Wikipédia:Oracle/semaine 12 2009

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Ô cher oracle, tout d'abord, bonjour. Afin de contenter ma prof d'histoire-géographie, je dois trouver les lectures de Nelson Mandela lorsqu'il était en prison. Dur dur, d'être en seconde... Pourriez-vous m'aider? Merci d'avance.

Peut être lire son autobiographie Un long chemin vers la liberté ? --Serged/ 16 mars 2009 à 10:19 (CET)[répondre]
Cette page-ci, consacrée à son livre, mentionne qu'il a lu Guerre et Paix alors qu'il était à Robben Island. Il est peut-être judicieux effectivement de voir, pour pouvoir accéder à la totalité du récit, si cette autobiographie disponible en bibliothèque scolaire... Bonne journée. Elsaesser (d) 16 mars 2009 à 11:44 (CET)[répondre]

Emploi du mot correct[modifier le code]

Bonjour ! Ma petite fille revient à la maison avec un devoir de français où on lui demande de donner le terme "qui aime la langue française "? Mon épouse lui dit " romaniste".Son professeur de français lui compte une faute parce que le terme est " francophile" ce qui est manifestement incorrect, mais romaniste même s'il est plus proche n'a pas l'air non plus correct Que faut-il dire ? Merci de votre réponse

Je crains que ni vous, ni le professeur de votre fille n'ayez raison, encore que vous soyez des deux celui qui a le moins raison. Un dictionnaire quelconque vous informera que l'adjectif "romaniste" est utilisé pour qualifier les spécialistes du droit romain (comme l'on dit pénalistes pour les spécialistes du droit pénal). Dans une université de langues, on peut entendre également le terme pour désigner les professeurs spécialisés dans les langues « romanes », le français n'étant que l'une d'entre elles. Mais francophile ne signifie par non plus "qui aime la langue française", mais plutôt qui aime la France, de manière générale [1]. Toutefois, je ne connaît pas de terme plus précis que ce dernier pour qualifier l'amour de la langue des auteurs de la Pléaide. gede (dg) 16 mars 2009 à 16:26 (CET)[répondre]
la prof a certainement encore plus tort, dans la mesure où c'est sa profession de ne pas demander à une petite fille un terme aussi spécialisé qu'inexistant (car parfaitement inutile !).
Çà me fait penser à ce site, dont j'ai oublié l'adresse, qui produit aléatoirement des néologismes à la demande. Il nous proposerait peut-être un francolinguaphile, pour le mot recherché, et francobarbarismopoiëtrice (avec un mélange latin/grec bien adapté :-P ) , pour cette prof indigne.
(faudrait que je recherche "xylolangue", je crois que c'est le mot clef)
gem (d) 16 mars 2009 à 16:59 (CET)[répondre]
TB francolinguaphile ! Émoticône --Égoïté (d) 16 mars 2009 à 17:30 (CET)[répondre]
Sur le modèle de « philosophe » et de « philanthrope », on pourrait aussi proposer « philofrancalingue », qui a l'avantage de rimer avec « frappadingue »... lingua est féminin, donc franca me paraît préférable à franco, d'autant que la langue de Franco, c'est l'espagnol... Seudo (d) 16 mars 2009 à 17:48 (CET)[répondre]
On pousse un peu plus loin la roue, voir Lingua franca, et de toute façon la question de la part de l'enseignant(e), aurait du être: ceux et celles qui aiment la France et n'oublions pas Francophonie#Description avec toutes les nuances s'y rapportant.--Doalex (d) 16 mars 2009 à 18:18 (CET)[répondre]
Cher Gem, ne serait-ce pas plutôt xyloglossie ? Je pense notamment à ce site. --Dahu2004 (d) 16 mars 2009 à 21:07 (CET)[répondre]
Oui, langue xyloglotte, c'est ça ! + le "logotron" , mais on ne peut pas mettre de lien parce que les admin pjpetitophobes ont bloqué la chaine de caractères ... gem (d) 17 mars 2009 à 12:00 (CET)[répondre]

exercices[modifier le code]

Bonjour, je cherche un site d'exercices de mathématiques spécialité en 1° littéraire. Pourriez vous m'aider? merci!

Des chiffres et des lettres
Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

Nous ne cherchons pas non plus les sites à ta place.--Doalex (d) 16 mars 2009 à 18:51 (CET)[répondre]

Eh bien excusez-moi mais je ne demande pas de faire mes devoirs, juste de m'aider à trouver un site car cela ne fait pas longtemps que la spécialité mathématique existe.

Je suis désolé de votre déconvenue mais il se peut qu'une autre personne veuille bien répondre par la suite.Cordialement --Doalex (d) 16 mars 2009 à 19:45 (CET)[répondre]
Sesa math ? ViZiT (d) 16 mars 2009 à 20:08 (CET)[répondre]
Je serais tenté de répondre à notre questionneur que son lycée dispose certainement d'un CDI pourvus de livres de mathématiques ad hoc... Mais c'est prendre le risque de le voir revenir pour qu'on corrige les exercices. S.M. | D.S.M. (4) 16 mars 2009 à 21:15 (CET)[répondre]
Heu... « cela ne fait pas longtemps que la spécialité mathématique existe » en 1ère littéraire ? o_O Dingue ça, "de mon temps" ça existait déjà, et du temps d'avant aussi (je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître... du temps des A1, A2 etc...). Donc CDI, oui. --Serein [blabla] 19 mars 2009 à 01:38 (CET)[répondre]
J’ai l’impression que tu es d’un temps suffisamment ancien pour ne pas savoir ce que sont aujourd’hui au lycée les « spécialités »... rv1729 19 mars 2009 à 15:18 (CET)[répondre]

Désolée, chères Pythies... Je sais que mes demandes doivent vous paraître sans liens les unes avec les autres, à la limite sans queue ni tête, mais... ma curiosité est immense. La question de ce soir est donc : pourquoi et depuis quand appelle-t-on un carnet autocopiant un manifold ? Moi, pas trouvé ! Merci à vous, --Égoïté (d) 16 mars 2009 à 19:30 (CET)[répondre]

J'aime bien tes questions, elles me permettent de répondre à côté Émoticône sourire alors on commence par multiple, multiplicité, depuis quand ? avant 1845 ? voir ici [2].Je laisse la plume à d'autres Émoticône.--Doalex (d) 16 mars 2009 à 20:45 (CET)[répondre]
Le nom Manifold provient de l'anglais ancien "manigfeald" : manig, many; see many + -feald, -fald, -fold.. En France, elle est essentiellement produite par les Papeteries de Clairefontaine, avec la marque Exacompta notamment. Le premier brevet fut déposée en 1834 par Ralph Wedgwood ( pas celui dans le WP:EN , un siècle d'écart ). Je présume que le nom est passé dans le langage courant comme pour Frigidaire, Mobylette...Dans la même veine j'ai trouvé les inventions du sieur "CLINCHAMP, François-Etienne-Victor de" ,c'est a écrire "hyalographe", "angulomètre" et notamment le "noctographe" qui semble avoir un lien avec le papier auto-copiant Manifold. ViZiT (d) 16 mars 2009 à 20:56 (CET)[répondre]
Génial ! Vous êtes des Émoticône, tous les deux ! j'avais bien repéré Clairefontaine mais ça ne m'avançait pas pour l'origine ; mon dico anglais ne va pas jusqu'à l'anglais ancien (Smiley: triste) et je tombais plus souvent sur des maths auxquelles je ne comprends pas grand chose... … soupir… – Faudrait que quelqu'un invente un modèle mentalement plus adéquat Émoticône – Merci de plus pour les infos complémentaires et précieuses ViZiT. --Égoïté (d) 16 mars 2009 à 22:49 (CET)[répondre]

Quelle organisation est propriétaire des lignes téléphoniques ?[modifier le code]

Bonjour,

Je me posais une petite question dernièrement. Il me semblais avoir entendus que depuis la privatisation de France Télécom (Qui est devenue une société mixte) la propriété des lignes téléphonique avait elle, était transféré a une société publique sous la demande de Bruxel.

Je me demande donc :

Si cela est vrais ? (Je ne me rappel plus de la source) Quel est le nom de cette organisation publique ?

Je tiens a préciser que j'ai rechercher ces information pendant prés d'une heures, sur Wikipedia comme sur Google. Impossible de trouver de réponse. (Beaucoup de sujet répondant aux mots clef sans répondre a la question).

En vous remerciant,

Cordialement, Rackarth.

Non, contrairement à ce qui s'est fait pour le chemin de fer (SNCF/RFF) et l'électricité (EDF / ERDF), il n'y a pas eu sérapartion entre le réseau et l'exploitant, d'où des problèmes pour FT tantot soumis au commercial, tantot au service universel. Cordialement. HaguardDuNord (d) 16 mars 2009 à 21:07 (CET)[répondre]
Mais FT n'est pas la seule a avoir un réseau, il y en a beaucoup d'autres. Les opérateurs internet (free, cegetel, ...) ont tirer des gros câbles entre leurs principaux serveurs, la SNCF avait un gros réseau le long des voies ferrées (j'ignore si ça a été transféré à RFF, ce n'est pas sûr...), etc.
Voir Boucle locale en France et les articles connexes + documents sources

gem (d) 17 mars 2009 à 12:18 (CET)[répondre]

C'est Cegetel qui a hérité du réseau télécom de la SNCF. Spedona (d) 19 mars 2009 à 00:00 (CET)[répondre]

Merci pour vos réponses.

Cordialement, Rackarth.

implosion vitre insert[modifier le code]

bonjour à tous. Voulant faire repartir le feu dans notre insert,j'ai mis sur les braises restantes des "frisons", du bois de petite section et refermé la porte vitée.Une intense fumée à alors envahit l'âtre(les frisons étaient-il un peu humides ?)et immédatement la vitre à été "aspirée à l'intérieur du foyer. Quelles explications possibles ? Cordialement Safran

grosse fumée <= combustion incomplète <= manque d'oxygène <= manque d'air <= dépression
aspiration <= dépression
Les orifices d'alimentation en air étaient fermé ou bouchés. Le foyer devait être très chaud, pour que le bois commence à bruler en dépit du manque d'air. La cheminée devait tirer très fort (gros vent dehors ?).
Cela dit il est normal que le foyer soit en dépression, sans ça il n'aspirerait pas d'air frais. Ce qui est surprenant et anormal, c'est que ça provoque l'aspiration de la vitre, elle devait être vraiment mal fixée, et c'est l'explication principale.
gem (d) 17 mars 2009 à 12:42 (CET)[répondre]

Crtiqiues sur l'OpenSource de wikipédia, demande d'informations[modifier le code]

Bonjour,

Madame, Monsieur,

Utilisant votre site pour nos recherches sur internet, à l'école, je me pose une question, que voici:

Des gens dissent que votre site n'est pas fiable à causse de l'OpenSource (modification publique), que des artciles peuvent être completement faux. J'aimerai savoir si vous avez une réponse quant à cette critique:

Êtes vous protégé, vérifiez vous les articles proposés ? Les articles les plus visités et importans sont-ils protégé ? Wikipédia est-il fiable niveau contenu ?

Votre réponse me servira à contredire les différentes critiques niveau "sécuritée" dépossées envers votre site, que je trouve très utile.

En attente de votre réponse, je vous souhaite une bonne journée, Cordialement,

Lisez ceci Wikipédia:Principes fondateurs et cliquez sur tous les liens bleus et faites-vous une idée par vous-même.--Doalex (d) 17 mars 2009 à 15:05 (CET)[répondre]
voir Wikipédia, Critiques de Wikipédia ou, par exemple, Discussion Utilisateur:MaCRoEco, Utilisateur:Poppy, etc.
Wikipédia est protégée, dans une certaine mesure. Les articles sont vérifiés au hasard et par n'importe qui, sans plan général et sans "rédacteur en chef" qui validerait les articles. Les articles sont parfois protégés en écriture, mais c'est fonction de leur degré de polémicité et non de leur importance. La fiabilité est variable selon le sujet. On insiste beaucoup sur le sourçage, il vaut mieux pour le lecteur se reporter aux sources quand elles existent et être prudent à propos des allégations dépourvues de source (non qu'elles soient forcément fausses pour autant !)
gem (d) 17 mars 2009 à 15:19 (CET)[répondre]
Par contre il y a méprise sur ce que vous appelez « Open Source ». Tout d'abord le terme exact concerne un logiciel (ou système) informatique. Celui qu'utilise wikipédia (médiawiki) est effectivement libre, c'est à dire open source. Mais cela n'implique en rien la façon dont les articles sont rédigés : on peut imaginer qu'un logiciel non-libre réalise la même fonction. Qu'un logiciel libre soit le support de wikipédia n'est pas un hasard mais d'un point de vue technique, cela n'impose en rien la façon dont il est rédigé.
Par ailleurs le texte des articles sont sous une licence libre dont le type de licence et l'éthique est proche de l'open source. Mais là aussi rien n'empêche qu'un texte soit sous la même licence tout en ayant été rédigé d'une tout autre façon, moins collaborative par exemple et non modifiable. C'est le mode de rédaction/conception de WP auquel vous faites référence mais ce n'est pas l'open source qui est «mis en cause». --Olivemrs (d) 17 mars 2009 à 16:22 (CET)[répondre]
Source dans open source signifie en français le code source (du logiciel), rien à voir avec les sources d'un article ! Émoticône --Olivemrs (d)
Ni avec les sources polaires d'ailleurs. Euh, le pôle, c'est par là? OK, OK. Félix Potuit (d) 19 mars 2009 à 08:19 (CET) [répondre]

Bonjour, comment va t'on sur le bistrot ? --Kkbs (d) 17 mars 2009 à 20:03 (CET)[répondre]

Le plus facile c'est en cliquant sur 'modifications récentes' dans la colonne à gauche, puis sur 'le Bistrot (du jour)' Dhatier jasons-z-en 17 mars 2009 à 20:13 (CET)[répondre]
En posant une chaise devant, c'est plus facile de monter dessus. --Olivemrs (d) 17 mars 2009 à 21:56 (CET)[répondre]
Ou en rajoutant «  obtenir("BistroDuJour");  » à son monobook, ce qui le rend accessible depuis la fenêtre « navigation », en haut de la colonne de gauche. Octave.H hello 17 mars 2009 à 22:10 (CET)[répondre]
Moi, je sors de chez moi, en sortant de l'immeuble, je tourne à gauche, et à 100m environ, se trouve le premier bistrot. --Serged/ 18 mars 2009 à 07:54 (CET)[répondre]

Serged, j'ai demandé "sur le bistrot", pas "au bistrot". Merci aux autres Bien l'bonjour. --Kkbs (d) 18 mars 2009 à 10:22 (CET)[répondre]

tu emmènes une échelle. ViZiT (d) 18 mars 2009 à 14:03 (CET)[répondre]
C'est vrai qu'une échelle, c'est plus pratique qu'une chaise Émoticône --Égoïté (d) 18 mars 2009 à 23:23 (CET)[répondre]

fumée dans le ciel bleu[modifier le code]

bonsoir cher oracle, ce matin le ciel était bleu , il faisait très beau aucun nuage a l'horizon mais quand je regardait en admirons ce paysage je remarquait que de petits avions ( 4 en tout) faisaient des trainées de fumée dans le ciel qui restaient longtemps alors je me suis posée la question de savoir pourquoi cette fumée , a quoi cela sert-il ??? merci d'éclairer ma lanterne XD

voir Traînée de condensation, cen 'est pas de la fumée, mais simplement de la vapeur d'eau. Cobra Bubbles Dire et médire 17 mars 2009 à 20:51 (CET)[répondre]
Et ca ne sert... à rien Mitch-mitch (d)
si, si, ça sert a expliquer la condensation, les nuages, les avions...;).
ça sert aussi à se relaxer avant un combat aérien : dans son autobiographie, "papy" Boyington dit qu'il se relaxait en fumant un pécos en regardant les volutes de condensation qui se formaient à l'extrémité des gigantesques pales de l'hélice de son F4-U Corsair... Cobra Bubbles Dire et médire 18 mars 2009 à 14:19 (CET)[répondre]

poème à trouver....[modifier le code]

Bonjour, j'ai une question difficile pour la Pythie ce soir! Je ne me souviens plus du nom d'un poème qui évoque un zoo en Allemagne, écrit par un auteur du début du XXème siècle. Merci vraiment de m'aider. A bientôt!

