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BREST - Actu urbaine & architecturale

4M views 16K replies 221 participants last post by  braveo 
#1 · (Edited)
Bonjour!

J'ouvre ici un nouveau thread sur Brest.
Ce n'est pas tache aisée tant donné qu'aucun thread ne dure longtemps sur le sujet, actualité moins régulière oblige.

Il y a tout de même des actions très interessantes menées dans la ville du Ponant, et je m'engage à publier régulièrement des infos. Toutes les réactions -constructives- sont les bienvenues!
 
#3 ·
Halles St Louis

Le futur des Halles St Louis en 2011. Le permis de construire a normalement été déposé en octobre, les travaux devraient démarrer courant 2009.

Les Halles abriterons une "locomotive commerciale", Planet Saturn, une moyenne surface alimentaire, et bien sûr les commerces déja présent ainsi que les halles, agrandies et modernisées.
A citer aussi un parking agrandit, des habitations sur le toît et la piétonnisation du parvis ainsi que des rue adjacentes.


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#9 · (Edited)
Pont de Recouvrance

Le 3eme numero de "Au Fil Du Tram", sorti le 5/11/2008 fait la part belle à la rénovation du pont de Recouvrance, essentiellement le remplacement du tablier et l'élargissement des deux viaducs:


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Extraits:

Brest métrople océane souhaitait profiter de l’opportunité du tramway pour améliorer les cheminements piétons et vélos entre les deux rives. La solution retenue mi-septembre 2008 privilégie une silhouette rajeunie mais proche du modèle actuel, avec une travée centrale élargie de 2,60 m de part et d’autre des pylônes, pour la circulation des piétons et des deux roues.

« Il s’agit d’abord de renforcer la structure actuelle du pont afin qu’il supporte une charge nouvelle. À cette fin, la travée centrale sera remplacée par une nouvelle. Le treillis de poutres métalliques ajourées qui l’encadre sera rénové lui aussi. La forme en sera adoucie, arrondie. Les travées d’accès et les appuis (sortes de viaducs entre les rives et les pylônes) sur lesquels repose le pont, seront renforcés, au moyen de câbles et de béton », explique Véronique Gélébart, responsable des infrastructures du tramway à la SemTram.

Le cahier des charges préconisait d’apporter un soin particulier au passage des piétons et des cycles, la chaussée centrale étant réservée au tramway et véhicules. Des encorbellements les accueilleront de part et d’autre du pont, avec des espaces plus larges, sortes de petits belvédères, au niveau de chaque pylône. La protection contre le vent sera étudiée. L’idée est d’associer transparence et confort ».

Quant aux automobiles, elles continueront naturellement à circuler sur le pont et partageront la chaussée centrale avec le Tram. Un système de feux, à chaque extrémité, organisera la circulation. Les responsables du projet ont également prévu un mécanisme d’aiguillage, qui évitera au tramway de rester immobilisé lors des levées du pont.


La lettre d'information complete est disponible ici en format PDF:

http://www.letram-brest.fr/portail/infos-tram
 
#11 · (Edited)
LE PLATEAU DES CAPUCINS:

Au plein centre de la ville, le Plateau des Capucins est une composante majeure de l'Espace Penfeld. Cet espace, qui tient son nom de la rivière Penfeld, est un territoire militarisé - siège d'une partie des activités de l'Arsenal de Brest - qui, sur décision de l'Etat, est partiellement transféré à la Communauté urbaine de Brest métropole océane.

A quarante mètres au-dessus de la mer
Il s'agit, en premier lieu, du Port du Château à l'embouchure de la rivière avec la création d'un port de plaisance et d'escales d'une capacité de 575 anneaux dont les travaux sont en cours pour une ouverture à l'automne 2008.
Avec ce nouvel équipement, Brest conforte sa place de premier port breton de plaisance.
Il s'agit dans un second temps de l'aménagement du Plateau des Capucins : à quarante mètres au dessus du niveau de la mer, c'est un espace de 12 hectares qui domine, en belvédère le cœur historique de la cité.

