisme et du sexe. Comme Flaubert, mais en riant, Maupassant disait de son personnage, l'odieux Duroy : " Bel-Ami, c'est moi." Et pour le cy... >Voir plus
Que lire apr�s Bel-AmiVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (466) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 12985 notes
Bel-Ami... Quelle belle d�couverte ! J'ai franchement beaucoup aim� cette lecture. C'est fluide et prenant, vraiment, et Maupassant nous offre une bonne palette de personnages de l'�poque, tous plus ou moins int�ressants mais avec un r�le certain dans l'intrigue, ce que j'appr�cie fortement; j'ai particuli�rement bien aim� le pessimisme (n�anmoins r�aliste) du po�te Norbert de Varenne - je crois d'ailleurs que Maupassant a mis un peu de lui dans ce personnage (ils sont tous les deux obs�d�s et d�vor�s par l'id�e de la mort, notamment).
C'est, en tout cas, radicalement diff�rent d'Une vie qui est beaucoup plus descriptif et qui nous embarque dans une atmosph�re beaucoup plus pesante (ce qui est le but voulu d'ailleurs), et �a ne m'a pas �tonn� de lire dans la postface que Bel-Ami a �t� �crit d'une traite, et sous forme de feuilleton � d'o� la permanente sensation d'�tre tenue en haleine -, alors qu'Une Vie a �t� �crit en 7 ans ! Je trouve aussi un c�t� tr�s � zolien � � Bel-Ami, ce qui m'a beaucoup plu !
Et puis George Duroy� J'adore les personnages passionn�s, donc j'adore George Duroy envers et contre tout ! Un Valmont plus moderne et un tout petit peu moins vil, un homme � femme comme je les aime (litt�rairement parlant, �videmment !), qui use de ses charmes pour s'�lever dans la soci�t�, mais qui malgr� toutes ses conqu�tes �ph�m�res et int�ress�es, reste attach� � Madame de Marelle, sa premi�re amante, vers qui il reste irr�sistiblement attir� et peut �tre la seule qu'il - et qui l' - aime vraiment.

Bref, j'ai vraiment pass� un excellent moment avec ce roman, et je le recommande � quiconque aurait envie de s'�vader dans une �poque lointaine et pourtant tr�s peu diff�rente de la n�tre pour ce qui est des aspirations et ambitions humaines�
Commenter  J�appr�cie�         2362
Bel-Ami �... ? Un bel ami, je n'en voudrais pas un pareil, en tout cas ! Personnage tout en fa�ade, en rondeurs, en joliesse, en d�clarations passionn�es mais creux � l'int�rieur, cynique, vide, de temps � autre se posant des questions sur la vie et la mort, mais finissant par d�clarer : � C'est b�te, tout �a �.

Oui, Maupassant m'a bien dup�e avec son Georges Duroy surnomm� � Bel-Ami � par des femmes d�soeuvr�es et contentes qu'un bel homme s'occupe d'elles. Car en ce 19e si�cle finissant, la soci�t� bourgeoise et aristocratique ne pense qu'� l'argent, qu'au pouvoir, le tout agr�ment� d'un batifolage de bon aloi. Georges Duroy se sert des femmes pour grimper dans l'�chelle sociale, lui qui est fils de paysans de Rouen, qui n'a m�me pas de dipl�me, qui est all� servir l'arm�e 2 ans en Afrique. Il se retrouve journaliste gr�ce � la rencontre d'un vieil ami, puis monte en grade gr�ce � la femme de cet ami. Et c'est l'engrenage, rien ne peut l'arr�ter...D'intrigues amoureuses en guet-apens politiques, ce jeune homme encore pardonnable au d�but devient LE parvenu par excellence, et l�, je l'ai d�test�.