Un auteur français, ou francophone ? rv1729 17 mars 2009 à 21:46 (CET)[répondre]
Peut-etre Rainer Maria Rilke, "Der Panther"? Pourtant, c'etait au Jardin des Plantes a Paris. --Wrongfilter (d) 18 mars 2009 à 14:31 (CET)[répondre]

Il s'agit d'un poète fançais.

Une recherche ici [3] si ce n'est déjà fait.--Doalex (d) 18 mars 2009 à 22:18 (CET)[répondre]

Cartographie : 'Space-oblique Mercator'[modifier le code]

Bonjour, je suis à la recherche d'une formule (simple si possible ;-) de transformation (x, y) = fonction(latitude, longitude,'oblicité'(etc...?)) pour une projection cartographique en:Space-oblique Mercator projection. Avez-vous connaissance d'un logiciel libre qui permette de générer (simplement) un Planisphère avec des traces au sol d'un satellite à partir des TLE. Et, quelle serait la traduction française de 'Space-oblique Mercator'? Je pense que ce n'est pas la même chose que 'projection de Mercator oblique' (projection de Mercator oblique); la space-oblique tient compte de la rotation de la Terre pour représenter les traces au sol des satellites par des droites. Merci. (tiens, dans le fond... Si l'orbite est elliptique, la projection n'est plus cylindrique, mais ... (comment appelle-t-on une colonne de base elliptique?!?) -- tout se complique..., cela devient ...'intéressant'. ;-)-- Xofc [me contacter] 18 mars 2009 à 09:01 (CET)[répondre]

Petite réponse à la petite question: mathématiquement, quelle que soit la courbe de base ca s'appelle toujours un cylindre, il suffit que les génératrices soient parallèles Mitch-mitch (d) 18 mars 2009 à 10:17 (CET)[répondre]
Oups!, En effet, merci. ...J'aurais du lire 'cylindre (solide)'. Et je devrais peut-être apprendre à marcher avant d'essayer de courrir... Xofc [me contacter] 18 mars 2009 à 14:09 (CET)[répondre]
Bonjour, le plus simple pour avoir la formule est peut-être de fouiller dans un logiciel open source du type Proj4JS. Pour le logiciel, il existe quelques logiciels de tracking de satellite se basant sur les TLE, j'en avais testé quelques-uns mais j'ai oublié leur noms... Un peu de Google avec les mots clefs "tracking satellite tle" devrait te mener vers des pages web de ce type. Kfadelk (d) 18 mars 2009 à 11:19 (CET)[répondre]
Pour la traduc française je pense que c'est simplement Projection de Mercator oblique comme on le trouve dans Projection_cartographique (mais pas d'article sur cette projection) mais dans ce cas précis non-terrestre, ça me fait penser à une projection transverse de Mercator (UTM) sauf qu'au lieu d'avoir l'axe du cylindre perpendiculaire à l'axe des pôles, on positionne l'axe du cylindre en fonction du satellite (si j'ai bien compris). Si la projection considère la terre en rotation c'est que le référentiel de base n'est pas terrestre mais est positionné suivant le plan orbital du satellite (d'où le mot space en effet dans le nom anglophone). Et là ça se complique ... grave ! Tu as un (référentiel géo) <-> (projection carto), déjà entre les deux les formules ne sont pas simple ; ensuite la terre bouge par rapport à ce référentiel géo donc il y a une variable temps qui vient compliquer le tout. Même si le référentiel de la projection n'est pas géodésique, il est surement équivalent mais il faudra une formule de conversion d'autant qu'on aura aucun axes parallèles (on parle bien d'oblique ?). Même avec un logiciel fait pour une projection transverse de Mercator, ça va être dur d'adapter. Je ne sais pas si c'est réalisable avec un logiciel classique de SIG. Avec tout ça, je ne suis plus très sûr d'avoir réussi à faire avancer le schmilblick ... Bonne chance quand même ! (Smiley oups) --Olivemrs (d) 18 mars 2009 à 11:18 (CET)[répondre]

Merci. Je vais chercher de ces côtés. Mais, c'est vrai que je peine déjà à trouver des exemples de telles cartes sur Internet... -- Xofc [me contacter] 18 mars 2009 à 14:09 (CET)[répondre]

J'ai confondu deux choses. La projection que je cherche n'est pas 'space-oblique Mercator', mais plutôt 'Snyder cylindrical satellite-tracking projection' comme la figure 8-6 de [4]. Elle ne doit pas être trop difficile à calculer (?). Méridiens et parallèles sont représentés droits et perpendiculaires, il faut 'juste' bien espacer les parallèles... -- Xofc [me contacter] 19 mars 2009 à 13:14 (CET)[répondre]
J'ai trouvé! Chapitres 27 & 28 de http://pubs.usgs.gov/pp/1395/report.pdf (rééd. en 2012 (ISBN 978-1-7826-6222-8) Map Projections: A Working Manual (U.S. Geological Survey Professional Paper 1395). -- Xofc [me contacter] 29 janvier 2014 à 06:54 (CET)[répondre]

Pantalons dans la marine (suite)[modifier le code]

Bonjour à tous, je me suis informé auprès des services des armées en Belgique pour connaître l'origine de ces fameux plis dans les pantalons de marins. Je viens de recevoir la réponse, je vous la présente dans son intégralité.

En réponse à votre courriel du 15 mars dernier, vous trouverez ci-dessous les éléments de réponse en notre possession en ce qui concerne les "trousers" de la Royal Navy ou "pantalon à pattes d'éléphant" :

- Le pantalon est confectionné dans le même tissu que la marinière (jumper). Le bas des jambes, caractéristique, est large de 30 cm. cela permet de les remonter et de les rouler aisément pour marcher dans l'eau ou lorsqu'il faut laver le pont du navire. En raison du manque chronique d'espace à bord des navires de guerre, le pantalon est toujours rangé plié et cela donne naissance fameux sept plis horizontaux sur les jambes du pantalon, représentant symboliquement les sept océans sur lesquels flotte la pavillon de la Royal Navy (le White Ensign). Le pantalon présente, également, une braguette à pont haute de 15 cm. Elle est fermée par trois boutons en plastique noir. la doublure du pantalon est d'abord en toile rayée bleu, puis simplement bleu et enfin blanche à partir de 1944.

Après la libération du pays et au début de la Force Navale, les uniformes "britannique" portés par nos marins continuèrent longtemps à être utilisés, grâce aux stocks que la Royal Navy laissa. En octobre 1968, à la demande de l'Etat-Major Général, la Force Navale élabore son règlement sur les tenues et uniformes. La standardisation des pantalons pour tous les grades, entraîna la suppression du pantalon à "pattes d'éléphant" des matelots.

Bravo ! Il te reste à faire l'article sur WP... Émoticône --Égoïté (d) 18 mars 2009 à 11:15 (CET)[répondre]

Re-bravo pour être allé chercher la réponse à la source. Et je suis content, je n'étais pas tombé loin. Morburre (d) 18 mars 2009 à 14:16 (CET)[répondre]

Polio ou tuberculose[modifier le code]

Bonjour ! Quand j'étais enfant, on vaccinait à l'aide d'une griffe, sorte de plume métallique, très étroite et non percée. Quelqu'un se souvient-il du nom exact de l'instrument (griffe ?) et surtout contre quelle maladie il était utilisé ? Merci déjà pour vos réponses. --Égoïté (d) 18 mars 2009 à 12:59 (CET)[répondre]

Je pense que c’était la variole. rv1729 18 mars 2009 à 13:02 (CET) cf [5][répondre]
Sur Larousse, dans l'article cuti-réaction, ils parlent de wiktionary:fr:vaccinostyle (un bien joli nom ;-) -- Xofc [me contacter] 18 mars 2009 à 13:38 (CET)[répondre]
C'est une plume vaccinostyle. J'en ai un stock sous la main, pas pour vacciner, mais pour gratouiller la carte à gratter (dessin). Photo (à faire) faite et article à faire fait, donc (un médecin est demandé d'urgence pour ce qui concerne la vaccination). Morburre (d) 18 mars 2009 à 14:14 (CET)[répondre]
Mon père a été en sanatorium lorsque j'étais enfant (tuberculose), une ou deux fois par an, on me faisait une cutiréaction.

Après avoir griffé, on appliquait un réactif, trois jours plus tard il fallait retourner pour le résultat. Il est fort possible que la même intervention servait à dépister plusieurs maladies en fonction du réactif utilisé. Sans être totalement affirmatif, il me semble que l'on faisait ce dépistage une fois par an à l'école également (après guerre)--Kkbs (d) 18 mars 2009 à 14:27 (CET)[répondre]

Merci à tous ! Tuberculose oui, cela me revient... Oui Kkbs tu as raison le dépistage était fait une fois l'an en Belgique et je me souviens maintenant de l'effroi causé à ma mère par la réaction positive de la cuti ! Elle était persuadée que j'étais tuberculeuse, et comme son père en était mort... L'information donnée par l'école devait être fort sommaire, parce que j'ai dû voir un médecin. Je me souviens aussi de la marque de cachet que laissait le vaccin de la variole (ma mère a exigé qu'on le fasse sur ma cheville où il n'a laissé aucune trace) plutôt que sur le bras comme ça se faisait couramment. Pour la polio, n'était-ce pas une scarification en forme de croix de Lorraine ?
Au travail, Morburre ! Émoticône Amitiés, --Égoïté (d) 18 mars 2009 à 15:14 (CET)[répondre]
✔️ Maintenant je me repose. Bise. Morburre (d) 18 mars 2009 à 16:10 (CET)[répondre]

Il y a aussi le timbre antituberculeux mais ce n'est pas un test, ni un patch voir [6] mais une bonne manière de sensibiliser l'opinion.--Doalex (d) 18 mars 2009 à 22:27 (CET)[répondre]

Nom des places dans un stade[modifier le code]

Bonjour Ô racle, N'étant pas un grand habitué des lieux, j'ai une question sur les stades, que l'article ne m'explique pas. Je me demandais la signification exacte des nom des places : je vois bien les tribunes d'honneur, le virage, le quart de virage, mais la "tribune nord / marathon ouest", je sèche... Au passage, je me demandais si les matchs de rugby (Top 14) avaient des zones séparées pour les supporters des deux camps. Et si oui, si quelqu'un peut me confirmer que tribune nord / marathon ouest en question pour le match Stade toulousain - Stade Français dimanche 29 mars au Stadium de Toulouse sera bien remplie de Toulousains, ça me soulagerait... J'ai cherché sur Internet une bonne partie de l'après-midi, sans succès.

Désolé, à marseille on connait «pas tribune nord / marathon ouest» Émoticône. Dans chaque stade on nomme ses tribunes comme on veut. Donc c'est une question qui ne concerne pas tout les stades mais bien le Stadium de Toulouse ? J'ai bon Euh ? ? --Olivemrs (d) 18 mars 2009 à 17:11 (CET)[répondre]
Merci pour le début de réponse, au moins je peux arrêter de chercher une description générale. Il s'agit effectivement du Stadium de Toulouse.

Doublage des films en français et québécois[modifier le code]

Bonjour, voilà ma question : on m'a prêté des films américains téléchargés sur internet en me précisant qu'il s'agissait (pour le doublage) de la version québécoise. Je m'attendais donc à entendre l'accent canadien, et rien de tel : à part quelques expressions (par exemple : cellulaire pour téléphone portable) et la prononciation américaine des noms propres, on croirait que le film est doublé en France. Alors finalement pourquoi ne pas avoir un seul doublage qui servirait pour les deux pays ? Par ailleurs, les québécois ne préfèreraient-ils pas voir les films doublés avec l'accent québécois ? Merci beaucoup par avance.

Ceci est une question de concurrence. Aucune des firmes de doublage québécoises ou françaises n'a envie de disparaitre. Aussi, chacun des deux gouvernements a passé des lois ou règlements pour protéger, au moins partiellement, leur industrie du doublage. D'autre part, pour une question de rentabilité, et donc pour qu'un doublage fait au Québec puisse être distribué ailleurs dans la francophonie, il y a tout intérêt que la terminologie et la prononciation soient les plus 'internationales' possibles. Enfin, les québécois sont habitués à entendre l'accent 'standard' français, depuis le développement important des échanges culturels entre nos deux pays, soit au moins depuis 50 ans. Mais "bienvenue chez les ch'tis" ou les vieux films de Fernandel posent quelques problèmes de compréhension dans mon entourage. Dhatier jasons-z-en 18 mars 2009 à 18:55 (CET) Et entre parenthèses, il n'existe pas un accent canadien francophone. Il y a l'accent québécois (même si on peut lui-même le subdiviser), l'accent acadien, le brayon, celui des Prairies, etc.., qui ont des différences marquées. Dhatier jasons-z-en 18 mars 2009 à 21:10 (CET)[répondre]

Merci beaucoup pour votre réponse. Par ailleurs la prononciation "à l'américaine" des noms propres est-elle très employée dans le Canada francophone ?

