Napoléon BONAPARTE Napoléon Ier : généalogie par Philippe CAYEZ (phil0001) - Geneanet

H Napoléon BONAPARTE Napoléon Ier

(NapoléonBONAPARTE)
Empereur des Français - Roi d'Italie

  • Né le 15 août 1769 - Ajaccio, 2a004, Corse-du-Sud, Corse, FRANCE
  • Baptisé le 21 juillet 1771 - Cathédrale - Ajaccio, 2a004, Corse-du-Sud, Corse, FRANCE
  • Décédé le 5 mai 1821 - Longwood, Ile de Sainte-Hélène, ROYAUME-UNI,à l'âge de 51 ans
  • Inhumé le 15 décembre 1840 - Invalides - Eglise du Dôme - Paris, 75056, Paris, Île-de-France, FRANCE
  • Officier d'Artillerie - Général - Premier Consul

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

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 Événements


 Notes

Notes individuelles


fait - Adresse 01 : 1796 - Rue d'Antin - Paris (2ème) NO

fait - Ascendants : Ses père et mère sont cités dans son acte de baptême en 1771 - Ses père et mère sont cités dans son acte de mariage en 1796 NO

Caracteres physiques: De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même puis d’azur chargé d’une aigle d’or contournée, ailes déployées, empiétant un foudre du même Armes - Blason - Dynastie
Général en Chef de l'Armée de l'Intérieur lors de son mariage avec Marie Joseph Rose DETASCHER à Paris en l'an 4.
Empereur des Français (18 mai 1804 - 11 avril 1814, 12 mars 1815 - 22 juin 1815), Roi d'Italie. Officier d'artillerie, Général en chef des armées d'Italie et d'Egypte, Premier Consul, Empereur des Français. (filleul: Oscar I Bernadotte, konung av Sverige 1799-1859) (fils adoptif: Louis Napoléon Geoffroy-Château 1803-1858) (filleul: Napoléon-Joseph de Colbert, marquis de Chabanais 1805-1883) (filleule: Elisa Napoléone, princesse Baciocchi 1806-1869) (filleul: Napoléon, comte Daru 1807-1890) (filleul: Napoléon III Bonaparte, empereur des Français 1808-1873) (filleul: Zygmunt Krasiński, ordynat na Opinogórze 1812-1859) (filleul: Louis Alexandre Napoléon de Cassagnes de Beaufort, marquis de Miramon 1812-1856) (fils adoptif: Hippolyte Napoléon Geoffroy-Château) (filleule: x x +) (fils adoptif: Eugène de Beauharnais, Herzog von Leuchtenberg 1781-1824) (fille adoptive: Hortense de Beauharnais, reine de Hollande 1783-1837) (filleul: Napoléon-Julien Dupuy 1804) (filleul: Napoléon, vicomte du Châtel 1804-1884) (filleul: Napoléon Law, comte de Lauriston 1805-1866) (filleule: Napoline de Caffarelli 1805-1871) (filleul: Prosper, marquis de Chasseloup-Laubat 1805-1873) (filleul: Napoléon Marie de Nompère, comte de Champagny 1806-1872) (filleul: Philologue Napoléon Theil 1808) (filleul: Napoléon Guyot 1810-1849) (filleul: Napoléon, baron de Ménéval 1813-1899) (filleule: Napoléone de Montholon-Sémonville 1816-1907) (filleule: Joséphine de Montholon-Sémonville 1818-1819). (Notes et Sources relevées sur Généanet - Généastar - Ascendance de Napoléon Ier).