Et les femmes, me direz-vous ? Eh bien, les femmes, Maupassant n'est pas tendre avec elles ! Ce sont soit des v�nales, soit des oies blanches... Il y en a une, quand m�me, qui attire l'attention, par son intelligence, son caract�re pos� et qui ne s'en laisse pas conter, et finalement, qui tombe dans le pi�ge de notre � h�ros �. M�me celle fid�le � son mari, � vierge de coeur �, d�gringole aussi, et de plus haut vu qu'elle semblait inattaquable.
Maupassant d'ailleurs excelle dans ses descriptions ! En voici une, je n'y r�siste pas : � Elle �tait un peu trop grasse, belle encore, � l'�ge dangereux o� la d�b�cle est proche. Elle se maintenait � force de soins, de pr�cautions, d'hygi�ne et de p�tes pour la peau. Elle semblait sage en tout, mod�r�e et raisonnable, une de ces femmes dont l'esprit est align� comme un jardin fran�ais. On y circule sans surprise, tout en y trouvant un certain charme. � Et encore une autre, allez, puis je me tais : � La soeur a�n�e, Rose, �tait laide, plate, insignifiante, une de ces filles qu'on ne voit pas, � qui on ne parle pas, et dont on ne dit rien �.
C'est tout dire...

Maupassant, je le connaissais, surtout dans ses nouvelles, et j'ai donc circul� dans � Bel-Ami � en terrain connu, avec un peu d'ennui par moments (oui, c'est vrai, il aurait pu expliquer cette ascension sociale sans scrupules en une nouvelle) mais aussi avec beaucoup de plaisir face � cette description sans fards de cette riche soci�t�. Ce n'est pas pour rien qu'il est devenu un � classique �.
Commenter  J�appr�cie�         2018
Bel-Ami est ind�modable ! Sur fond de journalisme et de d�ners mondains, cette fable (sans en avoir la forme, mais d�j� le fond) nous persuade que tout est possible (j'ai failli dire qu' "ensemble, tout devient possible" *humour*) ! Dans la France de la fin du XIXe, Duroy part de rien, mais arrive � tout ! Il choisit le journalisme presque par d�faut, il conquiert le coeur des femmes presque sans le vouloir, il cherche au fond l'impossible sans vraiment le savoir. Avec un cynisme aux abois, Maupassant peint la soci�t� qui l'entoure au vitriol. Comment ne pas y voir � chaque nouvelle g�n�ration de lecteurs une vision calquable sur les r�alit�s de notre �poque ? O� se situe le vrai bonheur ? La r�ussite doit-elle se faire � tout prix ? Bel-Ami ou comment r�pondre � des questionnements cruciaux, au plus pr�s de la soci�t�, tout en �vitant les longues descriptions lassantes de certains auteurs r�alistes du XIXe. � m�diter toujours une fois de plus !
Commenter  J�appr�cie�         1555
"Bel-Ami" ou comment partir d'un Georges Duroy pour devenir un Georges du Roy de Cantel : Voil� toute l'histoire de ce roman.

Maupassant en pleine possession de son talent de conteur-n� et ma�tre de son m�tier d'�crivain (comme le d�crit si bien Roger Martin du Gard) a cette facilit� � ma�triser le rythme de la narration, � incruster une description malicieuse, une pens�e fugitive d'un personnage, � varier les points de vue, et � introduire un dialogue avec � propos.

L'histoire de Georges est assez singuli�re. Cet homme m�diocre par sa condition, pantouflard, menant un train de vie ordinaire ; comme tout fonctionnaire de bas �tage, quelques jours heureux aux d�buts du mois et le reste dans l'indigence. Il n'avait ni ambition, sauf, peut-�tre, une envie vague de changer de situation. Il n'avait jamais pens� � mettre en oeuvre ses moyens (son air de beau gar�on) qu'il ignorait peut-�tre m�me. Et le voil� soudain devant l'occasion de sa vie ; son ami l'introduit dans une soci�t� int�ressante et le pousse dans le monde du journalisme. Certes Georges a �t� opportuniste, il faut l'admettre, voil� l'une de ses bonnes qualit�s. A partir de l�, il commence � s'accrocher, mais sans grands r�sultats d'abord, ensuite, son ascension se fait gr�ce aux femmes s�duites. Chacune d'elles aura une influence diff�rente sur son parcours. Au fur et � mesure, apparaissait le vrai caract�re de Georges ; homme pusillanime (notez son comportement dans l'affaire du duel), �go�ste, ingrat (envers son ami Forestier), sans scrupules ; en bref, un homme machiav�lique qui apprend vite et voit juste lorsqu'il le faut. Mais, ne le fait-il que pour se venger de cette soci�t� de riches ? n'est-il apr�s tout qu'une version r�ussie d'un Julien Sorel ? Regardez son comportement exemplaire envers ses parents.