Elle est systématiquement employée, la connaissance de l'anglais étant très répandue ici. Dhatier jasons-z-en 19 mars 2009 à 12:13 (CET)[répondre]
il n'y a pas aussi un probleme de difference sur certain mot, j'ai entendu dire que "gosse" au quebec c'est pas pour dire enfant. a+ Chatsam (coucou) 20 mars 2009 à 12:20 (CET)[répondre]

Amway po-russki ?[modifier le code]

Bonjour Oraklovski, j'ai noté que la société Amway (aux méthodes semble-t-il pour le moins discutables, d'après un petit tour sur Google) recherche en ce moment (pubs dans Metro) des gens parlant le russe. J'essaie de comprendre quel est leur intérêt dans cette manoeuvre. Qu'en pensez-vous ? Spasibo bolchoe. Félix Potuit (d) 18 mars 2009 à 18:44 (CET)[répondre]

Appliquer la méthode Amway de vente pour se faire plein de fric en Russie. On m'a proposé cette activité dans les années 82/83, ça marche pour les parrains, pas tellement pour mes filleuls qui abandonnent, laissant les clients aux parrains. Faut acheter de la marchandise au parrain, la revendre et essayer de devenir parrain soi même etc. Enfin, c'était ainsi à l'époque.--Kkbs (d) 18 mars 2009 à 21:04 (CET)[répondre]

Un autre truc Herbalife, les chômeurs sont souvent sollicités par courriel, bien entendu sans que soit exposé le but du jeu d'une façon directe.--Doalex (d) 18 mars 2009 à 22:36 (CET)[répondre]

Note, j'ai connu un bonhomme qui était parrain et qui avait l'air de bien s'en sortir, il était tombé dedans depuis le début et avait un vaste réseau d'anciens filleuls devenus parrains (qui lui achetaient la marchandise) pour la revendre à d'autres filleuls. La marchandise achetée restait sur les bras du dernier filleul qui n'avait qu'à se démerder pour la vendre à des clients. Une fois le tour de la famille et des amis (qui achètent pour faire plaisir, et ne renouvellent pas leur achat ensuite) c'est généralement la galère pour vendre le reste (qui n'est jamais repris). --Kkbs (d) 19 mars 2009 à 08:02 (CET)[répondre]

Oui, j'avais cru comprendre tout ça, mais ça m'étonne beaucoup qu'ils recrutent à Paris des gens pour démarcher en Russie, alors que ce n'est pas ça qui doit manquer là-bas ? D'un autre côté, la clientèle russophone potentielle en France ne semble pas si considérable, alors quelle est l'astuce ? Félix Potuit (d) 19 mars 2009 à 08:14 (CET)[répondre]
Peut-être bien que la législation russe ne connait pas la vente pyramidale, qui est interdite dans la plupart des pays européens. --Serged/ 19 mars 2009 à 09:33 (CET)[répondre]
Peut-être que c’est comme le coup de l’adjudant qui demande qui est-ce qui sait parler anglais pour avoir des hommes de corvée. C’est pour recruter des gens qui vont se dire « s’il faut savoir le russe, ça peut pas être trop pourri ». rv1729 19 mars 2009 à 10:04 (CET)[répondre]
En tout cas ils ont un site sur place [7], le fait de recruter n'indique pas l'objet de l'emploi (je n'ai pas vu l'annonce dans Metro, ni sur leur site), peut-être s'agit-il de monter ou d'étoffer une plate-forme téléphonique ? Pour Serged voir Controverses sur Herbalife.--Doalex (d) 19 mars 2009 à 13:59 (CET)[répondre]

De qui est ce tableau ?[modifier le code]

Bonjour. L'un d'entre vous aurait-il une idée de qui peut être l'auteur de ce tableau. J'ai en fait seulement une photocopie d'origine inconnue, ce qui explique mon ignorance.

Merci d'avance pour votre aide. --Szyx (d) 18 mars 2009 à 21:26 (CET)[répondre]

Aucune idée, un peintre fin XIXe-début XXe (je ne me mouille pas). Ma question porte sur l'« original » reproduit ici : est-ce bien une photocopie (donc relativement récente), sur quel genre de papier ? Une photocopie suppose que le vrai original est au même format, à la rigueur légèrement supérieur (A3 maxi), ou alors c'est la photocopie d'une reproduction imprimée. Sinon, l'aspect général me ferait penser à un chromo (reproduction en chromolithographie) d'une peinture. Ça ne répond pas à la question, mais ça augmente les chances de retrouver le véritable original (on ne reproduisait pas n'importe quelle œuvre). Morburre (d) 18 mars 2009 à 22:07 (CET)[répondre]
Cela m'a rappelé ce tableau de Stanislas Lépine, mais pas moyen de confirmer. ViZiT (d) 18 mars 2009 à 23:40 (CET)[répondre]
Stanislas Lépine
En fait il s'agit sans doute d'une photocopie d'une revue ou d'un catalogue, donc je n'ai aucune idée du format du tableau original. Quand au rendu des couleurs, il ne faut évidemment pas s'y fier, avec au moins trois opérations de copie en cascade. --Szyx (d) 19 mars 2009 à 09:25 (CET)[répondre]
Pourtant, des peintres qui ont peint des péniches avec un pont, doit pas y en avoir beaucoup. rv1729 19 mars 2009 à 10:02 (CET)[répondre]
On peut toujours essayer d'identifier les lieux, le pont, les maisons, l'église à coupole au fond, si ça n'a pas trop changé depuis. Faut pas trop compter sur la péniche. Morburre (d) 19 mars 2009 à 10:47 (CET)[répondre]
Jean-Baptiste Corot, « Maisons avec moulin, au bord d'un ruisseau »
Merci de vos efforts. Émoticône sourire
La suggession de ViZiT m'a amené au tableau de Jean-Baptiste Corot ci-contre (le titre en légende est une rétro-traduction de l'allemand). Que pensez-vous de la ressemblance de style ?
--Szyx (d) 19 mars 2009 à 20:34 (CET) PS : s'il y avait une identification raisonnablement crédible de ce tableau, je pourrais scanner proprement ma photocopie et la mettre sur Commons avec une vraie license.[répondre]
Certainement pas. Le tableau qui nous intéresse est très clairement post-impressionniste par son style (où l'usage du jaune, notamment, laisse entrevoir les développements fauvistes et expressionistes à venir). L'inspiration de Van Gogh (en particulier la touche picturale et l'usage du jaune, encore) me semble également claire. On peut donc le dater d'autour de 1890. A moins bien entendu que cela ne soit qu'une des innombrables pâles imitations que ce style a engendré, et qui se poursuivent encore. gede (dg) 19 mars 2009 à 20:38 (CET)[répondre]
D'accord avec Gede, post-impressionnisme par la touche, mais on est loin des Fauves, c'est encore assez bitumineux XIXe. « Petit maître » début XXe ? La photocopie est-elle assez nette pour déceler (à la loupe) un tramé de quadrichromie (donc reproduction imprimée) ? Sinon je reviens à mon « chromo ». Enfin ça n'avance pas beaucoup. Le lieu : un canal en région parisienne, ça dit quelque chose à quelqu'un ? Ce serait un coin du canal du Midi, je reconnaîtrais, mais là c'est trop exotique pour moi. Morburre (d) 19 mars 2009 à 21:16 (CET)[répondre]
Flute, je pensais que Corot était une bonne piste. Si je vous écoute, non. --Szyx (d) 19 mars 2009 à 23:14 (CET)[répondre]
Ni la technique, ni l'époque. La péniche paraît assez « moderne » pour le pauvre Corot, mort en 1875... Et je dirais même que les personnages n'ont pas l'air de porter des chapeaux, en tout cas pas de chapeaux volumineux. Et que la péniche passant par l'arche centrale du pont, on ne voit pas bien par où elle pourrait être halée, auquel cas on pourrait envisager que la fumée qui en sort n'est peut-être pas celle de la cuisinière où madame mijote ses petits plats, mais celle du moteur (l'une n'empêche pas l'autre). Là on est bien après la première guerre mondiale, et peut-être plus près de la seconde. Mais bon, je m'avance sans preuves. en tout cas ça m'amuse. Morburre (d) 20 mars 2009 à 00:48 (CET) Ça serait faible pour un Corot... rv1729[répondre]
Soyons fous on peut même dire que l'arche centrale n'est pas ou n'est plus une arche et pour le halage si celà était nécessaire, il n'y a pas de problème.--Doalex (d) 20 mars 2009 à 09:51 (CET) — C'est toujours une arche au sens étendu, au même titre que celle de la Défense qui, elle, n'a pas de péniches dessous. Morburre (d) 21 mars 2009 à 21:14 (CET) - Bien vu, j'avais toujours pensé qu'une arche en architecture provenait de la forme supérieure en arc, mais tout change si vite! --Doalex (d) 21 mars 2009 à 22:01 (CET)[répondre]
Je suis déçu, j'avais affirmé à ma maman que l'Oracle aurait la réponse... (en fait non, je lui avais dit qu'il y avait peu de chances d'avoir une réponse tranchée -- merci à tous !) --Szyx (d) 20 mars 2009 à 09:55 (CET)[répondre]
Vous pouvez réessayer en partant d'ici Portail:Peinture , pour finir ici Portail:Arts/Café.--Doalex (d) 20 mars 2009 à 13:51 (CET)[répondre]
Je vais essayer, merci. --Szyx (d) 20 mars 2009 à 14:01 (CET)[répondre]
Sur Commons, Notre Dame de Hanswyck, vue opposée
Sans aucune garantie: Sans doute de Victor Gilsoul, le site doit être Bruges. Voir ce site [8] Philippe Nusbaumer (d) 25 mars 2009 à 17:59 (CET)[répondre]
C'est bien de ou d'après Gilsoul, ce tableau est reproduit dans le livre de Camille Mauclair sur cet artiste belge. Par contre c'est Malines, vue de l'abbaye de la Dyle. titre de l'œuvre dans le livre, sur wiki j'ai trouvé à Malines: L'église Notre-Dame-au-delà-de-la-Dyle. Philippe Nusbaumer (d) 25 mars 2009 à 18:16 (CET)[répondre]

Bravo à Philippe Nusbaumer, digne successeur ( une fois de plus, pour les arts ), de Sherlock Holmes.jbdepradines (d) 26 mars 2009 à 00:45 (CET)[répondre]

merci pour votre aide Philippenusbaumer, en ce moment je peins une copie de ce tableau en atelier --Nicole20 (d) 29 mars 2009 à 15:39 (CEST)[répondre]
Voir là une carte postale du lieu Émoticône sourire, — Hautbois [canqueter] 29 mars 2009 à 17:23 (CEST)[répondre]

ma mère va t elle m appeler bientôt ? MERCI

Appelle-la pour lui demander. Morburre (d) 18 mars 2009 à 22:07 (CET)[répondre]
'Bientôt', quel drôle de nom, et puis pourquoi changerait-elle??? --Mitch-mitch (d) 19 mars 2009 à 08:36 (CET)[répondre]

Montre automatique[modifier le code]

Bonjour,

Auriez-vous l'amabilité, chère pythie, de bien vouloir m'expliquer la différence entre les mouvements SWISS-RONDA Cal. 515.24H et Miyota 8215 ? Je vous remercie.

La Miyota 8215 est un mouvement a remontage automatique, la SWISS-RONDA Cal. 515.24H est un mouvement a quartz analogique. ViZiT (d) 19 mars 2009 à 04:48 (CET)[répondre]

c'est, ce sont[modifier le code]

Bonjour cher Oracle, Sarthre a dit "L'enfer, c'est les autres". Aurait-il dû écrire "L'enfer, ce sont les autres" ? Merci. Papaye

Il fait bien comme il veut...
Bon, blague à part. « Et là, c’est des lapins » est accepté mais considéré comme peu soutenu ; on préférera « là, ce sont des lapins » (dites bonjour aux lapins).
Mais dans le cas de Sartre, le début de la phrase commande : « l’enfer c’est ... » sonne mieux que « l’enfer ce sont ... », même si il doit s’avérer à l’audition du reste de la phrase que « ce » c’est « les autres ». et non « ce » ce sont « les autres », vous me suivez là ?
rv1729 19 mars 2009 à 09:15 (CET) Allez donc faire un tour sur Huis clos : encore un bel article méritant le label « article faisant honte à la Ouiquipédie ».[répondre]
Accord par syllepse. --Szyx (d) 19 mars 2009 à 20:37 (CET)[répondre]

c'est, ce sont[modifier le code]

Bonjour cher Oracle, Sarthre a dit "L'enfer, c'est les autres". Aurait-il dû écrire "L'enfer, ce sont les autres" ? Merci. Papaye

Ben... 1/ Vous avez déjà posé la question et reçu une réponse. 2/ Je n'ai jamais lu, nulle part, que le photographe Sarthre a écrit ces mots... Bien à vous, --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 09:39 (CET)[répondre]
… il était peut-être au Mans ? (je n'ose signer)
Pour éviter le problème d'accord, on dira comme le philosophe : « L'enfer, c'est Sartre. Enfin, d'après les autres. » Seudo (d) 19 mars 2009 à 10:41 (CET)[répondre]
Accord par syllepse (bis). --Szyx (d) 19 mars 2009 à 20:37 (CET)[répondre]

Langues en danger et autres[modifier le code]

Bonjour. Suite à l'émission de la RTBF « Questions à la une » présentée par Jean-Claude Defossé hier soir, aux difficultés d'apprentissage des langues dans l'enseignement francophone belge, et à la récente publication de l'Unesco qui indique que le wallon est en danger, je me suis demandée à quelle autre population comparer les Wallons qui devraient idéalement parler, outre leur propre langue, les 3 langues nationales plus l'anglais (langue internationale « pratique » et scientifique) – soit cinq langues au total ?! Merci pour vos réponses, --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 14:00 (CET)[répondre]