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même
puis d’azur chargé d’une aigle d’or contournée, ailes déployées, empiétant un foudre du même
Individu_BONAPARTE_Napoléon_12885_1.jpgIndividu_BONAPARTE_Napoléon_12885_2.jpg
Filleul : Oscar I Bernadotte, konung av Sverige 1799-1859 - Fils adoptif : Louis Napoléon Geoffroy-Château 1803-1858 - Filleul : Napoléon-Joseph de Colbert, marquis de Chabanais 1805-1883 - Filleule : Elisa Napoléone, princesse Baciocchi 1806-1869 - Filleul : Napoléon, comte Daru 1807-1890 - Filleul : Napoléon III Bonaparte, empereur des Français 1808-1873 - Filleul : Zygmunt Krasiński, ordynat na Opinogórze 1812-1859 - Filleul : Louis Alexandre Napoléon de Cassagnes de Beaufort, marquis de Miramon 1812-1856 - Fils adoptif: Hippolyte Napoléon Geoffroy-Château - Filleule : x x + - Fils adoptif: Eugène de Beauharnais, Herzog von Leuchtenberg 1781-1824 - Fille adoptive : Hortense de Beauharnais, reine de Hollande 1783-1837 - Filleul : Napoléon-Julien Dupuy 1804 - Filleul : Napoléon, vicomte du Châtel 1804-1884 - Filleul : Napoléon Law, comte de Lauriston 1805-1866 - Filleule : Napoline de Caffarelli 1805-1871 - Filleul : Prosper, marquis de Chasseloup-Laubat 1805-1873 - Filleul : Napoléon Marie de Nompère, comte de Champagny 1806-1872 - Filleul : Philologue Napoléon Theil 1808 - Filleul : Napoléon Guyot 1810-1849 - Filleul : Napoléon, baron de Ménéval 1813-1899 - Filleule : Napoléone de Montholon-Sémonville 1816-1907 - Filleule : Joséphine de Montholon-Sémonville 1818-1819. (Notes et Sources relevées sur Généanet - Généastar - Ascendance de Napoléon Ier).
Sources : Personne : Descendance de Jos. ; H.de La Villarmois (d'Hozier VII 1ère partie), S. Bontron (Franqueville, Le premier siècle de l'Institut de France, I, 129-130, n° 154), C. Donadello, F.B. Briès illustration 12/06/09, J.-P. de Palmas (Fondation Napoléon et iconographie) i2010 - Naissance : S. Bontron (Franqueville, Le premier siècle de l'Institut de France, I, 129) - Baptême : P. Ract Madoux (Auguste Jal : "dictionnaire critique...") 14 iii 2008 - Décès : S. Bontron (Franqueville, Le premier siècle de l'Institut de France, I, 129) - Enterrement : S. Bontron (site des invalides) - inhumé initialement, jusqu'au 15 octobre 1840 à Sainte-Hélène aux abords d'une source, à l'ombre de quelques saules pleureurs, dans la "vallée du Géranium" - Famille : J. Perot 12 III B2008 (Le Marois). (Notes et Sources relevées sur Généanet - Généastar - Ascendance de Napoléon Ier).