Par ailleurs, ce roman nous pr�sente les bas-fonds du m�tier de journaliste. Mais surtout ce type de journaliste sans principe, qui vend sa plume au plus payant, qui travaille au profit des grands, qui manipule les lecteurs et publie de fausses nouvelles pour des fins mal�fiques. de plus, la plume impassible De Maupassant a mentionn� quelques �pisodes de l'Histoire de la France et ses relations avec l'Afrique du Nord.

Comparons maintenant la fin et le d�but du roman et le changement de situation de Georges : Sorti, au d�but, d'un restaurant de classe inf�rieure, avec quelques sous en poche vers la fin d'un mois, suscitant l'int�r�t de quelques simples ouvri�res, il sort, � la fin du roman, de l'�glise, glorieux et acclam� attirant les regards de tout Paris (comme le roi � la fin du "Seigneur des Anneaux").
Commenter  J�appr�cie�         1330
Que c'est bon !
Encore une fois Monsieur de Maupassant r�ussit � nous �blouir.
De l'obscur Georges Duroy au Bel-Ami du beau monde parisien, ce r�cit nous enseigne que vouloir c'est pouvoir.
Il faut dire que ce cher Duroy n'est pas tr�s regardant sur les principes pour gravir l'�chelle sociale et faire oublier ses origines.
Ce personnage est une v�ritable enflure mais c'est justement ce qu'il est qui lui donne toute sa force. Bel-Ami, c'est l'opportuniste avec un grand O. Comme quoi, il faut toujours se m�fier des petits, dans le panier de crabes c'est toujours les plus dangereux.
Ce livre est super, Maupassant n'a pas son pareil pour d�crire avec acidit� son semblable. C'est �crit avec classe et finesse, on en redemande. A lire!
Commenter  J�appr�cie�         1195

