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Traduction de "chef de gouvernement" en latin

Dux gubernationis, dux gubernationis sont les meilleures traductions de "chef de gouvernement" en latin. Exemple de phrase traduite : Certains Chefs d’État et de gouvernement, de nombreux responsables politiques, quelques Conférences épiscopales et des évêques individuellement m’ont récemment adressé des pétitions en faveur de la proclamation de saint Thomas More comme Patron des Responsables de gouvernement et des hommes politiques. ↔ Recens, quidam Civitatum Moderatores atque viri qui in re politica versantur, nonnullae Episcoporum Conferentiae singulique Episcopi a Nobis flagitarunt ut Patronus Rerum publicarum Moderatorum ac Virorum Mulierumque politicorum renuntiaretur sanctus Thomas Morus.

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  • Dux gubernationis

    personne placée à la tête du gouvernement dans un État

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Certains Chefs d’État et de gouvernement, de nombreux responsables politiques, quelques Conférences épiscopales et des évêques individuellement m’ont récemment adressé des pétitions en faveur de la proclamation de saint Thomas More comme Patron des Responsables de gouvernement et des hommes politiques.
Recens, quidam Civitatum Moderatores atque viri qui in re politica versantur, nonnullae Episcoporum Conferentiae singulique Episcopi a Nobis flagitarunt ut Patronus Rerum publicarum Moderatorum ac Virorum Mulierumque politicorum renuntiaretur sanctus Thomas Morus.
Mais, quelle que soit la forme de gouvernement, tous les chefs d'Etat doivent absolument avoir le regard fixé sur Dieu, souverain Modérateur du monde, et, dans l'accomplissement de leur mandat, le prendre pour modèle et règle.
Deum intueri, eumque sibi metipsis in administranda civitate tamquam exemplum legemque proponere.
Or, ce sont précisément ces intérêts religieux qui Nous imposent, en Italie, le devoir de réclamer sans relâche la pleine liberté requise pour Notre sublime fonction de Chef visible de l’Église catholique, préposé au gouvernement des âmes; liberté qui n’existe pas là où le vicaire de Jésus-Christ n’est pas chez lui, vrai Souverain indépendant de toute souveraineté humaine.
At vero hae adamussim Catholicae Religionis rationes Nos in Italia compellunt, ut ex officio plenam atque integram libertatem quam sublime munus, quo uti visibile Ecclesiae Catholicae Caput, et Fidelium animabus regendis praepositi, Nosfungimur, omnino exigit, sine intermissione postulemus: libertatem, quae ibi prorsus abest, ubi Iesu Christi Vicarius nequaquam summa potestate, nulli alii humanae potestati obnoxia, reipsa praeest.
37 - Cette délimitation des droits et des devoirs étant nettement tracée, il est de toute évidence que les chefs d'Etat sont libres dans l'exercice de leur pouvoir de gouvernement et, non seulement l'Eglise ne répugne pas à cette liberté, mais elle la seconde de toutes ses forces, puisqu'elle recommande de pratiquer la piété, qui est la justice à l'égard de Dieu, et qu'ainsi elle prêche la justice à l'égard du prince.
Qua posita iurium et officiorum terminatione, omnino liquet esseliberos ad res suas gerendas rectores civitatum: idque non modo non invita, sed plane adiuvante Ecclesia: quae quoniam maxime praecipit ut colatur pietas, quae est iustitia adversus Deum, hoc ipso ad iustitiam vocat erga principes.
Aussi, la majesté respectable et le pouvoir des rois sont devenus, chez le peuple révolté, l'objet d'une si grande hostilité que d'abominables traîtres, impatients de tout frein et animés d'une audace impie, ont tourné plusieurs fois, en peu de temps, leurs armes contre les chefs des gouvernements eux-mêmes.
Ex quo veneranda Regum maiestas et imperium tantam seditiosae plebis subiit invidiam, ut nefarii proditores, omnis freni impatientes, non semel brevi temporis intervallo, in ipsos regnorum Principes, impio ausu, arma converterint.
Le mariage n'est qu'une variété de l'espèce des contrats; il peut donc être légitimement dissout à la volonté des contractants. Les chefs du gouvernement ont puissance sur le lien conjugal.
Matrimonium ad negotiorum contrahendorum pertinere genus: rescindi ad voluntatem eorum, qui contraxerint, iure posse: penes gubernatores rei civilis esse in maritale vinculum potestatem.
Conformément à la doctrine du Concile Vatican II, on doit affirmer que la fonction d'enseigner (munus docendi) et celle de gouverner (munus regendi) – et donc le pouvoir correspondant de magistère et de gouvernement – dans l'Église particulière sont de par leur nature exercées par chaque Évêque diocésain dans la communion hiérarchique avec le Chef du Collège et avec le Collège lui-même.221 Cela n'affaiblit pas mais au contraire renforce l'autorité épiscopale, en ce sens que les liens de la communion hiérarchique qui unissent les Évêques au Siège apostolique exigent une coordination nécessaire entre la responsabilité de l'Évêque diocésain et celle de l'Autorité suprême, qui est dictée par la nature même de l'Église.
Ad Concilii Vaticani II doctrinam edici oportet munus docendi aeque ac munus regendi – scilicet congruentem magisterii regiminisque potestatem – in particulari Ecclesia ab unoquoque exerceri dioecesano Episcopo, propria natura, in hierarchica cum Collegii Capite ipsoque Collegio communione.221 Id episcopalem auctoritatem haud extenuat, immo roborat, quandoquidem hierarchicae communionis vincula, quibus Episcopi cum Apostolica Sede iugantur, necessariam dioecesani Episcopi ac supremae auctoritatis responsalitatis compositionem postulant, quam ipsa Ecclesiae natura requirit.