Un nouveau quartier au cœur de la ville:

1- L'objectif premier de ce projet d'aménagement est de réaliser à terme un nouveau quartier de centre ville valorisant les grandes fonctions métropolitaines de l'agglomération inscrites dans une dynamique de métropole régionale.

2- Le second objectif, à l'échelle de la ville, est de réaliser à partir d'une situation de centralité exceptionnelle un nouveau quartier le plus attractif possible, porteur d'image, en exploitant les multiples atouts du site (son ampleur, sa topographie, son patrimoine...). Afin de renforcer son attractivité future, le plateau bénéficiera, à partir de 2012, d'une desserte directe par le tramway.

Le programme:

Emprises foncières
Grands Ateliers : 30 800 m²
Plateau supérieur : 68 460 m²
Total : 99 260 m²

Terrain Quéliverzan : 13 670 m²
Terrain Pontaniou : 6 500 m²
Total : 120 180 m²

Répartiton par activités
Activités tertiaires : 38 830 m²
Eq. publics/culturels : 19 800 m²
Programme habitat : 40 630 m²
Total : 99 260 m²





Zoom sur le "Plateau des Capucins":

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Bureaux, logements et commerces en haut:

Plus plane, la partie haute du plateau accueille les 500 logements prévus, les 38 000 m² de bureaux et les commerces. Le lien de ce premier secteur avec les ateliers en contrebas se fait alors par paliers successifs dont le premier est constitué d'une place centrale. Trois passerelles permettent ensuite d'accéder aux ateliers par le niveau haut de ceux-ci ou par des escaliers. L'ensemble sera desservi par une promenade de 400 mètres à vocation "déplacements doux".

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Industries créatives en bas:

Le niveau inférieur du site abrite un vaste bâtiment industriel d'une superficie de 2,5 hectares (les Grands Ateliers) dont la restauration et la programmation sont des enjeux cruciaux.
Le programme rassemblera en un même lieu des acteurs privés et publics de trois filières porteuses : l'image et le son, les arts et le design, les sciences et technologies de la mer.
Sur cette image, le quartier vu des ateliers : la promenade, la place centrale et les passerelles d'accès aux ateliers.

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#12 · (Edited)
Les Capucins

Merci à Adrienbrody pour les infos ci-dessus :)

Le plateau des Capucins est un lieu patrimonial, comme chacun le sait. Mais le patrimoine n'est pas qu'en surface. Comme le reste de l'aire historique de Brest, le sous-sol à été inversti par les militaires au fil du temps.

Ces infrastructures ayant été modernisées, raccordées et amplifiées dans le contexte de la guerre froide (le mythe ici n'en est pas un), les installations des Capucins, plus anciennes & isolées ont alors été abandonnées.

Une visite s'impose...

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#13 · (Edited)
Travaux Axe Collet-Sebastopol

Les Commerçants s'inquietent

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Les travaux « font mourir la rue Yves-Collet »

Rue et trottoirs éventrés depuis deux mois. Les commerçants se regroupent en association pour énoncer leurs préjudices.
« C'est sympa Paris plage. Même si on n'a que des vahinés en gilets jaunes ». Et montées sur tractopelles ! Une cuillerée d'ironie qui ne couvre pas les tas de sable, les barrières, les trous, les passerelles... La vingtaine de commerçants de la rue Yves-Collet vit une drôle de guerre des tranchées. Les pieds dans la gadoue quand il pleut et recouverts de poussière le reste du temps, quand il va pleuvoir.

Depuis début septembre, la rue du centre-ville est éventrée pour y refaire les réseaux, avant que le trafic de Jean-Jaurès y soit dévié lors des travaux du tramway. L'ensemble est fermé à la circulation. Les piétons téméraires slaloment entre les engins de chantier grattant la terre ou arrachant les lampadaires. Drôle d'endroit pour acheter un surf par exemple.