Aux suisses pour qui c'est un casse tête, surtout les francophones, qui galèrent avec suisse-allemand ! --Olivemrs (d) 19 mars 2009 à 14:16 (CET)[répondre]
Et aussi, toujours en Suisse, les locuteurs du Romanche Dhatier jasons-z-en 19 mars 2009 à 14:19 (CET)[répondre]
Qui est justement une langue officielle nationale, si on compte comme Égoïté, on arrive à cinq ou six langues, sans considérer les dialectes locaux. --Olivemrs (d) 19 mars 2009 à 14:26 (CET)[répondre]
(confit d'edith) Si tu pars du principe qu'il faut connaitre toutes les langues en vigueur dans un état + l'anglais, tu vas avoir un tétrachiée de pays bien pire que la Belgique. Russie, Nigeria, Afrique du Sud, Chine, Suisse, Espagne, etc. gem (d) 19 mars 2009 à 14:28 (CET)[répondre]
Dans ces états, Gem, considère-t-on qu'il devrait être obligatoire de parler au moins toutes les langues nationales ? Et la langue propre à la population (comme jadis le wallon chez nous) est-elle encore enseignée à l'école pour tous les enfants ? --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 14:34 (CET)[répondre]
Depuis quand est-il obligatoire de parler toute les langues officielles en Belgique ? Seule Bruxelles-capitale est bilingue où on ne parle quasiment pas wallon, et il n'y a pas justement de région trilingue. --Olivemrs (d) 19 mars 2009 à 14:52 (CET)[répondre]
1/ Cher ami, j'ai écrit « les Wallons qui devraient idéalement parler » et « considère-t-on qu'il devrait être obligatoire... » ce qui n'implique nullement qu'il est obligatoire de parler toutes les langues officielles en Belgique !
2/ Une bonne partie des Belges estime que les autres Belges devraient parler au moins 2 langues nationales, mais les premiers ne se soucient généralement pas de la disparition de la langue populaire des autres... ni même parfois de la leur propre. Je me demande donc comment protéger un idiome en danger de disparition et satisfaire aux désirs exprimés. --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 15:05 (CET)[répondre]
P.S. Ceci ne me concerne pas personnellement : je parle français, me débrouille pas mal pour parler et écrire en néerlandais et anglais, et écrit en wallon ; j'ai « balbutié » l'italien et comprenais un peu d'espagnol, je me suis intéressée à l'esperanto... mais je suis d'un certain âge, j'ai donc eu le temps d'apprentissage de la vie... --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 15:05 (CET)[répondre]
J'avais bien noté ton idéalement, pas très précis, d'où mon choix de préciser un peu comment je comprenais ta question (si tu pars du principe qu...). À toi de voir, par exemple, comment, idéalement (tel que tu l'entend), un étasunien devrait se comporter à l'égard des 337 langues aux États-Unis d'Amérique, sachant que les USA n'ont pas de langue officielle fédérale de jure mais qu'il y en a une ou plusieurs au niveau de différent états et que l'enseignement y est relativement libre...
gem (d) 19 mars 2009 à 15:37 (CET)[répondre]
Merci pour le lien Gem. J'y note que « Néanmoins, l'anglais reste la langue du quotidien et de l'enseignement dans les cinquante États fédérés et dans tous les territoires sauf Porto Rico. » (mais l'anglais est une des 2 langues officielles de Porto Rico, donc ? partout !)
Voilà donc un état (fédéral) qui – même s'il ne l'a pas adoptée officiellement – possède une langue parlée par quasiment tous ses résidents (« Seulement 0,8% ne parle pas cette langue ») : donc, en toute logique, peu de problèmes de communication de base entre les résidents. Donc, non comparable avec la Belgique... (Smiley: triste) (mais eux au moins, ils ont trouvé une solution Émoticône !) --Égoïté (d) 19 mars 2009 à 15:51 (CET)[répondre]
Ben on va faire comme eux, on va tous se mettre à l'anglais... --Olivemrs (d) 19 mars 2009 à 16:39 (CET)[répondre]
Abraham de Swaan (encore un lien rouge !, mon deuxième de la journée...) a proposé il y a dix ans un modèle concentrique pour l'analyse du système mondial des langues et de leur rapport. De mémoire, au centre, on trouve bien sûr l'anglais, qui est la langue véhiculaire par excellence. Dans un deuxième cercle, on trouve les grandes langues de diffusion mondiale, comme le Français ou l'Espagnol, qui sont parlées par un grand nombre de locuteurs comme langue maternelle et/ou seconde. Dans un troisième cercle, on trouve les langues à diffusion nationale (comme le Polonais, le Suédois), qui sont liées à l'administration d'un État. Enfin, dans le dernier cercle, il y a les langues à diffusion infra nationale, qui sont innombrables (pour la France : bretons, flamands, catalan, etc.). De là, il me semble que l'on peut (en m'inspirant en partie des analyses de Swaan) constater les choses suivantes : au fur et à mesure que les populations sont mises en contact, on observe : 1) la place grandissante de la langue centrale, apprise de plus en plus en tant que langue véhiculaire par défaut 2) la consolidation de langues véhiculaires à vocation régionale (le russe dans un grand nombre d'ancien pays soviétique, le swahili en Afrique de l'Est, etc.) 3) le fait que les populations doivent apprendre d'autant plus de langues qu'elles sont éloignées du centre -les anglais pouvant se contenter de parler seulement l'anglais. 4) que plus les langues sont loin du centre, plus elles sont menacées dans leur existence même.
Ainsi, il y deux siècles le paysans wallon ne parlait que sa langue. Il y a un siècle, avec la construction nationale belge et le développement du capitalisme, en plus de son Wallon, il maîtrisait le français. Maintenant, on peu y ajouter l'anglais et un peu de néerlandais. Mais à la vérité, le plus probable, est que les petits petits enfants de ce paysans ne parlent plus la langue de leurs aïeux. gede (dg) 19 mars 2009 à 17:40 (CET)[répondre]

A une époque le français était considéré comme "la langue internationale" tout au moins en Europe, sait on depuis quand elle a été supplantée par l'anglais. Est ce suite à la défaite de Waterloo? Personnellement, je ne parle que le français et plus ou moins de néerlandais. Je n'arrive pas à bien comprendre cet acharnement qu'ont certains de vouloir absolument se disperser dans l'étude des langues régionales. Je comprends bien que certaines personnes déplorent la perte de ces dialectes, mais n'est ce pas l'évolution logique pour communiquer sur un plan international dans le contexte actuel.--Kkbs (d) 19 mars 2009 à 19:24 (CET)[répondre]

Question d'échelle : tu trouves parfaitement inutile d'apprendre ou au moins de conserver une langue « régionale », au motif qu'il vaut mieux parler une langue « nationale ». Mais au nom de ce principe, c'est le français (ou toute autre langue) qui devrait être éradiqué au profit de l'anglais, au nom de ce même principe. Et encore : un anglais standardisé, raboté, internationalisé, pas l'anglais de l'Angleterre. Mais chaque langue, ce n'est pas qu'un médium de communication, c'est de l'histoire, c'est de la culture, c'est un tas de choses en plus. J'ai décidé que j'apprendrai l'espéranto sur place, en Espérantie, en parlant avec des Espérantiens ( à ce moment-là, l'espéranto aura des verbes irréguliers, chouette !). Morburre (d) 19 mars 2009 à 21:01 (CET)[répondre]
Et le Volapük elle est pas belle cette langue ?.Émoticône--Doalex (d) 19 mars 2009 à 22:41 (CET)[répondre]
Le français n'était pas langue seulement internationale, c'était, depuis louis XIV, la langue de l'élite européenne, de Moscou à Madrid, et même à Londres (et en Flandre ! Pas besoin de rappelé ici ce que disait Brel des flamingants...). Le déclin du français, est aussi celui du peuple contre l'élite (démocratie), et de l'essor des USA et de leur langue. On peut le dater de la massification de l'éducation au XIXe qui s'est fait dans chaque pays dans la langue vernaculaire, produisant de nouvelles élites ne parlant pas français. gem (d) 20 mars 2009 à 11:04 (CET)[répondre]


Sorry, je ne trouve pas inutile de conserver une langue régionale.Je vais détaillé plus avant mon sentiment à ce sujet. En Belgique nous sommes sensés apprendre les 2 langues, et nous l'apprenons tous à l'école. A l'époque lointaine de mon service militaire, j'ai été ainsi confronté avec deux ou trois cents garçons de tout le territoire wallons et bruxellois francophone. Pas de problème de communication, lorsqu'ils sont entre eux, les wallons d'une région parlent patois (idem dans le sud ouest ou en Bretagne). Lorsqu'il y un a un participant d'une autre région ils parlent le français. Pour avoir longtemps travaillé en Flandre, cela se passe tout autrement (tout au moins dans le milieu ouvrier dans lequel je gravitai). Les Flamands de différents bords parlent lorsqu'ils sont entre eux, leur dialecte régional et chacun se démerde pour comprendre l'autre. Et lorsque l'on s'adresse à eux en néerlandais, certains ne le parlent ou ne le comprenne pas. J'ai (et nous sommes quelques uns) plus facile de comprendre un hollandais que certains flamands. Lorsque j'en parle avec des flamands, ils disent qu'aujourd'hui ce n'est plus pareil. Je veux croire que dans le milieu plus ou moins intellectuel ils parlent tous entre eux le néerlandais scolaire. Quand à ceux issus du milieu manuel, ils en reviennent au patois (parlé à la maison). Comme responsable d'atelier de production, j'ai été obligé pour me faire comprendre de barraguiner une sorte de flamand qui n'avait pas grand chose à voir avec le néerlandais. Pour nous francophones nous ne devons pas apprendre une langue, mais plusieurs flamands. Pour être juste, il faudrait aussi parler de l'allemand, mais je n'ai pas eu de contact avec des gens de là bas, j'ignore comment cela se passe. D'autre part, dans le milieu ouvrier tant wallons que flamands, les gens ne voyaient pas vraiment la nécessité de poursuivre après la scolarité l'utilisation d'une langue à laquelle il n'était pas confrontée, et par manque de pratique, on finit pas l'oublier. Je me prépare, j'ai rendez vous avec un flamand qui vient m'aider à charger des objets assez lourds, et on se débrouille très bien pour se comprendre. C'est pourquoi je crois qu'il faut d'abord connaitre la langue (pas le dialecte) de son voisin, et idem pour le voisin. Ce sont nos politiques qui enveniment la situation pour justifier leur raison d'être. En France vous ne pouvez pas connaitre ce problème étant donné que Napoléon à obligé l'ensemble du territoire a avoir une langue unique. Lors de la création de la Belgique, il aurait fallut faire pareil, mais en bons démocrates nous avons opté pour le bilinguisme national (mis mis en oeuvre de mauvaise façon). Tel est le fruit de mon vécu sur le sujet.--Kkbs (d) 20 mars 2009 à 05:50 (CET)[répondre]

Après tout cela, je me suis longuement baladée dans WP cherchant à étayer mon nouveau point de vue : étant donné l'évolution de la société et me sentant citoyenne du monde, je pense que tout le monde devrait apprendre et parler une seule et même langue comme langue seconde (la langue première étant la langue maternelle). Donc l'anglais... car même en RP de Chine, l'anglais est la langue seconde. Cela résoudrait de nombreux problèmes (et notamment celui du Protocole de Londres (brevet) qui est du plus haut ridicule). Parcourant les systèmes éducatifs, je n'ai rien pu apprendre quant à l'apprentissage des langues en France ; une pythie française pourrait-elle me dire ce qu'il en est sur le terrain (quelles sont les langues seconde et troisième, quel est l'apprentissage de la langue maternelle « locale » ?) sauf qu'il existe des classes « bilangues  » (qu'est-ce que ce truc-là ?!). Merci pour vos réponses. --Égoïté (d) 20 mars 2009 à 08:39 (CET)[répondre]