La communion des baptisés dans l'enseignement des Apôtres et dans la fraction du pain eucharistique est rendue visible par les liens de la profession de foi dans son intégralité, de la célébration de tous les sacrements institués par le Christ, et dans le gouvernement du collège des évêques unis à son chef, le Pontife romain [10].
Baptizatorum communio in Apostolorum doctrina fractioneque eucharistici panis manifestatur in vinculis professionis integrae fidei, celebrandorum omnium sacramentorum, quae Christus instituit, necnon regiminis Episcoporum Collegii, qui cum suo capite, Romano nempe Pontifice, iunguntur [10].
Précisément parce que le Synode est au service de la vérité et de l'Église, comme expression de la véritable coresponsabilité de la part de tout l'épiscopat uni à son Chef pour ce qui concerne le bien de l'Église, en donnant leur vote, consultatif ou délibératif, les Évêques, en même temps que les autres membres du Synode non revêtus du caractère épiscopal, expriment de toute façon leur participation au gouvernement de l'Église universelle.
Quandoquidem Synodus ipsa veritati inservit et Ecclesiae, quod veram corresponsalitatem totius episcopatus cum eius Capite coniuncti pro Ecclesiae beneficio demonstrat, in suffragio consultivo vel deliberativo ferendo Episcopi, una cum ceteris Synodi sodalibus, dignitate episcopali carentibus, regiminis Ecclesiae universalis participationem utique significant.
Mais pour que la justice préside toujours à l'exercice du pouvoir, il importe avant tout que les chefs des États comprennent bien que la puissance politique n'est faite pour servir l'intérêt privé de personne, et que les fonctions publiques doivent être remplies pour l'avantage non de ceux qui gouvernent, mais de ceux qui sont gouvernés.
Ut autem iustitia retineatur in imperio, illud magnopere interest, eos qui civitates administrant intelligere, non privati cuiusquam commodo politicam potestatem esse natam: procurationemque reipublicae ad utilitatem eorum qui commissi sunt, non ad eorum quibus commissa est, geri oportere.
En effet, si d'une part l'Évêque, pour exprimer en plénitude sa fonction elle-même et fonder la catholicité de son Église, doit exercer le pouvoir de gouvernement qui lui est propre (munus regendi) dans la communion hiérarchique avec le Pontife romain et avec le Collège épiscopal, d'autre part le Pontife romain, Chef du Collège, dans l'exercice de son ministère de pasteur suprême de l'Église (munus supremi Ecclesiæ pastoris), agit toujours dans la communion avec tous les autres Évêques, et même avec toute l'Église.225 Alors, dans la communion de l'Église, de même que l'Évêque n'est pas seul mais qu'il se réfère continuellement au Collège et à son Chef, et qu'il est soutenu par eux, de même aussi le Pontife romain n'est pas seul, mais il est toujours en référence aux Évêques et il est soutenu par eux.
Etenim si una ex parte Episcopus, ut suum ipsum in plenitudine obeat officium atque Ecclesiae suae catholicitatem fundet, proprium munus regendi exercere debet, in hierarchica cum Romano Pontifice episcopalique Collegio communione, ex altera parte Romanus Pontifex, Collegii Caput, suo in supremi Ecclesiae pastoris munere praestando, cum ceteris omnibus Episcopis in communione, immo cum tota Ecclesia, semper agit.225 In communione ergo ecclesiali, sicut Episcopus non est solus, sed usque ad Collegium refertur eiusque Caput et ipse ab iis sustinetur, sic etiam Romanus Pontifex non est solus, sed usque ad Episcopos refertur et ab ipsis sustinetur.
Le Concordat passé entre le Souverain Pontife et le gouvernement français, comme du reste tous les traités du même genre, que les Etats concluent entre eux, était un contrat bilatéral, qui obligeait des deux côtés: le Pontife romain d'une part, le chef de la nation française de l'autre, s'engagèrent donc solennellement, tant pour eux que pour leurs successeurs, à maintenir inviolablement le pacte qu'ils signaient.
Nempe Apostolicam Sedem inter et Rempublicam Gallicam conventio eiusmodi intercesserat, cuius ultro et citro constaret obligatio; cuiusmodi eae plane sunt, quae inter civitates legitime contrahi consueverunt.
À propos de cette doctrine lumineuse, qui reprend et développe les éléments théologiques et juridiques traditionnels, mon prédécesseur le Pape Paul VI pouvait dire à juste titre : « Or, Nous semble-t-il, le Concile a rappelé l'institution divine de l'autorité épiscopale, il a confirmé son rôle irremplaçable, mis en valeur ses pouvoirs pastoraux de magistère, de sanctification et de gouvernement, honoré son extension à l'Église universelle par la communion collégiale, précisé sa place dans la hiérarchie, renforcé sa coresponsabilité fraternelle avec les autres évêques à l'égard des besoins universels et particuliers de l'Église, et il l'a plus intimement associée au Chef de l'Église, centre constitutif du collège épiscopal, dans un esprit d'union subordonnée et de collaboration solidaire ».5
De hac lucida doctrina, quae contrahit et evolvit translaticia elementa theologica et iuridica, Paulus VI, Decessor Noster ven. mem., merito potuit affirmare: « Videtur Nobis episcopalis auctoritas ex Concilio exire denuo defensa in sua divina institutione, confirmata in sua necessaria actione, corroborata in suis pastoralibus muneribus docendi, sanctificandi et regendi, honorata in sua extensione ad Ecclesiam universalem per collegialem communionem, pressius explicata in sua collocatione hierarchica, corroborata a fraterna corresponsalitate cum ceteris Episcopis erga universales et particulares Ecclesiae necessitates atque magis sociata in spiritu submissae unionis solidalisque cooperationis cum capite Ecclesiae, centro Collegium episcopale constituente ».5