« Je viens parce que j'habite le quartier et le pain est bon, explique une cliente de la boulangerie. Mais il faut parfois mettre des bottes ! » Le commerce aurait déjà perdu 25 à 30 % de son chiffre d'affaires.

« Erreurs de communication »

Les gérants en colère montent une association des Commerçants de la rue Yves-Collet. « Pas pour pleurnicher », selon Emmanuelle Cudennec (enseignes Zazou et Tout le Bonheur du Monde), mais pour être entendus. Dans cette rue, devenue « un vrai gruyère », elle regrette que « les promesses de trottoirs accessibles et de circulation alternée » n'aient pas été tenues.

Personne ne conteste les travaux et leur bonne réalisation, mais pour Mathieu Hurier (Swell Addiction), « c'est inacceptable sur la forme ». Il ne voit pas le balisage promis pour dire que les enseignes restent ouvertes. « On doit prendre sur nous les erreurs de communication de la ville. Ce n'est pas normal. »

Comme ses voisins, Emmanuelle Cudennec reproche à la collectivité de n'avoir prévenu que « trois jours avant les travaux », alors que ses stocks ou sa collection hiver étaient déjà commandés. Beaucoup ne comprennent pas pourquoi les commerçants des rues Jean-Jaurès et Siam seront indemnisés et pas eux, sous prétexte qu'ils ne font pas partie de l'enveloppe tramway. « Je ne demande pas l'aumône », lâche Jean-Pierre Manzonini, dont le Comptoir électronique est retranché derrière un beau tas de sable. Mais il estimerait légitime une exonération de droit d'enseigne et de taxe professionnelle.

Après une pause fin novembre, les travaux doivent reprendre en janvier. « Ils font mourir la rue », estime Emmanuelle Cudennec. « Personne n'a la trésorerie pour tenir six mois ».

Sébastien PANOU.

Le maire, Mr Cuillandre, à bien entendu eu droit de réponse:​
On ne fait pas les travaux pour embêter les commerçants

François Cuillandre, les commerçants de la rue Yves-Collet commencent à sérieusement s'inquiéter, voire s'agacer, des conséquences des travaux. Des mesures particulières seront prises pour préserver l'activité pendant les fêtes ?

Oui. Entre la rue Hugo et la rue Saint-Martin, les travaux vont être stoppés entre le 21 novembre et le 19 janvier. Au départ, nous avions prévu de les arrêter seulement du 12 décembre au 12 janvier.

Dans ce dossier, la communication a péché ?

Le calendrier n'était pas simple. Si BMO avait fait le travail d'information en juin, on lui aurait reproché de l'avoir fait trop tôt. En juin, le conseil de quartier a été informé; durant l'été, chaque commerçant a été visité, individuellement ; en août, nous avons installé des panneaux d'information. Je le reconnais, ils n'étaient pas très informatifs. Nous allons y remédier. Mais nous n'avons pas le goût du secret, comme je l'entends dire parfois...

Les commerçants aimeraient bénéficier d'une indemnisation, comme dans le cadre des travaux du tramway.

Le chantier de l'axe Yves-Collet-Sébastopol n'a rien à voir avec le tram. Il faut le relier à l'anneau du centre-ville, qui permettra d'en faire le tour sans descendre par Jaurès et Siam. C'est l'une des dernières portions à réaliser. En revanche, il est exact que ces travaux seront utiles une fois le tram réalisé : ils permettront aux voitures de venir.

Et pour l'indemnisation ?

L'indemnisation pour dommage dû aux travaux n'existe pas dans la loi. Sauf s'il est « anormal et spécial ». Dans ce cas, c'est vers le tribunal administratif qu'il faut se tourner. Et puis, quand le chantier sera achevé, je pense que les commerçants et les riverains en tireront un bénéfice.

Olivier PAULY.