Ce qui est rigolo en lisant Kkbs, c'est que pour un Suisse francophone c'est quasiment pareil avec les suisses alémaniques. La langue officielle c'est l'allemand (hochdeutsch) mais dans la vie de tous les jours c'est le patois suisse allemand qui est parlé... et qui diffère suivant la région. Moralité, les francophones apprennent une langue (pas très bien d'après mon expérience) que leurs interlocuteurs voient comme "langue étrangère" et du coup, s'ils le peuvent, quitte à répondre dans une langue étrangère, ils répondent en français. Du coup, pour les francophones, il y a un sentiment assez développé (d'après ma petite expérience) de "c'est normal qu'on parle ma langue". Bref, cela ne facilite pas vraiment la communication mais de ce que je vois, ça marche quand même. Sinon, il reste l'anglais qui résout bien des problèmes (cough). Erdrokan - ** 20 mars 2009 à 14:03 (CET)[répondre]
Alors, en France, «la langue de la République est le français». De mon temps (les choses ont pu changer depuis), c'est la seule langue enseignée à l'école primaire, toutes les autres langues étant considérées comme des langues étrangères. Dans certaines régions (Bretagne, Pays Basque, Corse), la culture et la langue locale existent encore, et les enfants ont la possibilité d'avoir un contact avec cette langue locale à l'école (en pratique, je ne sais pas comment ça fonctionne, ni si c'est vraiment fonctionnel). Depuis quelques années, il y a une pression pour introduire l'apprentissage de l'anglais à la fin du cycle primaire (de 8 à 10 ans), mais le premier vrai contact avec les langues vivantes arrive au collège (à partir de 10 ans). Les élèves doivent choisir une langue vivante primaire (LV1), qui peut être soit l'anglais, soit l'allemand (je ne sais pas si d'autres langues sont possible dans des collèges spécifiques). 2 ans plus tard, une nouvelle langue vivante (LV2) doit être choisie (anglais obligatoire si LV1 = allemand). Le plus souvent, les langues apprises sont donc anglais - allemand, anglais - espagnol, ou allemand - anglais. La disponibilité des autres langues (chinois, arabe, italien, ...) dépend de l'établissement. Vers 12 ans, les élèves ont aussi la possibilité d'apprendre une langue morte (latin ou grec) en option. La situation ne change plus jusqu'au baccalauréat (je me demande s'il n'est pas possible d'abandonner la LV2 en cours de route).
Au final, il faut bien se rendre compte que le niveau en langues est quasiment nul, même au baccalauréat, après 8 ans de cours de LV1 et 6 ans de LV2. Les profs sont à peine bilingues, et se concentrent donc sur des aspects techniques (grammaire) ou des exercices littéraires (résumés de textes, commentaires de photos...) plutôt que sur l'aspect vivant et communication de la langue. La conversation en anglais s'apprend sur le tas, si c'est nécessaire pour le boulot; autrement ça ne vient jamais, et les rudiments de grammaire anglaise se perdent en quelques années. Je pense que moins de 10 % des français, y compris les jeunes, sont capables de soutenir une conversation simple en anglais. La faute au système éducatif et au manque de contact avec une culture étrangère, probablement. Arnaudus (d) 20 mars 2009 à 11:09 (CET)[répondre]
Ah oui, en France on est politiquement correct et on évite les trolls : on parle de «langues régionales» pour désigner deux choses complètement différentes; les vrais langues (comme le corse ou le breton), les dialectes hybrides (comme l'alsacien) et les patois (forme populaire du français). C'est donc un problème éminemment politique, puisque du point de vue culturel, la perte du parler breton ne peut pas être comparé avec la perte du patois savoyard (malgré tout mon respect aux savoyards). Arnaudus (d) 20 mars 2009 à 11:15 (CET)[répondre]
Je ne veux pas polémiquer sur ce dernier point, mais quand-même : les relations phylogéniques au sein des dialectes d'oïl ne sont pas si simples ! Tu m’as tout l’air de penser à un arbre dont le français est la branche maîtresse, les autres dialectes en étant des rameaux mineurs. Il me semble que le français moderne s’est plutôt construit au XVIIe « par-dessus » un buisson foisonnant, comme une sorte d’interlangue, avec une élimination des mots ayant une trop grande variance, et un apport de néologismes précieux ; Acadméie, bon usage, etc.
Et pour continuer à ne pas polémiquer, je ne soulignerai pas en que je ne vois pas en quoi le Corse est plus une langue que le Savoyard ; c’est une variante du Toscan, peut-être même plus particulièrement du Génois, qui sont en Italie perçus comme des patois au même titre que nous percevons le Savoyard comme un patois. rv1729 20 mars 2009 à 13:35 (CET)[répondre]
Oui, je comprends bien que toutes les langues sont apparentées, mais il n'en reste pas moins que du point de vue du nombre de locuteurs, de la culture associée, et de la tradition écrite ou folklorique, certaines langues sortent du lot. Pour le corse, ce n'est pas un patois du français, ce qui peut justifier son statut particulier. Certains patois en France (comme le picard ou le normand) ne sont que du français parlé avec un fort accent paysan (avec parfois une forme écrite récente, sur le principe de 'comme ça se prononce'); je suis d'accord pour dire que finalement, cet accent fait partie de la culture de la région etc., mais de là à en faire une langue et de l'enseigner aux gamins, il y a un monde. De toutes manières, la plupart de ces patois sont extrêmement variables localement, il n'y a pas de forme normalisée ou fixée, donc on se retrouve avec une multitude de parlers locaux qu'il est de toutes manières impossible de préserver. Je conviens qu'il existe des cas un peu intermdiaires (je pense par exemple à l'occitan), qui combine les caractéristiques d'une langue (littérature et culture associée, grande répartition géographique...) et celles d'un dialecte local (grandes variations géographiques, pas de normalisation jusqu'à récemment, pas de statut de langue officielle, contamination par le français, nombreuses variantes...). Arnaudus (d) 20 mars 2009 à 15:24 (CET)[répondre]
Non, ce que je veux dire, c’est que le français est un peu à part, il casse la structure arborescente en étant issu de plusieurs branches à la fois. Le normand existait avant le français, et était une langue littéraire depuis des siècles. rv1729 20 mars 2009 à 19:47 (CET)[répondre]
J'ajoute juste quelques trucs au sujet de l'enseignement des langues en France. Il existe des classes "bilangues" (dès la 6ème deux langues vivantes sont enseignées en parallèle) et des sections dites européennes pour lesquelles l'enseignement en langues est renforcé (notamment par une heure par semaine d'une matière en langue étrangère, souvent l'histoire-géo). Au lycée il est possible de débuter l'apprentissage d'une 3ème langue, il me semble que c'est réservé aux sections littéraires. On peut aussi abandonner la LV2, en fait avec le système d'options qui était en vigueur de mon temps (bac en 2000) c'était même parfois obligatoire. Je crois que d'autres langues que l'Anglais et l'Allemand sont disponibles en LV1, il me semble que des camarades au lycée avaient pris Italien. Je plussoie Arnaudus quant à l'efficacité toute relative de l'enseignement des langues étrangères dans le système Français, on apprends des règles de grammaire (certes indispensables) par cœur et on pratique peu, voire pas du tout. Il me semble qu'en Corse le Corse est enseigné dès l'école primaire, une connaissance corse m'a dit que ses fils ne commençaient à étudier en Français que dès le collège (j'ai des doutes sur la fiabilité de cette information cela dit) Meumeumarj (d) 20 mars 2009 à 14:33 (CET)[répondre]
Un remarque. Comparer la situation du français au XVIIIe siècle et de l'anglais aujourd'hui en tant que langue internationale n'a, en fait, guère de sens, parce qu'elle repose sur un implicite : celui que les système mondial des langues était le même, avec des rapports de nature identique entre le centre (le français ou l'anglais) et les autres langues. Or, il n'en est rien. Au XVIIIe siècle, quand le français était la langue internationale, elle n'était pas même parlée par une bonne moitié de la population... française. Le monde linguistique dans lequel nous vivons est récent : la création de langues standardisées maîtrisées par l'ensemble d'une population au niveau national date de la deuxième moitié du XIXè siècle et résulte des constructions nationales. Avant, il existait un système complexe, non intégré, où coexistaient l'immense fragmentation des parlers populaires, qui constituaient autant de patois non uniformisés, que le peuple (soit 90% de la population) parlait seulement joint à quelques fragments de langue des élites (pour les hommes surtout). De l'autre, il y avait ces langues des élites, qui étaient davantage uniformisées, et qui, au XVIIIe siècle, étaient dominées par le français. Sur ce modèle, voir les travaux de Ernest Gellner, en particulier Nations et nationalisme, p.26 et 27, où il rappelle que ce type de condition interdit en fait tout impérialisme culturel : si le français exerce une quelconque emprise, c'est une fraction incroyablement limitée de la population européenne (certaines de ses élites), et quasiment nulle à l'échelle mondiale.
La situation est tout autre pour l'anglais aujourd'hui : ce sont des masses humaines considérables qui subissent son hégémonie culturelle. Le paysan kenyan possède des rudiments d'anglais, comme l'habitant de n'importe quel pays européen. Les mécanismes qui ont conduit à cette intégration du système mondial des langues sont : 1) la construction du capitalisme, qui a détruit le clivage ville/campagne, et urbanisé la population (modèle Gellner) 2) les constructions nationales qui ont uniformisé les langues et les ont imposé à des populations entières (dans le cas de la France, voir le travail de Eugen Weber) 3) depuis un siècle, la mondialisation (c'est à dire la mise en circulation des biens, économiques et culturels, et des populations) à l'échelle mondiale, et qui implique que les populations entières possèdent des langues véhiculaires, et non plus seulement quelques micro-élites commerçantes ou aristocrates. C'est dans le cadre de ce système que de véritables phénomènes d'hégémonie linguistique sont possible. Et c'est dans le cadre de ce système que les questions qui nous intéressent se posent. 1) On a, en effet, assisté d'abord à la disparition ou à la transformation en patois des parlers populaires : ils sont devenus des patois, à partir du moment où ils ont été symboliquement dominés par une langue nationale. Certains d'entre eux, dans certaines constructions nationales, ont eu le privilège de devenir des langues "nationales" (ex : le hongrois) ou de mouvements national (ex : le catalan), mais cela au prix de leur uniformisation, et du rejet des multitudes de variantes locales. C'est ce moment historique qui a contraint le paysan wallon à apprendre le français, ou le paysan hongrois la version « standard » de sa langue. C'est un mouvement lourd, qui fait que même des parlers comme les flamands sont infiniment plus uniformes aujourd'hui qu'il y a 2 siècle. 2) Depuis un siècle, avec la mondialisation, on assiste à la diffusion, à l'échelle de population entière, de langues véhiculaires stratifiées comme A. de Swaan les analyse, avec la domination croissante de l'anglais. C'est ce deuxième moment historique qui fait que le wallon doit apprendre, en plus du français, l'anglais. Bref, derrière les langues, il y a des structures sociales et des rapports sociaux et des rapports sociaux de domination qui ont une histoire, qu'il faut penser si on ne veut pas tomber dans un anachronisme de roman historique à grand tirage. gede (dg) 20 mars 2009 à 18:35 (CET)[répondre]
Merci pour la (longue Émoticône) réponse des pythies françaises et particulièrement à Arnaudus : en Wallonie actuelle, les enfants commencent à apprendre, selon le choix de leurs parents, néerlandais ou anglais (majoritairement) vers 9 ans dans le cycle primaire qui compte 6 années ; l'étude de la langue choisie continue obligatoirement pendant tout le cycle secondaire, avec la possibilité de choisir une ou deux langues supplémentaires (néerlandais, anglais, allemand ou espagnol) au cours de ce cycle ; cela dépend aussi des options proposées par les écoles (idem latin ou grec devenu, lui, extrêmement rare – je me demande même si on l'enseigne encore). Je retrouve une parfaite similitude quand au mode d'enseignement le plus courant (aspect technique et littéraire) qui fait que souvent après 8 années d'études, l'élève wallon est toujours incapable de soutenir une conversation simple dans la langue initialement choisie. (l'émission de Defossé était parfaitement illustrative à ce point de vue !) Quant à l'écrit... Cela donne, dans les examens de bilinguisme organisés par l'état pour l'embauche de ses employés une différence de plus de 20 % en faveur des Flamands.
Par contre il existe en Wallonie un certain nombre d'écoles où l'élève est placé « en immersion », c'est à dire qu'il est enseigné, dès l'école maternelle et tout au long du cursus, pour certaines heures de cours directement dans la langue seconde ; cela donne d'excellents résultats : en rétho, la conversation est fluide et correcte. Mais... les écoles peinent à trouver des enseignements pour cette langue seconde car les professeurs doivent obligatoirement provenir de l'autre communauté linguistique, et ils ne sont pas assez nombreux à choisir de vivre dans une autre région, une autre communauté, avec un salaire inférieur, etc. Certaines écoles qui avaient lancé ce type de cursus ont dû l'abandonner faute de profs... À remarquer qu'après contact avec le ministère flamand de l'enseignement et recherches par ses employés, il m'a été répondu qu'il n'existait pas d'« écoles en immersion » en Flandre.
Merci aussi à Meumeumarj pour l'explication « classe bilangue ». Quant à l'enseignement direct dans une autre langue en Belgique, voir mon texte juste ci-dessus. J'ajoute que jusqu'à ces dernières années où on a créé ces classes en immersion, il y a eu une sorte de « régression » : je connais très bien un monsieur de 69 ans aujourd'hui qui a fait ses humanités gréco-latines (donc de 1961 à 1967) dans un collège jésuite liégeois où les cours étaient enseignés en français, grec et latin avec interdiction de parler français si on était dans la tranche horaire « grec » par exemple, et même à la récréation ! En fin d'études, il parlait couramment grec et latin... par contre ses connaissances en anglais et néerlandais étaient livresques.
Merci bien entendu à gede pour le rappel historico-social. Je pense qu'on arrive au 3e moment historique et qu'il va devenir inévitable de pratiquer une seule langue « mondiale » mais qu'il faudrait parallèlement redévelopper l'apprentissage des langues (ou patois Émoticône) régionales pour préserver la spécificité des différentes cultures.
Bien à vous, --Égoïté (d) 21 mars 2009 à 07:17 (CET)[répondre]
Les Français n'ont pas voulu de l'Esperanto (ricanements dédaigneux dans l'assistance), eh bien qu'ils périssent sous le poids de leur sottise, amen. Félix Potuit (d) 21 mars 2009 à 08:46 (CET)[répondre]
Quitte à ce qu'une langue disparaisse, autant que ce soit l'espéranto, fabrication synthétique. Là-dessus, je vous laisse, je vais périr. Morburre (d) 21 mars 2009 à 11:40 (CET)[répondre]
Langue mondiale unique, ça ne durera pas. Voyez l'histoire de la tour de Babel : gros chantier, plein de corps de métiers différents, et à chacun son jargon, et hop, on ne se comprend plus. Morburre (d) 21 mars 2009 à 11:42 (CET)[répondre]
Péris, défaitiste. Félix Potuit (d) 21 mars 2009 à 16:38 (CET) [répondre]
Dans l'Esperanto, il y a deux choses : l'idée et l'implémentation. L'idée, bien qu'utopiste, reste humaniste et intressante. L'implémentation catastrophique par Zamenhof l'a condamnée au moment même de sa naissance. Dommage, c'est foutu. Bon, maintenant, l'anglais joue le rôle quæaurait pu jouer l'Esperanto, dommage pour la domination culturelle et la facilité d'apprentissage. Arnaudus (d) 22 mars 2009 à 22:18 (CET)[répondre]

Mathématiques et économie ?[modifier le code]

Salut, ô omniscient Oracle !

Sais-tu qui est le premier mathématicien qui a eu l’idée d’appliquer les mathématiques à l’économie financière ? - CheepnisAroma | 19 mars 2009 à 14:20 (CET)[répondre]

Précise un peu, parce que pour autant qu'on sache, l'économie financière est une des origines (avec l'astronomie et le cadastre) des mathématiques...
gem (d) 19 mars 2009 à 14:33 (CET)[répondre]
[conflit d'édit]
Suivez le guide Mathématiques financièresThéorie moderne du portefeuilleHarry Markowitz où vous aurez lu successivement que «L'actualisation et l'utilisation des probabilités remontent à plusieurs siècles. Toutefois, il est considéré que la théorie moderne des marchés financiers» commencent avec les travaux de Harry Markowitz. --Olivemrs (d) 19 mars 2009 à 14:35 (CET)[répondre]
Voyez aussi Probabilité#La notion moderne de probabilité.
Les mathématiques ont deux à trois mille ans d’existence ; les probabilités en sont une branche récente, ça ne commence vraiment qu’au XVIIe siècle. rv1729 19 mars 2009 à 15:12 (CET)[répondre]
Merci pour vos réponses. Désolé, je ne suis vraiment pas doué pour la recherche (Smiley oups). De mon côté, j’ai trouvé la page Louis Bachelier. - CheepnisAroma | 19 mars 2009 à 15:55 (CET)[répondre]

Ce genre de question parait simple ; rien ne l'est pourtant moins : aucune science n'a de commencement absolu, et la définition du champ scientifique, nécessairement anachronique, que l'on adopte conditionne fortement la réponse. Si l'on pose la question de savoir qui est à l'origine de l'approche formalisée moderne en économie financière, Irving Fisher (calcul d'actualisation) et Frederick Macaulay (calcul de valeur actualisé d'une obligation) apparaissent alors comme de sérieux candidats, le véritable fondateur étant Harry Markowitz. Si l'on veut savoir qui a, le premier, utilisé des outils mathématiques, même simples, pour faire des calculs financiers, la réponse est que les mathématiques doivent une partie de leur développement à l'aide qu'ils ont apporté à ce type d'opération, et leur histoire, fort ancienne, ne cesse de s'y mêler : on en trouve des traces dès Sumer. gede (dg) 19 mars 2009 à 16:25 (CET)[répondre]

Voiture américaine inconnue[modifier le code]

Bonjour,

Quelqu'un peut-il m'aider à identifier cette voiture (marque et modèle) : http://i85.servimg.com/u/f85/12/55/00/51/image310.jpg ? Merci par avance pour vos réponses.

