Élections législatives 2022. En Vendée, Benjamin André, candidat de Vendécologie

Benjamin André présente sa candidature aux élections législatives des 12 et 19 juin 2022 pour la 3^e circonscription de Vendée, qui s’étend sur le littoral de Bouin aux Sables-d’Olonne.

Qui êtes-vous ?

Habitant du Fenouiller depuis 15 ans, j’ai 22 ans et je suis étudiant à Nantes en master de droit de l’environnement. Avant de terminer ma dernière année, j’ai pris une année de césure pour me consacrer à ma candidature aux législatives et au nouveau parti que j’ai cocréé Vendécologie.

À Nantes, je me suis engagé dans le milieu associatif, en créant une épicerie solidaire pour étudiants en 2019. C’était juste au moment du Covid et nous avons distribué 60 tonnes de nourriture la première année alors que nous avions envisagé 15 tonnes. Une fois que vous avez commencé à vous engager, ça ne vous lâche plus.

Pourquoi vous présentez-vous ?

L’associatif ne permet pas de régler le problème. Le levier le plus fort à mon avis, celui qui permet le plus de moyens d’action sur l’origine du problème, c’est la politique. Aujourd’hui, il y a une fracture entre les citoyens et les élus mais aussi entre les générations. Les jeunes ont des difficultés à s’impliquer en politique et en sont même exclus. Avec Vendécologie, on cherche à rassembler, à retrouver du débat intergénérationnel, notamment autour de l’environnement.

Que voulez-vous défendre ?

Notre premier constat c’est l’urgence climatique à laquelle il faut répondre en se rassemblant au-delà des clivages politiques existants. Dans notre parti, les adhérents sont de couleurs politiques différentes mais partagent ce constat et nous voulons proposer une écologie du bon sens. Outre la protection de l’environnement, nous travaillons sur trois autres thématiques : le désert médical, un des grands maux de la Vendée ; la question démocratique, la connexion entre les élus et les citoyens et la formation professionnelle, l’accès des jeunes aux études supérieurs et à l’emploi. Déjà, si on travaille sur ces quatre thèmes à fond, je pense qu’on aura des idées qui nous occuperont pour cinq ans.