Publié le 07/11/2008 dans Ouest-France


Je me garderais de donner mon avis sur ce dossier, mais on ne me reprochera pas de dire que la rue Y.Collet n'est pas un paysage très exitant. Pour faire court je dirais que ce n'est pas du luxe.
De plus, de ma propre observation de diverses villes de France, BMO est en tête de classement lorsqu'il s'agit de mener une opération de voirie rapidement & efficacement. Il s'agit quand même ici de remettre à jour tout les réseaux. Parlez-en aux rennais.
J'espère que lors des travaux qui attendent Brest dès à présent, tout le monde fera preuve de bonne volontée pour l'interet commun.
 
#14 ·
Tramway : Brest et Dijon font rames communes

Brest et Dijon vont lancer un appel d'offre commun pour acheter les rames de leur tramway. Avec 52 rames commandées, les deux villes espèrent réaliser des économies importantes.

Qu'est-ce que Brest, ville portuaire, et Dijon, ville la plus éloignée des mers, ont en commun ? Outre que leurs maires se prénomment tous deux François, sont socialistes et amis de longue date, elles auront le même tramway bientôt. Hier, à Paris, au salon des maires, François Cuillandre et François Rebsamen ont signé une convention pour passer un appel d'offres pour la fourniture des rames de leur tramway respectif.

Les deux communutés vont commander 52 rames : 20 pour Brest et 32 pour Dijon. Cette dernière a besoin de plus de rames, car elle construit deux lignes de tramway d'un coup. A raison de 2,5 millions le prix unitaire, cela fait une dépense théorique de 130 millions d'euros. Mais les deux villes espèrent n'en dépenser que 120.

Brest offre le design

« Avec précaution, on peut tabler sur une économie de 10 millions d'euros », calcule François Cuillandre qui ne veut « pas mettre la charrue avant les boeufs » pour autant. « Le principe est simple en économie : plus on achète et mieux c'est pour le prix », ajoute François Rebsamen.

Avant de passer commande commune, Brest avait travaillé avec Besançon, Tours et le Havre. « Mais nous n'avons pas pu aller jusqu'au bout, car les calendriers ne correspondaient pas », rappelle François Cuillandre.

Ce groupement de commandes avec Dijon a été rendu possible parce que les deux villes avaient quasiment le même calendrier pour leur projet de tramway. Brest avait six mois d'avance. Mais elle a fait gagner du temps à Dijon en lui offrant le design de son tramway.

« En allant jusqu'au design commun, nous sommes dans une position de négociation qui est bonne », commente Yves Puill, le directeur général de la Sem-Tram de Brest. Dijon choisira, bien entendu, la couleur de son tram. « Jaune moutarde », plaisante François Rebsamen, qui a d'ailleurs beaucoup de soucis avec Maille (la moutarde, pas le président du conseil général du Finistère) qui veut fermer l'usine historique de la marque.

L'appel d'offres, piloté par Brest, sera lancé à l'automne prochain. A l'été 2009, les deux collectivités choisiront le constructeur. Six industriels sont en mesure de proposer une offre pour les 52 rames : Alsthom (France), Bombardier (Canada), Caf (Espagne), Ensaldo (Italie), Skoda (Tchéquie) et Steadler (Suisse).


Yannick GUÉRIN.


• Le tramway du Grand Dijon : deux lignes sur 20 km ; 32 rames ; 400 millions d'euros. Début du chantier en 2010 et mise en service début 2013.

• Le tramway de Brest Métropole Océane : une ligne sur 14,3 km ; 20 rames ; 298 millions d'euros. Début du chantier fin 2009 et mise en service avant l'été 2012.


Ouest-France
 
#17 · (Edited)
Pilier Rouge

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Une projection de la future école du Pilier Rouge, avec au premier plan, la rue Sébastopol. : Michel Quéré Architecte​

Début des travaux en septembre 2009. Les 250 élèves sont déplacés à Pen-ar-Créac'h. Dans leur école « très très vétuste », il y avait urgence.