Cordialement,

Jean-Marc

Je dirais : une Buick (à cause des trous d'aération sur l'aile) et très probablement un modèle 1952 (en tous cas pas avant 1948 et pas après 1954). Mais mon expertise est somme toute limitée en ce domaine. gede (dg) 19 mars 2009 à 16:40 (CET)[répondre]
je confirme : les macarons sur l'aile avant = buick. Pour l'année, il faudra que je me replonge dans ma collec de Nitro (à tout à l'heure).Cobra Bubbles Dire et médire 19 mars 2009 à 17:11 (CET)[répondre]
Il y a une masse de Buick sur commons:Category:Buick vehicles; Reste à trouver des photos d'arrières... -- Xofc [me contacter] 19 mars 2009 à 17:42 (CET)[répondre]
Ayé : je crois que c'est une Buick Eight Sedan 1951 (quatre portes avec montants). Je base mes propos (enfin ceux de Nitro, confirmés par [9] sur la partie chromée juste devant le passage de roue arrière qui est la différence la plus visible (compte-tenu de la faible luminosité) avec une Buick Sedan 1952 (j'ai quand même galéré un peu, faudra penser à mettre le flash la prochaine foisÉmoticône). Cobra Bubbles Dire et médire 19 mars 2009 à 19:08 (CET)[répondre]
J'y étais presque... (NB : il faut savoir qu'à l'époque les constructeurs américains changeaient la carrosserie de leur voiture chaque année, pour chacun de leurs modèles, les modifications étant parfois faibles, mais, par accumulation, significatives à l'échelle de la demi-décennie. C'était le bon temps, celui de la splendeur et de la puissance industrielle américaine, avant la mise en dépôt de bilan 50 ans plus tard...). gede (dg) 19 mars 2009 à 19:28 (CET)[répondre]

Extremes Ghostbusters le dessin animés[modifier le code]

Bonsoir cher oracle,

Je cherche désespérement le nom de l'artiste qui chante la chanson du dessin animés Extremes Ghostbusters qui passais sur France 3 il y a déja un certain nombre d'années je connais déja l'artiste qui chantait pour la Bande original du film mais pas celui du dessin animés qui déja un peu plus rock :) et bien je m'en remet a vous et vos connaissances...

Je vous salue bien bas, votre dévoué serviteur

un humble internaute

Ici, la fiche technique indiquant Jim Latham, Ray Parker Jr pour les musiques, sans autre précision — Hautbois [canqueter] 19 mars 2009 à 19:35 (CET) , y a même le générique…[répondre]

Pourquoi sur les panneaux, il y a des "trous" (les cellules ont globalement une forme carrée avec les 4 coins tronqués). Peut-être est-ce du à la forme du monocristal de silicium. Si tel est le cas, ne peut-on pas produire des monocristaux ayant des formes qui pavent le plan (carré, rectangle...)? En partant sur cette hypothèse, pourquoi ne pas laisser la forme circulaire (quite à ne pas se casser la tête, autant faire le plus simple)? Et pourquoi dans les 2 cas, forme circulaire ou carrée, ne bouche-t-on pas les "trous" (en mettant une petite cellule au milieu)? On gagnerai ainsi sur le ratio production/surface occupée.

Et comment on fait les bébés?

Skiff (d) 19 mars 2009 à 20:05 (CET)[répondre]

Je doute que ça soit dû à la forme du cristal... il y a une notable différence d’échelle, non ? rv1729 20 mars 2009 à 09:02 (CET)[répondre]
Je parlais d'un monocristal rv1729, comme sur la photo ci contre. Skiff (d) 21 mars 2009 à 07:24 (CET)[répondre]
Monocristal de silicium
Monocristal Objet macroscopique obtenu par translation de la maille élémentaire dans les trois directions de l'espace. Les propriétés du cristal reflètent donc dans toutes les directions celles de l'édifice cristallin à l'échelle atomique.
Ce que je voulais dire, c’est que les contraintes sur la forme du monocristal sont imposées par la forme de la maille élémentaire. C’est contraignant, mais pas au point d’imposer de faire des gros trous. Mais sans doute était-ce à côté de la plaque... rv1729 21 mars 2009 à 08:23 (CET)[répondre]
vous avez des informations pas récente, vous... Les panneaux modernes utilisent des cellules carrées
exemple : http://shop.fotovoltaikshop.de/nav_1_nav_fotovoltaikmodule.html?language=en
Si j'ai bien compris (sous toute réserve, donc) à l'origine les lingots avait un diamètre faible et chaque cellule correspondait à un diamètre de lingot ; aujourd'hui les lingots sont beaucoup plus gros et on les découpe pour obtenir des carrés. Faire des lingots sur une base non circulaire serait beaucoup plus compliqué et d'un intérêt limité, voyez la partie production industrielle de l'article silicium (plutôt bien je trouve).
De toute façon, n'oubliez pas que ce qui compte c'est que ratio W / $, pas le ratio W / m² qui n'est qu'une composante mineur du W /$ (sauf cas très, très spécifique : satellites par exemple). Se faire ch... en fabrication pour combler les trous est compliqué, donc couteux.
Il y a des pavages hexagonaux à partir de cellules circulaires, ce genre de pavage ne perdant pas place sans être trop compliqué à faire.
gem (d) 20 mars 2009 à 09:57 (CET)[répondre]
gem, merci pour ta réponse et pour le lien, j'ai appris quelque chose, il existe des panneau "sans trou". Je me doutais un peu de la réponse, un bête histoire économique. Skiff (d) 21 mars 2009 à 07:24 (CET)[répondre]

Néologismes dans les articles[modifier le code]

Bonjour, j'aimerais savoir si les néologismes non-reconnus par un dictionnaire ont leur place dans les articles de Wikipedia, ou s'il convient de les remplacer/éviter. Je pense notamment à "clochardisme" vu dans l'article microsociologie (j'ai remplacé, dans le doute, rien ne sert d'aller voir. Cependant, la discussion de l'article concerne ce supposé néologisme); Et au mot "restylage" présent ici : [10] . Donc, en particulier dans le cas de ce dernier (restylage), cela est-il à modifier, ou cela est-il correct ainsi ?
Je vous remercie de votra aide et de votre travail -- VampireRabbit (d) 19 mars 2009 à 21:02 (CET)[répondre]

Vous faites bien de changer les néologismes par des mots reconnus ou expressions explicatives.
Néanmoins certains mots des dicos ont étés oubliés ou ne sont pas passés dans la langue courante ( trop tard comme pour l'adèle ). Et à contrario certains mots de la langue courante ne se trouvent pas ( encore ) dans les dicos de référence.
Freiner trop fort n'est pas sain non-plus, on se retrouve soit à importer un mot ( webcam ), soit à rajouter un sens à un mot existant ( puce ). C'est ça aussi l'évolution d'une langue.
Dur dur la vie d'académicien de la langue française. ViZiT (d) 19 mars 2009 à 23:30 (CET)[répondre]
Pour le "restylage", l'article a du être trituré par un obsédé de la francophonie, qui trouvait "relooking" trop anglais... --Serged/ 20 mars 2009 à 09:10 (CET)[répondre]
Restylage et remodelage sont utilisés depuis 20 ans dans l'industrie automobile (en lieu et place de l'anglais "restyling") voir [11] Ziron (d) 21 mars 2009 à 11:32 (CET)[répondre]

Quelles graines pour croissance rapide en lumière artificielle ?[modifier le code]

Bonjour. Je cherche à rendre mon studio un peu vivant, et j'habite en sous-sol donc toutes petites fenêtres et il pleut la plupart du temps alors il n'y a pas de lumière quoiqu'il en soit. Je cherche à planter quelques petites graines qui grandiraient assez vite avec lumière minimale. Arroser régulièrement n'est pas un problème. Quelles sont vos suggestions ? Merci Philippe Giabbanelli (d) 19 mars 2009 à 21:09 (CET)[répondre]

Faites des recherches sur les sites de "culture + hydroponique", les conseils et le matériel me semblent pertinents ( bon c'est vrai qu'ils sont spécialistes de la culture de plantes vertes en milieu non-naturel ), j'ai même remarqué une ampoule basse-consommation spécialisé croissance plantes vertes Émoticône. Et faites aussi des recherches avec "plante verte exposition ombre", si en plus elles sont dépolluantes, agréables et faciles a entretenir, c'est le top.ViZiT (d) 19 mars 2009 à 23:54 (CET)[répondre]
Pour augmenter la lumière naturelle chez vous et rendre le local plus « vivant », vous pouvez aussi utiliser des miroirs [12] (on peut aussi les placer à l'intérieur si la configuration de la fenêtre s'y prête). Bien à vous, --Égoïté (d) 20 mars 2009 à 07:08 (CET)[répondre]
Chercher aussi du côté de spécialiste de la culture d'herbe qui fait rire. En effet ce genre de plante se cultive souvent en appartement à l'abri des regards, donc en lumière artificielle. --Serged/ 20 mars 2009 à 09:08 (CET)[répondre]
Pourquoi ne pas essayer des endives chicons ? S.M. | D.S.M. (4) 20 mars 2009 à 10:39 (CET)[répondre]

Synthèse de la sulfamide à partir du SO2.[modifier le code]

Bonjour à tous. Étant donner le prix exorbitant de la sulfamide (H4N2O2S), la syntèse de se composé me parait une idée ingénieuse. Toutefois, la méthode traditionnelle avec le chlorure de soufre me semble quelque peu hasardeuse. L'article en anglais de wikipédia sur le sujet parle bien d'une synthèse des ``sulfamides´´ utilisant du dioxyde de soufre et diverses amides, mais ces dernières sont plutot une classe d'amides, et non pas la substance recherchée. Quelqu'un parmi vous, aux honorables pythies, pourrait-il vérifier la véridicité de ces faits, et, le cas échéant, tenter de trouver un moyen semblable de produire LA sulfamide, avec les proportions (et le plus de détails possibles svp)? Merci d'avance.

Le prix exorbitant de cette molécule ne laisse-t-il pas penser que sa synthèse est difficile ? Je demanderai ce soir à ma chimiste préférée si elle sait comment ça se bricole. Notez que d’après notre article, c’est bien une molécule synthétique (et non extraite du jus de gougnaffe ou quelque chose du même genre. rv1729 20 mars 2009 à 08:56 (CET)[répondre]
Exorbitant  ? C'est une vieille molécule, donc sa synthèse + purification doit être assez simple (conceptuellement et techniquement), donc relativement peu couteuse en sortie de laboratoire.
La preuve là : http://paris2007.udppc.asso.fr/docactes/2007/116_02042008123220.doc
(google est ton ami pour cette question : synthèse + sulfamide
Après, intervient le système de distribution médicale, forcément très couteux quand on le rapporte au poids / volume distribué.
gem (d) 20 mars 2009 à 10:19 (CET)[répondre]

Sur spectrumchemical.com la sulfamide se vend 46,90$ pour 5 grammes...Merci pour la synthèse.

Révolution Française[modifier le code]

Il y a quelques temps j'ai lu un livre sur la Révolution Française de 1789 qui reprenier la vie au quotidien d'un sans culotte faisant partie d'une section. Il était relaté dans ce livre jour par jour et heure par heure les faits marquants de cette section ! ! ! Je ne ma rappele plus le titre de ce livre ! Quelqu'un pourrait-il le rappeler à mon bon souvenir? Merci beaucoup d'avance

« Mémoires d'un sans-culotte bas-breton » d'Émile Souvestre ? — Hautbois [canqueter] 20 mars 2009 à 12:46 (CET)[répondre]

Profonde déprime...[modifier le code]

vos articles sont totalement vide je n'ai pas puy avoir des renseignements sur l'interfece de puissa,ce vous avez détruit ma vie adieu

Et pourtant un petit coup de Google, même avec les fautes de frappe vous donneront un bon paquet de résultats intéressants. Désolés d'avoir détruit votre vie. Les pitoyables Pythies piteuses Dhatier jasons-z-en 20 mars 2009 à 17:40 (CET)[répondre]

En attendant, déprime ou pas l'IP en question a déjà un passé de vandale voir ses dernières contributions [13] et sa page de discussion Discussion Utilisateur:193.49.246.193.En ce qui concerne la modification de l'article Massif du Vercors pas de problème quelqu'un est passé par là, mais celles concernant Accord du participe passé en français il vaut mieux les laisser (?) car l'article de toutes façons est en cours de recyclage, mais pour éviter les recherches je copie ci-après les modifications textuellement:
Moyen Mnémotechnique
Cette technique fonctionne dans la plus pare des cas : Il faut lire la phrase dans l'ordre jusqu'au participe passé si on sait de quoi on parle, alors on accorde. Exemples :

  • Les pommes que j'ai mangées... -> Ici on parle des pommes => on accorde
  • Jenny a acheté... -> On ne sait pas de quoi on parle => on n'accorde pas.