Citations et extraits (624) Voir plus Ajouter une citation
Il revint � grands pas, gagna le boulevard ext�rieur, et le suivit jusqu�� la rue Boursault qu�il habitait. Sa maison, haute de six �tages, �tait peupl�e par vingt petits m�nages ouvriers et bourgeois, et il �prouva, en montant l�escalier, dont il �clairait avec des allumettes-bougies les marches sales o� tra�naient des bouts de papiers, des bouts de cigarettes, des �pluchures de cuisine, une �c�urante sensation de d�go�t et une h�te de sortir de l�, de loger comme les hommes riches, en des demeures propres, avec des tapis. Une odeur lourde de nourriture, de fosse d�aisances et d�humanit�, une odeur stagnante de crasse et de vieille muraille, qu�aucun courant d�air n�e�t pu chasser de ce logis, l�emplissait du haut en bas.
Duroy, qui se sentait le coeur gai, ce soir-l�, dit, en souriant : "Vous avez du noir, aujourd'hui, cher ma�tre."
Le po�te r�pondit : "J'en ai toujours, mon enfant, et vous en aurez autant que moi dans quelques ann�es. La vie est une c�te. Tant qu'on monte, on regarde le sommet, et on se sent heureux ; mais, lorsqu'on arrive en haut, on aper�oit tout d'un coup la descente, et la fin, qui est la mort. Ca va lentement quand on monte, mais �a va vite quand on descend. A votre �ge, on est joyeux. On esp�re tant de choses, qui n'arrivent jamais, d'ailleurs. Au mien, on n'attend plus rien ... que la mort."
Duroy se mit � rire : "Bigre, vous me donnez froid dans le dos."
Norbert de Varenne reprit : "Non, vous ne me comprenez pas aujourd'hui, mais vous vous rappelerez plus tard ce que je vous dit en ce moment. Il arrive un jour, voyez-vous, et il arrive de bonne heure pour beaucoup, o� c'est fini de rire, comme on dit, parce que derri�re tout ce qu'on regarde c'est la mort qu'on aper�oit. Oh ! vous ne comprenez m�me pas ce mot-l�, vous, la mort. A votre �ge, �a ne signifie rien. Au mien, il est terrible. Oui, on le comprend tout d'un coup, on ne sait pas pourquoi ni � propos de quoi, et alors tout change d'aspect, dans la vie. Moi, depuis quinze ans, je la sens qui me travaille comme si je portais en moi une b�te rongeuse. Je l'ai sentie peu � peu, mois par mois, heure par heure, me d�grader ainsi qu'une maison qui s'�croule. Elle m'a d�figur� si compl�tement que je ne me reconnais pas : Je n'ai plus rien de moi, de moi l'homme radieux, frais et fort, que j'�tais � trente ans. Je l'ai vue teindre en blanc mes cheveux noirs, et avec quelle lenteur savante et m�chante ! Elle m'a pris ma peau ferme, mes muscles, mes dents, tout mon corps de jadis, ne me laissant qu'une �me d�sesp�r�e qu'elle enl�vera bient�t aussi. Oui, elle m'a �miett�, la gueuse, elle a accompli doucement et terriblement la longue destruction de mon �tre, seconde par seconde. Et maintenant je me sens mourir en tout ce que je fais. Chaque pas m'approche d'elle, chaque mouvement, chaque souffle h�te son odieuse besogne. Respirer, dormir, boire, manger, travailler, r�ver, tout ce que nous faisons, c'est mourir. Vivre enfin, c'est mourir !
... Moi, maintenant, je la vois de si pr�s que j'ai souvent envie d'�tendre les bras pour la repousser. Elle couvre la terre et emplit l'espace. Je la d�couvre partout. Les petites b�tes �cras�es sur les routes, les feuilles qui tombent, le poil blanc aper�u dans la barbe d'un ami, me ravagent le coeur et me crient : "La voil� ! "
Elle me g�te tout ce que je fais, tout ce que je vois, ce que je mange et ce que je bois, tout ce que j'aime, les clairs de lune, les levers de soleil, la grande mer, les belles rivi�res, et l'air des soirs d'�t�, si doux � respirer ! "
Il allait doucement, un peu essouffl�, r�vant tout haut, oubliant presque qu'on l'�coutait.
Il reprit : "Et jamais un �tre ne revient, jamais ... On garde les moules des statues, les empreintes qui refont toujours des objets pareils ; mais mon corps, mon visage, mes pens�es, mes d�sirs ne repara�tront jamais. Et pourtant il na�tra des millions, des milliards d'�tres qui auront dans quelques centim�tres carr�s un nez, des yeux, un front, des joues et une bouche comme moi, et aussi une �me comme moi, sans que jamais je revienne, moi, sans que jamais m�me quelque chose de moi reconnaissable reparaisse dans ces cr�atures innombrables et diff�rentes, ind�finiment diff�rentes, bien que pareilles � peu pr�s.
A quoi se rattacher ? Vers qui jeter des cris de d�tresse ? A quoi pouvons-nous croire ?
Toutes les religions sont stupides, avec leur morale pu�rile et leurs promesses �go�stes, monstrueusement b�tes.
La mort seule est certaine."
Je suis comme vous d'ailleurs et j'aime beaucoup lire dans les �chos de Paris le d�c�s d'un acad�micien. Je me demande tout de suite : " Qui va le remplacer ? " Et je fais ma liste. C'est un jeu, un petit jeu tr�s gentil auquel on joue dans tous les salons parisiens � chaque tr�pas d'immortel...
Avec un homme arriv� on sait ce qu'on prend ; avec un homme qui commence on ne sait pas o� il ira.
Il riait en pensant � ce rendez-vous. � Les �glises lui sont bonnes � tous les usages, se disait-il. Elles la consolent d'avoir �pous� un juif, lui donnent une attitude de protestation dans le monde politique, une allure comme il faut dans le monde distingu�, et un abri pour ses rencontres galantes. Ce que c'est que l'habitude de se servir de la religion comme on se sert d'un en-tout-cas. S'il fait beau, c'est une canne, s'il fait du soleil, c'est une ombrelle, s'il pleut, c'est un parapluie, et, si on ne sort pas, on le laisse dans l'antichambre. Et elles sont des centaines comme �a, qui se fichent du bon Dieu comme d'une guigne, mais qui ne veulent pas qu'on en dise du mal et qui le prennent � l'occasion pour entremetteur. Si on leur proposait d'entrer dans un h�tel meubl�, elles trouveraient �a une infamie, et il leur semble tout simple de filer l'amour au pied des autels. �

Videos de Guy de Maupassant (77) Voir plusAjouter une vid�o
Vid�o de Guy de Maupassant
Attention !!! Nouvel horaire pour l'�mission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Val�rie Expert et G�rard Collard vous donne rendez-vous chaque samedi � 13h30 pour vous faire d�couvrir leurs passions du moment ! � Retrouvez leurs derni�res s�lections de livres ici ! � � � le Grand Carnet d'adresses de la litt�rature � Paris de Gilles Schlesser aux �ditions Seguier https://www.lagriffenoire.com/le-grand-carnet-d-adresses-de-la-litterature-a-paris.html � Guy Savoy cuisine les �crivains, XVIIe si�cle de Guy Savoy et Anne Martinetti aux �ditions Herscher https://www.lagriffenoire.com/guy-savoy-cuisine-les-ecrivains-xviie-siecle.html � Histoire du Paris gastronomique: du Moyen Age � nos jours de Patrick Rambourg aux �ditions Perrin https://www.lagriffenoire.com/histoire-du-paris-gastronomique-du-moyen-age-a-nos-jours.html � C'est qui le chef ? de Cesare Zanoni, P�n�lope Zanoni aux �ditions Michel Lafon https://www.lagriffenoire.com/c-est-qui-le-chef--2.html � � l'ombre des �toiles - �tre l'enfant de Jules Verne, Verlaine, Maupassant, Colette, Picasso, Max Li de Frantz Vaillant aux �ditions du Cerf https://www.lagriffenoire.com/a-l-ombre-des-etoiles-etre-l-enfant-de-jules-verne-verlaine-maupassant-colette-picasso-max-linder-jacques-prevert-albert-camus-leo-ferre-et-boris-vian.html � le Portable de Christophe Wojcik aux �ditions H�lo�se d'Ormesson https://www.lagriffenoire.com/le-portable-1.html � Un papa vivant de Alice Taglioni aux �ditions Robert Laffont https://www.lagriffenoire.com/un-papa-vivant.html � Les disparus de la Durance de Sandrine Destombes aux �ditions Hugo Thriller https://www.lagriffenoire.com/les-disparus-de-la-durance.html � Woke fiction - Comment l'id�ologie change nos films et nos s�ries de Samuel Fitoussi aux �ditions du Cherche Midi https://www.lagriffenoire.com/woke-fiction-comment-l-ideologie-change-nos-films-et-nos-series.html � Les Monstres: L'Encyclop�die du Merveilleux - tome 4 de S�bastien Perez et Stan Manoukian aux �ditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/les-monstres-l-encyclopedie-du-merveilleux-tome-4.html � L'Enfance des m�chants, des vilaines et des affreux de Sebastien Perez et Benjamin Lacombe aux �ditions Margot https://www.lagriffenoire.com/l-enfance-des-mechants-des-vilaines-et-des-affreux.html � Victor Hugo Notre-Dame de Paris de Georges Bess et Pia Bess aux �ditions Gl�nat https://www.lagriffenoire.com/victor-hugo-notre-dame-de-paris.html Chinez & d�couvrez nos livres coups d'coeur dans notre librairie en ligne lagriffenoire.com � Notre cha�ne Youtube : Griffenoiretv � Notre Newsletter https://www.lagriffenoire.com/?fond=n... � Vos libraires passionn�s, G�rard Collard & Jean-Edgar Casel � � � #editionsseguier #editionsherscher #editionsperrin #editionsmichellafon #editionsducerf #editionsheloisedorm
+ Lire la suite
CONVERSATIONS et QUESTIONS sur ce livre Voir plus
autres livres class�s : classiqueVoir plus
Les plus populaires : Litt�rature fran�aise Voir plus



Lecteurs (51281) Voir plus



Quiz Voir plus

Au temps de Bel-Ami

Dans quelle ville se d�roule le roman ?

Bordeaux
Lille
Paris

12 questions
1922 lecteurs ont r�pondu
Th�me : Bel-Ami de Guy de MaupassantCr�er un quiz sur ce livre

{* *} .._..