Notes concernant l'union

Union avec Eléonore DENUELLE de LA PLAIGNE:
Les comtes Léon descendants de Napoléon (relevé d'un post sur généanet du jeudi 23 juin 2011, par Micheline Pasquet).
Le comte Léon est l’arrière petit-fils non légitimé de Napoléon et de Éléonore Denuelle de la Plaigne.
Éléonore était lectrice de Caroline Murat et également son amie de pension de Saint-Germain en Laye chez Madame Campan. C’est à l’occasion d’une réception chez Caroline, princesse impériale épouse de Murat, qu’ils se sont rencontrés. Le 26 janvier 1806, Caroline présente à Éléonore son frère Napoléon, qui vient de rentrer à Paris auréolé du soleil d’Austerlitz. Napoléon la trouve fort délicieuse. Cette jeune personne svelte, belle, grande, brune, aux yeux noirs du nom de Denuelle de la Plaigne, famille qui portait depuis Henri II la couronne Comtale. Elle tombe sous le charme du conquérant et une idylle se déclare en février 1806.
Elle est reçue régulièrement aux Tuileries. Napoléon l’installe dans un petit hôtel particulier, 29 rue de la victoire à Paris, avec une confortable pension.
Suite à cette rencontre, un petit garçon prénommé Charles verra le jour le 30 décembre 1806 à Paris. Napoléon apprenant cette nouvelle à Pulstuk sera très heureux, d’autant plus qu’il croyait être stérile selon les dires de Joséphine !
Il souhaitait légitimer cet enfant mais son entourage l’en dissuade. On lui donnera le nom de Léon d’après les trois dernières lettres du nom de son père. Il sera appelé le comte Léon.
Éléonore ne reverra jamais Napoléon. Il refusa de la recevoir lorsqu’elle se présenta à Fontainebleau.
Ce fils sera confié à plusieurs nourrices et sera ensuite élevé par le couple Mathieu de Mauvières. Lui, notaire et futur baron d’Empire demeurant en Seine et Oise.
L’enfant est choyé par Caroline et Napoléon. Il sera souvent conduit aux tuileries. Sa ressemblance avec Napoléon était frappante, ce qui écarte tous les soupçons qui laissaient supposer que Murat pouvait être le père…
En 1826, ce jeune romantique de vingt ans, désœuvré est attiré par les tentations du siècle, maison de jeux, aventures, etc. Il a une confortable fortune qu’il dilapide, et se retrouve même en prison pour dettes.
Il suivra le cortège qui ramène les cendres de son père en 1848.
En 1853, il rencontre une couturière qu’il épouse en 1865 et de leur union naîtra deux fils : Charles 2e comte Léon et, Gaston 3e Comte Léon.
Gaston Léon, né le 21 novembre 1886 à Lavonnières Indre et Loire, aura un fils nommé Gaston Fernand, 4e comte Léon, ce comte qui intéresse Gagny.
Le comte Gaston Fernand Léon, après avoir été baptisé tardivement, va étudier au petit séminaire de Paris, au Lycée Montaigne puis au Lycée saint Louis. Il se trouvait souvent, comme beaucoup de lycéens Parisiens près de la fontaine Saint-Michel à Paris. C’est là qu’il rencontra et qu’il fit la cour à une jeune fille, modiste de son emploi, qui était de plus bonapartiste.
Il sera employé comme représentant dans les vins et alcools et, à 34 ans, il rentre à la T.C.R.P. (société de Transports en Commun de la Région Parisienne fondée en 1921. Les numéros de lignes de 101 à 199 étaient attribués aux autobus et trolleybus de la banlieue. La T.C.R.P. a pris la dénomination de la R.A.T.P. beaucoup plus tard).
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En 1928, Monsieur Le comte Léon et Madame la comtesse s’installeront à Gagny, au 2 allée Henri IV près des Sept Iles dans le quartier de Maison Rouge, et pendant de nombreuses années. Plus tard ils résideront au Raincy, ville dans laquelle ils ont fêté leurs noces de diamant le 21 novembre 1971.
Seuls souvenirs d’Éléonore, pour l’arrière petit-fils, deux petits carrés de soie brodés, comme on lui avait appris chez Madame Campan, ouvrages de jeunes filles, dont l’un porte en écriture appliquée « à mon père ».
Monsieur Léon était contrôleur sur la ligne d’autobus n° 112 qui assurait le trajet des voyageurs de Montfermeil au Raincy. Et selon les confidences faites à Monsieur Jean Astruc : « C’est moi qui ait enterré le 112, dit-il en se souvenant de cet évènement » [1].
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Monsieur le comte Gaston Fernand Léon est décédé en 1976.
Partisan Bonapartiste, il citait cette phrase « moi l’enfant du peuple, je plaisais aux dirigeants, j’évoquais le Bonaparte consulaire, j’étais sans titre et je venais aux réunions en costume de la TCRP ».
À Gagny, nous avons des personnalités qui ne sont pas toujours connus. Gardant une très grande discrétion, se fondant dans les milieux les plus simples mais, pas les moins honorables.
Sources : documents personnels et Archives communales de Gagny.