Adieu.Émoticône--Doalex (d) 20 mars 2009 à 18:35 (CET) Je précise qu'il s'agit d'une IP scolaire.[répondre]

Mais une IP scolaire ça veut dire que c'est une IP qui apprend ? Petit ip deviendra grand ... Émoticône --Olivemrs (d) 21 mars 2009 à 00:10 (CET)[répondre]
Nous ne disposons pas d'informations sur l'interfece, mais à tout hasard, nous avons Fèces... J'aime aider. Félix Potuit (d) 21 mars 2009 à 09:02 (CET)[répondre]

Langue nationale[modifier le code]

Bonjour, à part la Belgique, la Suisse, le Grand duché du Luxembourg et le Canada, y a t'il d'autres pays qui ont plusieurs langues officielles nationales? Rencontrent t'ils les mêmes problèmes que le fléau linguiste belge? La presse n'en parle pas, donc je suppose que nous sommes malheureusement un cas unique. Un avis contraire me plairait beaucoup. --Kkbs (d) 20 mars 2009 à 19:31 (CET)[répondre]

J’ai vécu en Espagne et je peux te rassurer (je peux te tutoyer ?) : c’est pas de la tarte non plus, entre la Castille, le pays Basque et la Catalogne, l’agressivité monte vite dans les conversations de fin de soirée... rv1729 20 mars 2009 à 19:44 (CET) La Gallice, Galice ça va[répondre]
Désolé mais c'est pareil, même si tu l'écris avec un seul l .Émoticône --Doalex (d) 20 mars 2009 à 20:28 (CET) Hum, sans doute qu’il y a moins de tension parce que moins de nationalisme, c’est ce que je voulais dire. rv1729
[répondre]
Voir l'article Liste des langues officielles dans lequel tu trouveras que les quatre pays que tu as cités sont une petite minorité. Dhatier jasons-z-en 20 mars 2009 à 19:47 (CET)[répondre]
… rien qu'en voyant Kurde avec ses ref[réf. nécessaire] sur 4 pays… le problème belge me paraît… sans vouloir minimiser. — Hautbois [canqueter] 20 mars 2009 à 20:52 (CET) (Merci Dhatier de cette page que je ne connaissais pas.)Moi non plus! Tire la langue Dhatier jasons-z-en 20 mars 2009 à 21:44 (CET)[répondre]

Je suis Québecois et je peut te dire que la situation linguistique ici n'est pas simple non plus. Elle ressemble peut-etre un peu à la Belgique: deux ``solitudes­­´´ qui ne se parlent pas (mais ne se déteste pas non plus, peu importe ce qu'en pense Sarko...). Vive le Québec libre!

Le Kenya parle officiellement anglais et swahili, l'Algérie l'arabe et le berbère. Pour le cas de l'Algérie la reconnaissance du berbère (la langue et la culture) a été longue et difficile me semble t-il. Israël a 2 langues officielles, l'hébreu et l'arabe, mais les problèmes dans le pays ne me semble pas linguistiques... HaguardDuNord (d) 20 mars 2009 à 21:30 (CET)[répondre]
Ils ne sont jamais strictement linguistiques : ce sont toujours des groupes sociaux qui sont en confrontation, et l'enjeu est toujours celui de la place de chaque langue dans l'espace public, en tant qu'il donne accès à des ressources économiques et politiques. Ce sont ces groupes qui luttent, pas les langues. Typiquement, ces problèmes naissent du renforcement du pouvoir central au moment des constructions nationales, et de la centralisation symbolique que celui-ci opère, en imposant et définissant une langue nationale, qu'il impose ensuite. Les périphéries les plus distantes du pouvoir central, et les plus éloignées culturellement, sont alors doublement marginalisées : parce qu'elles sont loin physiquement des lieux de pouvoir et parce qu'elles sont contraintes d'acquérir une nouvelle culture, une nouvelle langue. C'est, en réaction, à cela que se développe les mouvements nationalistes périphériques, qui miment le pouvoir central en unifiant la langue de la périphérie, comme l'a fait le pouvoir central pour la langue centrale, et en luttant pour imposer son usage dans l'espace public. Ce sont des phénomènes réactifs. C'est typiquement le cas de l'Algérie, où la revendication kabile est une revendication réactive, face à la politique d'arabisation du pouvoir central (politique complexe, puisque l'arabe officiel n'est pas celui qui est parlé par la population) (avec tout le travail habituel de production de grammaire, et même la réinvention d'un alphabet oublié). Dans le cas de la Belgique ou du Canada le problème prend une forme exacerbée dans la mesure où la construction nationale s'est opérée sous la forme d'une intégration de deux populations, l'une dominant l'autre. Les deux groupes n'ont donc pas longtemps vécu auparavant sous l'autorité d'un même roi (cas des périphéries en France ou en Espagne), et elles sont de taille presqu'égale : la périphérie ne l'est pas véritablement : elle est seulement constituée d'un groupe social qui a été historiquement dominé au moment de la construction nationale. L'intensité de la lutte linguistique en Belgique est incompréhensible si on ne se souvient pas que la construction nationale belge a été entièrement contrôlée par les élites wallonnes, soutenues par certaines élites flamandes, alors francophones, qui ont dominé une population déjà majoritairement néerlandophone, à qui ont ils ont nié jusqu'au droit d'utiliser leur langue dans l'espace public (des écoles aux tribunaux et à l'armée), et qui ont été contraintes de se soumettre pour accéder à des positions sociales, partant avec un handicap linguistique. Les groupes sociaux ont une mémoire : les extrémistes flamands (qui sont près d'un tiers de la population flamande) entendent aujourd'hui prendre leur revanche, maintenant que le rapport de force au sein du pouvoir central s'est renversé en leur faveur. gede (dg) 20 mars 2009 à 23:09 (CET)[répondre]
Belle démonstration Gede, toutefois nier la langue me parait excessif, c'est le reste de l'héritage laissé par la France après nous avoir conquis et occupés. Si ma mémoire est bonne, les pays du Magreb ont une armée commandée en français, en Afrique du Sud les jugements sont fait en anglais avec perruques et robes rouge. Le français était considéré à l'époque comme la langue internationale (démonstration fait un peu plus haut). Une jeune nation ne pouvait que s'inspirer de l'exemple de cette grande nation qu'était la France et adopter une grande partie de cet héritage. Je ne crois pas que délibérément les politiques et les bourgeois aient voulus brimer les flamands. C'était dans l'air du temps (suite à la révolution française) et le souvenir laissé par les Hollandais pouvaient y être pour quelque chose. Aujourd'hui, une fois admis les erreurs (qui ont d'ailleurs été largement compensées de diverses manières) ce chapitre de notre histoire devrait être clos. Nos divergences exacerbées par les politiques devraient être mises de côtés au profit de tous. Il ne faut pas croire non plus que les flamands s'entendent entre eux, ils font front commun contre les francophones, c'est tout. Naturellement il y aurait beaucoup à dire sur le sujet avec toujours du pour et du contre, c'est pourquoi il faudrait passer à autre chose (mais encore c'est le fond de roulement de certains politiques) Imaginez un instant un restauration de la Belgique dans sa mouture des années 60, que faire faire à tous ces politiques devenus inutiles. Chômeurs ? --Kkbs (d) 21 mars 2009 à 06:38 (CET)[répondre]
Très bonne réponse, àmha, Kkbs. --Égoïté (d) 21 mars 2009 à 07:19 (CET)[répondre]

Pour revenir au sujet, je n'ai pas vu l'émission de Defossé. Je crois pouvoir dire sans trop d'erreur que pour un francophone, la tournure de phrase inversée en néerlandais, anglais et allemand ne facilite pas l'apprentissage de la langue. De plus si comme moi on est nul en analyse grammaticale en français, cela devient encore plus dur. Cela contribue peut être au découragement qu'ont certains francophones à apprendre et à pratiquer une de ses langues. La plupart des flamands que je connais se débrouillent pas trop mal en allemand et en anglais, pour le français ils ont le même souci que nous. Une différence de taille, c'est qu'ils ont la volonté (obligation ?) de se mettre au français (enfin ceux qui ont de l'ambition).--Kkbs (d) 26 mars 2009 à 12:16 (CET)[répondre]

Maison et Société de Navarre[modifier le code]

Bonsoir, Jean Charles François Legros, neveu du peintre Jean Le Gros est cité dans l'acte de décès de l'artiste comme docteur de la Maison et Société de Navarre. Est-ce que cette institution a un lien avec le collège de Navarre ? Merci. Philippe Nusbaumer (d) 20 mars 2009 à 21:30 (CET)[répondre]

La maison et société de Navarre était une association distincte et peu nombreuse qui n'admettait que des prêtres séculiers après des épreuves spéciales. Les membres juraient de ne passer jamais dans aucune autre agrégation.. Et semble bien distinct du Collège de Navarre. ViZiT (d) 20 mars 2009 à 22:17 (CET)[répondre]

Vésicule bilaire[modifier le code]

bonjour, je voudrais savoir pouquoi le cheval et le chevreuil n'ont pas de véscule biliaire alors que le cerf ou la chèvre par exemple en ont une quant à eux?

Le pourquoi, je ne sais pas, et je présume que peu de scientifiques pourront vous répondre. Je me borne a constater que les métabolismes sont différents dans les espèces animales comme relevé ici, et sont tout aussi efficaces. ViZiT (d) 20 mars 2009 à 22:36 (CET)[répondre]
Le cheval et le chevreuil ne mangent pas gras. Émoticône rv1729 22 mars 2009 à 14:27 (CET)[répondre]

combien d'homme[modifier le code]

bonjour immense oracle, pouvez vous me dire combien la terre peut contenir d'hommes au maximum, et pourquoi pas plus ou moins.merci encore.

Techniquement, au maximum, je dirais quelque chose de l'ordre de grandeur de 510 067 420 (surface de la Terre en km2)* 0.29 (71% de mer) * 2000000 (2 hommes au m2) = pas mal, mais on va être un peu serré. De là a dire, qu'il va y avoir de quoi nourrir tout le monde, que tout le monde sera heureux, il y a un pas que je ne franchirais pas. Si on rajoute les contraintes nutritionnelles et environnementales, on doit pas être loin du maximum (si on ne l'a pas déjà franchit).
Bonjour, si on creuse bien, beaucoup.
Sinon c'est un question de limite physique : énergie, oxygène, eau et nourriture disponibles. Pour l'espace ce n'est pas un problème, on peut empiler sur plusieurs niveaux. Évidemment cela change selon les paramètres pris en considération : quantité de pétrole ou de nucléaire disponible, géothermie profonde, dessalement et recyclage de l'eau de mer pour obtenir de l'eau consommable, hydrolyse pour l'oxygène, culture des océans pour la nourriture...
Donc la limite absolue, si on disposait de suffisamment d'énergie, serait un savant mélange de terres arables, énergie, temps de culture...dur d'avancer un chiffre. Peut-être trois trillions comme dans l'œuvre ci-dessous.
Le meilleur livre d'anticipation que j'ai lu a ce sujet, poussant la surpopulation au point de détruire toute vie animale et végétale non-consommable ( et recyclant toute protéine ), cultivant toute la surface possible de la planète et les océans, les humains vivant dans des cités souterraines, fut Humanité et demie de T.J.Bass, dont vous pouvez lire un résumé ici.
Reste plus qu'a trouver de la place pour les femmes et les enfants. Émoticône ViZiT (d) 21 mars 2009 à 12:00 (CET)[répondre]
Moi je dirais qu'il n'y à de la place que pour un seul homme. La preuve : à partir de 2, ils se battent. HaguardDuNord (d) 22 mars 2009 à 10:42 (CET)[répondre]
Si on parle en terme de ressources disponibles pour chacun il me semble avoir lu quelque part que l'on oscille entre +/- 500 millions (en vivant tous comme des Occidentaux) à +/- 30 milliards (en vivant tous comme des paysans du Bangladesh). Vu qu'on approche à grand pas des 7 milliards (et à terme des 9 milliards vers 2050 si ma mémoire est bonne) on peut en conclure que si tous le monde veut une bagnole, un pc, partir en vacance dans les îles et bouffer de la viande tous les jours on est déjà 6500 millions de trop ... --Cornild (d) 22 mars 2009 à 10:59 (CET)[répondre]
Plus de 700 000 000 d’européens et de 300 000 000 d’Américains et Canadiens... il me semble bien qu’on a déjà dépassé 500 000 000 d’Occidentaux. « Plus ou moins ». rv1729 22 mars 2009 à 14:43 (CET)[répondre]
Pour donner des chiffres un peu plus précis, on peut se fonder sur le concept d'empreinte écologique, qui est contestable, mais qui est le seul disponible pour répondre à ce genre de question. L'empreinte écologique mesure la surface terrestre qui fournit les ressources dont a besoin un individu, de même que la surface qu'il lui est nécessaire pour recycler ses déchets, et ceci de manière durable. Il est, en effet, toujours possible de surexploiter les ressources naturelle sur une courte période, mais non de manière durable, comme nous le rappelle de nombreuse catastrophes écologiques fondées sur la surexploitation de ressources (chasse des bisons et pêche des baleines au XIXème siècle, disparition de la mer d'Aral en raison de l'irrigation des cultures de coton etc.). Actuellement, un homme a besoin de 2.5 hectares de surface terrestre en moyenne. La terre compte (une fois soustrait les zones non utiles et la satisfaction de leur besoin par les autres espèces) approximativement 9 milliard d'hectares utiles à l'homme. De manière durable, la population humaine maximale est donc d'environ 3.6 milliards d'individu, soit un gros tiers de moins que les 6 milliards qu'elle compte actuellement. Toutefois, l'empreinte écologique est fonction du style de vie des individus : plus ils consomment de ressources, plus l'empreinte est grande. Ainsi, si la population n'était composée que d'américains, qui sont le peuple qui consomme le plus de ressources, la population humaine maximale de manière durable est d'un peu moins d'un milliard d'individus, soit 6 fois moins qu'actuellement. Au contraire, si la population humaine n'était constituée que d'africains ou d'Indiens, la population maximale pourrait être de 9 milliards d'individus, soit un tiers de plus qu'actuellement. Tous ces chiffres sont à prendre avec beaucoup de précaution, puisqu'ils sont fondés sur des hypothèses nécessairement fragiles, étant donné la complexité de ce qu'il y a à mesurer, et qu'ils constituent un instrument de communication en faveur de l'écologie pour ses promoteurs. Le concept d'empreinte écologique est toutefois suffisamment sérieux pour être de plus en plus repris par d'autres acteur, plus "neutres". gede (dg) 22 mars 2009 à 17:23 (CET)[répondre]
Question place, on atteint déjà sans aménagement spéciaux 35 000 hab / km² (Densité de population), donc rien que sur terre et en excluant quelques zones pas sympa du tout et de menues réserves naturelles, on peut caser sans la moindre difficulté 3 à 4 mille milliards de personnes en n'occupant "que" 20 % de la surface de la Terre (
Question alimentation, ce n'est qu'une question d'énergie disponible, qu'on peut ensuite convertir en nourriture et purification d'eau. En supposant un rendement assez minable de 1% pour cette conversion (si vous avez une meilleure estimation je prend, mais c'est raisonnable : c'est approximativement le rendement de la photosynthèse, donc on sait le faire), compte tenu de la puissance moyenne d'une personne qui est de 100 W, il faut trouver 10 000 W par personne.
Et, pour le confort et l'industrie, on peut ajouter 10 000 W d'appareil et machines divers (en moyenne par personne et sur la vie entière : même si une voiture fait dans les 50 kW, on s'en sert quelques centaines d'heures par an seulement et souvent à plusieurs, la moyenne descend donc à quelques kW), c'est très correct. Total 20 000 W (là encore on peut discuter de ce chiffre, c'est juste pour fixer les idées)
Sachant que, en moyenne (sur toute les latitudes et jour-nuit), le soleil nous balance 342 W / m² (Constante solaire) et qu'on sait en récupérer 15 %, on obtient environ 50 W utile par m², soit 50 MW par km², soit 2500 unités de 20 000 W par km² (bien moins que les 35 000 hab /km² qu'on sait faire).
Donc, avec les technologies d'ores et déjà disponibles et un confort très raisonnable, sous les hypothèse adoptées, la limite de population est de l'ordre de 2 500 hab / km² artificialisés, ce qui donne en occupant 20 % de la planète (les 2/3 des surface émergées), plus de 250 milliards d'habitants.
Il y a certainement des calculs fait par des chercheurs reconnus, et il faut s'attendre à des divergence dépassant 1 à 10 vu la sensibilité aux hypothèses de départ, mais une chose est sûre : la première limite physique c'est l'énergie.
En outre, l'idée de transformer la planète en une énorme zone urbaine continue est certainement choquante...
gem (d) 23 mars 2009 à 12:09 (CET)[répondre]
Décidément, question sans réponse... Si on compare les chiffres donnés ici par les uns et les autres, on a une disparité tellement grande que ça n'a pas beaucoup de sens... .: Guil :. causer 24 mars 2009 à 16:13 (CET)[répondre]