Onze classes de primaire et maternelle, deux cours de récréation, des « locaux de restauration pour 160 rationnaires » (cela fait un peu carcéral, mais il doit s'agir d'enfants...), une salle de sports accessible aux associations hors temps scolaire... Présenté hier par la mairie de Brest, le futur projet de groupe scolaire du Pilier-Rouge mesure 2 174 m2 et pèse 5,6 millions d'euros, pour accueillir environ 250 élèves. Il talonne la reconstruction de l'école de Kérinou (6,5 millions d'euros pour 230 élèves) ouverte à la rentrée.

C'est le même architecte, Michel Quéré, qui a décroché les deux marchés. Un peu moins coûteux, ce nouveau projet est aussi moins ambitieux en terme d'éco-construction de qualité hautement durable et renouvelable ou inversement. Pas de toit végétalisé donc. Mais environ 300 m2 de panneaux solaires pour produire de l'électricité. « Ce sera le premier bâtiment public photovoltaïque », indique Marc Sawicki, adjoint à l'éducation. Bizarrement, la récupération d'eau de pluie, c'est trop compliqué en terme légal. En 2011, on tirera donc encore la chasse avec de l'eau potable.

« On avait honte »

L'école maternelle sera totalement rasée dans les prochains mois. Deux ailes en bon état seront conservées. Et le bâtiment qui longe la rue Sébastopol sera reconstruit, mais en recul par rapport à la route pour permettre une desserte scolaire en sécurité. Autre particularité, le toit très large et débordant offrira « des espaces publics conviviaux », et surtout à l'abri de la pluie. Les travaux débuteront en septembre 2009, pour 18 mois. Ouverture courant 2011 donc.

« On attendait cela depuis longtemps », témoigne une enseignante. La maternelle surtout était « très très vétuste, voire insalubre » dit-elle. Elle évoque « les mauvaises odeurs, l'humidité, le salpêtre, la peinture écaillée, les entrées d'eau par les portes et les fenêtres, les couloirs très étroits ». A tel point qu'« on avait honte de faire visiter aux parents ».

Depuis septembre, l'école du Pilier-Rouge est vide. Les 250 élèves ont migré vers l'école de Pen-ar-Créac'h, où seules deux classes subsistaient. « On est bien là », assure l'enseignante. Elle suit également de près le projet de la future école et estime qu'elle et ses collègues ont été « bien associés et écoutés » par l'architecte.

Les élèves eux font le trajet Pilier-Rouge Pen-ar-Créac'h en bus tous les jours. Qu'adviendra-t-il des deux classes de Pen-ar-Créac'h en 2011 ? Iront-elles au Pilier-Rouge pimpant neuf ? « On n'a pas décidé clairement », explique Marc Sawicki. Toutes les options restent ouvertes.

Après Kerinou et le Pilier-Rouge, à qui le tour ? « Ces deux-là étaient notoirement des priorités », indique l'élu. « Pour les autres, on remet tout à plat. Les 73 écoles de Brest sont à l'étude ».

Sébastien PANOU.

Ouest-France
 
#19 ·
Le passage d'une langue à l'autre n'est pas aisé, d'autant plus lorsque l'alphabet n'est pas le même. En tout cas merci christos-greece pour ton petit tour par ici et ton commentaire :)
Oui, et justement je lui disais qu'on utilise le mot "joli" pas pour l'embêter mais pour l'encourager, car c'est vrai que c'est difficile de passer d'une langue à une autre et bravo pour cet effort christos-greece!
 
#20 ·
Châteaulin

Je m'aventure un peu en dehors de Brest, en France il se passe toujours (enfin, parfois) des choses interessantes loin de la "grande ville"...

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La passerelle de Châteaulin est posée

Elle est posée! La nouvelle passerelle de Châteaulin a gagné son poste à 16 h 07, avec quatre heures de retard mais en toute sécurité, et relie désormais le rond-point Notre-Dame rive gauche, à la place de la Résistance rive droite. Sur les quais, une centaine de badauds, dont certains là depuis le matin, traduisent l'impression très mitigée qui accueille ce nouvel ouvrage: "Une horreur" pour les uns. "Un signe d'avenir" pour d'autres, beaucoup moins nombreux.
 
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