Union avec Marie Louise d'AUTRICHE:
Projet de mariage, le choix de la fiancée
[Lettre d'information de Napoleon.org, Fondation Napoléon] - (Notes et Sources relevées sur Généanet - Généastar - Ascendance de Napoléon Ier).
Maintenant que son union avec Joséphine avait été dissolue (?), la priorité pour Napoléon était désormais de se marier afin d'assurer sa succession. Un conseil privé se tint le 21 janvier 1810 durant lequel les conseillers de l'Empereur (Cambacérès, Murat, Berthier, Champagny, Lebrun, Eugène, Talleyrand, Fontanes et Maret) donnèrent leur opinion sur les trois fiancées potentielles : Maria Auguste, Princesse de Saxe, la Grande duchesse, Anna Pavlovna, la plus jeune des soeurs d'Alexandre Ier et l'Archiduchesse d'Autriche Marie-Louise de Habsbourg-Lorraine.
D'après les mémoires de Cambacérès le choix se discuta entre Anna Pavlovna (âgée tout juste de quinze ans) et Marie-Louise. Mais Napoléon écarta rapidement la Grande duchesse comme il l'indiqua dans une lettre à Champagny en date du 6 février 1810 :
« L'Empereur y a remarqué que la princesse Anne n'était pas encore réglée ; que quelques fois les filles restent deux années entre les premiers signes de nubilité et la maturité ; que rester trois ans sans espérance d'avoir des enfants contrarierait les intentions de l'Empereur ». [ Correspondance de Napoléon Ier, réimpression de l'édition du Second Empire, 2002, n° 16210].
En vérité, ce refus d'épouser la princesse russe résultait du temps pris par la cour de Russie pour répondre à la demande française. L'impératrice douairière et mère de la promise, Maria Fedorovna, avait seule autorité pour décider du mariage de ses filles, mais si elle affirma son désaccord en tant que mère, elle laissa à son fils Alexandre le soin de décider pour des raisons politiques. Ce dernier était contre le mariage, mais sa réponse tardait (et c'est ainsi que les courriers français et russes se croisèrent). Le temps pressant, Napoléon décida de tenir la Russie au courant de sa décision, il écrivit alors à Champagny la même nuit :
« Demain au soir, quand vous aurez signé avec le prince Schwarzenberg, vous en expédierez un second pour faire connaître que je suis décidé pour l'Autrichienne ». [Lettre de Napoléon à Champagny en date du 6 février 1810, Correspondance de Napoléon Ier, réimpression de l'édition du Second Empire, 2002, n° 16211].
Maintenant que le choix final s'était porté sur Marie-Louise, les préparatifs commencèrent et les instructions furent données à Louis-Guillaume Otto, ambassadeur de France en Autriche :
«Le courrier portant le contrat de mariage pouvant arriver le 13 de ce mois à Vienne, il pourra [Otto] en expédier un le 14, avec l'assurance des ratifications, il arrivera à Paris le 21. Le Prince de Neuchâtel, étant destiné à être envoyé comme ambassadeur extraordinaire pour demander la princesse en mariage, pourra partir le 22 ; il arrivera à Vienne le 28 ou le 29, et fera la demande le lendemain de son arrivée. [...] Le mariage pourra se faire le 2 mars. La princesse achèvera le carnaval à Vienne et en partira le 7, jour des Cendres. On arrangera les choses de manière qu'elle puisse arriver vers le 26 à Paris. » [Correspondance de Napoléon Ier, réimpression de l'édition du Second Empire, 2002, n° 16218]
Tout se déroula à peu près comme prévu et Marie-Louise arriva à Compiègne le 27 mars 1810.

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

Giuseppe BUONAPARTE 1713-1763 Maria-Saveria PARAVICINI 1717-1746..1750 Giovanni Geronimo RAMOLINO 1723-ca 1755 Angela-Maria de PIETRA SANTA 1725-1790..1795
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Carlo Maria BUONAPARTE 1746-1785 Letizia Madame Mère RAMOLINO 1750-1836
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Napoléon Napoléon Ier BONAPARTE, Empereur des Français - Roi d'Italie 1769-1821