L’ex-comédienne Geneviève Sabourin, connue pour avoir harcelé l’acteur américain Alec Baldwin, vient d’être reconnue coupable d’entrave au travail d’un constable spécial.
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Les incidents qui lui ont valu cette accusation sont survenus il y a deux ans lorsqu’on a dû la sortir de force d’une salle de cour du palais de justice de Longueuil.
Lors de son procès, Mme Sabourin avait répété toujours vivre de la discrimination en lien avec «l’affaire Alec Baldwin», en référence avec son arrestation en 2012 aux États-Unis pour avoir harcelé l’acteur.
«Demain, cela fera 10 ans que j’ai été arrêtée à New York. Et 10 ans plus tard, je suis encore ici», a-t-elle lancé ce matin à son arrivée dans la salle d’audience du palais de justice de Longueuil.
Le juge l’a condamnée à une absolution conditionnelle et l’oblige à respecter une probation de trois ans.
«J’ai des blessures qui résultent de cet événement-là, et vous n’en parlez pas?», a lancé Mme Sabourin à l’attention du juge.