Demander la rédaction[modifier le code]

Bonjour, comme toujours lorsque je demande la rédaction d'un article, je ne sais pas du tout dans quelle rubrique le placer.
Ainsi, dans "Art et Culture", je ne trouve pas la partie mythologie et croyances.
Le problème s'oppose à moi pour sargatanass dont on parle par exemple dans l'article le Grand Grimoire, et pour Lima (dieu romain) ...
Ma question est donc : où placer ma demande de rédaction ? Meci ! Vampirerabbit (d) 21 mars 2009 à 11:31 (CET)[répondre]

Sur cette page vous pouvez Wikipédia:Demander un article. Mon "Dictionnaire des mythologies" ne référence aucun "Lima (dieu romain)". Sargatanas était un commandant des hordes infernales selon cette source. ViZiT (d) 21 mars 2009 à 12:33 (CET)[répondre]
J'ai fait une petite rectification sur la page Lima (homonymie), en attendant qu'un spécialiste de la chose s'attaque au problème... Félix Potuit (d) 21 mars 2009 à 12:41 (CET)[répondre]
Voila, j'ai fait la demande a votre place.

Uniforme de la Wermarcht - ruban[modifier le code]

Certains officiers portaient un ruban partant du deuxième bouton (en partant du haut) de la veste et se dirigeant vers le bas à 45° à l'intérieur de la veste. Je n'ai malheureusement pas la couleur du ruban étant donné que je l'ai vu dans le film "La liste de Schindler". Est-ce une décoration, une distinction ou un signe d'appartenance à un régiment ? Merci d'avance pour vos réponses éclairées. Skiff (d) 21 mars 2009 à 18:08 (CET)[répondre]

Une photo ici.
La réponse est ici, il me semble. gede (dg) 21 mars 2009 à 23:56 (CET)[répondre]
C'est tout à fait ça dont je parlais et l'article confirme bien que la croix (de 2eme classe) ne se portait que le jour de la remise de la décoration et qu'elle était remplacée par le ruban après. Merci pour ta réponse Gede. Skiff (d) 22 mars 2009 à 09:15 (CET)[répondre]

BTS commerce international au Cameroun[modifier le code]

Bonjour ! quel est le contenu du programme bts commerce internationa étendu sur deux ans au cameroun? Merci.

Voyez auprès de l'administration concernée. Bonnes recherches. Piero (d) 22 mars 2009 à 07:36 (CET)[répondre]

Un oiseau au chant de crécelle dans le Quercy... ?[modifier le code]

Bonjour Oracle des Oiseaux, peut-on me dire quel oiseau, ou autre animal, dans le Quercy, 100 km au nord de Toulouse, 100 km au sud de Brives, produit le son d'une crécelle sec, grave, très puissant ? Espace de 20 secondes entre deux "rafales". Merci.

Est-ce bien un chant, ou un pic qui frappe un arbre creux ? rv1729 22 mars 2009 à 10:39 (CET)[répondre]

Non, c'est bien un chant. Beaucoup rapide, (fréquence plus élevée, mais assez rauque), que le pic qui frappe contre un tronc. Cela fait comme une chaîne ( pas en métal mais en bois ...) en bois qui râclerait sur une planche... jbdepradines (d) 22 mars 2009 à 16:13 (CET)[répondre]

En forêt, ou dans le bocage ? rv1729 22 mars 2009 à 20:41 (CET)[répondre]
, écoute la sittelle qui « pianote » (titre 18). Sinon, explore, il y a aussi ça. rv1729 22 mars 2009 à 20:51 (CET)[répondre]

Merci. Mais ce n'est pas du tout ce genre de chant. C'est comme un claquement ( rararararara très rapide et sec ) de planchettes, pas mélodieux du tout. C'est dans les arbres. jbdepradines (d) 23 mars 2009 à 00:26 (CET)[répondre]

Je ne vois pas du tout. Mais, pour guider d’autres pythies : dans les arbres, en forêt ou dans le bocage ? rv1729 23 mars 2009 à 07:57 (CET)[répondre]

Forêt ... jbdepradines (d) 23 mars 2009 à 09:12 (CET)[répondre]

Pourrais-tu comparer le bruit à du papier froissé ? Si oui, c'est le rouge-queue. Bien à toi, --Égoïté (d) 23 mars 2009 à 09:37 (CET)[répondre]
Un engoulevent ? S'entend aussi sur le site donné par RV. Balpo (d) 23 mars 2009 à 16:34 (CET)[répondre]
Le seul bruit de crécelle (claquement rapide et sonore de bec, et qui peut durer plusieurs minutes) que je connais est celui familier du merle qui a repéré un intrus ou un danger sur son territoire. Fréquemment sur la présence d'un matou dans les parages. Attaleiv (d) 23 mars 2009 à 18:45 (CET)[répondre]

Merci jbdepradines (d) 25 mars 2009 à 09:38 (CET) Désolé, il s'agissait en réalité du cri d'un chevreuil... jbdepradines (d) 5 avril 2009 à 18:46 (CEST)[répondre]

Les banques[modifier le code]

Bonjour. A quels taux ou quels regimes les banques francaises et internationales ont t elles emprunté l'argent pour la crise des subprimes ou sous quelles conditions? Y a t il un tableau ou un récapitulatif, des documents officiels? Merci.

Bonjour,
Une réponse très partielle : d'après C Lagarde, ministre de l’Économie, des finances et de l’emploi en France, interrogée par la Commission des Finances (Rapport d'information relatif à la crise financière internationale (oct. 2008) p.287), les banques françaises ont emprunté à un taux moyen de 8% au cours de l'année 2008 pour leurs besoins en fonds propres.--Pline (discuter) 24 mars 2009 à 17:49 (CET)[répondre]

Petite question (Indiscrète ? )[modifier le code]

Bonjour, suite à un entretien avec un ami français, on en est arrivé de parler des retenues sur salaire. Cet ami me prétend que dans certains cas on prélève ou on a prélevé jusqu'à 96% des revenus d'un employeur? J'ai assez difficile de m'imaginer cela comme possible, mais est-ce la cas? Si oui, comment se répartissent les pourcentages? Bien gentil de me répondre, en Belgique je n'ai jamais entendu parler d'un montant aussi important. Si la question dérange, n'y répondez pas --Kkbs (d) 22 mars 2009 à 21:31 (CET)[répondre]

Pendant une période courte du New Deal, les très hauts revenus (qui ne sont pas nécessairement ceux d’un employeur, terme flatteur utilisé par les néolibéraux pour « patron ») ont été taxés à 90 %. Épiméthée (d) 23 mars 2009 à 10:34 (CET)[répondre]
Les termes de votre question me semble un peu confus : vous parlez de retenues sur salaires, qui concernent le salarié, et de revenu de l'employeur, qui n'est par définition pas un salarié...
Par ailleurs il arrive que les prélèvements sur l'employeur soient non nuls alors qu'il perd de l'argent, ce qui veut dire que les prélèvement dépassent largement 100 % de ses revenus, et on ne peut même pas dire que c'est anormal.
Êtes vous sûr de vous être bien compris avec votre ami, ou d'avoir bien poser la question que vous souhaitiez ?
Peut-être évoquez vous le ratio entre le "salaire net" et le "cout total employeur" ? le mien était, le mois dernier, de 1,82, c'est à dire que mon employeur a payé 82% de plus que ce que j'ai touché, et ma situation est tout à fait normale. Qu'il y ait des cas où ça monte à 96 % et plus ne me surprendrait pas, je suis sur que je peux moi-même en trouver sans effort...
gem (d) 23 mars 2009 à 11:03 (CET)[répondre]
Pour moi, une "retenue sur salaire" correspond à une saisie, organisée par la justice, d'une partie du salaire avant même son dépôt sur le compte du salarié (pour rembourser des créanciers, typiquement). Est-ce que la question porte sur ceci, ou bien des prélèvements (= impôts)? Je suis tout confus... Arnaudus (d) 23 mars 2009 à 11:45 (CET)[répondre]
Les montants maxima des saisie sur salaire sont fixé par décret. On peut les trouver à cette adresse : http://www.net-iris.fr/pratique/14-la-saisie-sur-salaire.php . Quand on se trouve dans la tranche maximum, il reste toujours après saisie 1634 € par mois. Pour que la saisie soit 96% du salaire, il faut gagner 30 000 € par mois. Donc Oui c'est possible, mais pas pour le commun des salariés. Odejea (♫♪) 23 mars 2009 à 17:49 (CET)[répondre]

Merci, je vais essayer d'être plus précis. Mon ami m'affirme que certains patrons français placent leur argent à l'étranger et notamment en Belgique ou viennent se domicilier chez nous car ils sont trop taxés en France. Il me cite le chiffre de 96% que je trouve exorbitant (si c'est vrai). Il m'affirme d'autre part que pour avoir un revenu décent (compte tenu des risques encourus, investissements etc), suite à cette taxation, il est obliger de décupler ses revenus pour avoir après imposition de quoi vivre suivant sa condition.(exemple cité par l'ami, pour avoir une revenu net mensuel de 10.000€) ce patron multiplie son salaire de telle sorte qu'après impôt il lui reste ce montant). Je n'arrive pas a y croire, d'où la question. Suis je assez clair ainsi ? On parle ici de patrons de grosses entreprises (chaînes de magasins), ce qui n'exclut pas les autres.

Je crois savoir, que certains belges vont à l'étranger pour échapper à la taxation belge qu'ils trouvent trop élevée. Quid de ceux qui viennent chez nous ?

  • Pour Arnaudus En Belgique, que ce soit pour un ouvrier ou un employé (terme remplacé depuis quelques années par "travailleur", on parle généralement de retenues (qui englobe le précompte professionnel, les cotisations retraites (pensions) et santé (ONSS), les primes de solidarité etc,). Suite à une décision de justice on parle de saisie sur salaire. Une saisie sur salaire est faite lorsqu'il y a une décision de justice qui ordonne à l'employeur de prélever tout ce qui dépasse un montant plafonné (revenu minimum garanti). Les congés payés, la prime de fin d'année, les heures supplémentaires passent ainsi pour rembourser la dette ou des pensions alimentaires impayées (ce sont généralement les deux causes les plus fréquentes). J'ai connu plusieurs membres de mes équipes qui vécus cette situation, c'est pourquoi je sais à peu près comment cela se passe (tout au moins en Belgique).--Kkbs (d) 23 mars 2009 à 20:03 (CET)[répondre]
Bonjour, le mieux c'est de chercher des infos en tapant au hasard: Mulliez +impôts +Belgique et tu découvriras certainement des articles faits par des journalistes d'investigation (il en reste).--Doalex (d) 24 mars 2009 à 09:14 (CET)[répondre]
Désolé mais ce n'est pas encore assez précis. En France, l'impôt sur le revenu est limité à 40 %, donc si votre ami parle d'un taux bien supérieur c'est qu'il parle d'autre chose, mais quoi ... ? Le ratio entre une des soldes intermédiaires de gestion (mais lequel ?) et le revenu après impôts ? Et, comme je l'ai déjà dit plus haut, le résultat net peut être minuscule et même négatif alors que les prélèvements existent, du coup un taux de prélèvement qui atteint et même dépasse 100 % est tout à fait possible ; mais ça, c'est vrai partout dans le monde, et, encore une fois, ça n'a rien d'anormal !)
gem (d) 24 mars 2009 à 12:49 (CET)[répondre]

La prochaine fois que je le rencontrerai, j'essayerai d'amener la discussion sur le sujet pour avoir plus d'infos. En attendant, merci pour les réponses pour cette question peu précise.--Kkbs (d) 24 mars 2009 à 13:36 (CET)[répondre]

  • Puisque tu dis que "le patron multiplie son salaire" je vais considérer que tu parles ici que le patron est salarié, et qu'on parle donc des hauts revenus de salariés, sur lequel je peux donner un élément de réponse avec des chiffres très proches de la réalité :
Si on considère un salaire mensuel brut de 10 000€ on aura un salaire net de 7 717,21€ (7 998,51€ imposables) et 2945,41€ de charges patronales par mois. Le salarié paiera 25 980,15€ d'impôts par an.
Pour un coût total pour l'entreprise de 155 344,91€ le salarié récupèrera 66 626,43€ soit 43% et non 4%.
Bien que les taxes qui n'apparaissent pas sur la fiche de paie ne soient pas prises en compte, je ne vois pas comment on peut arriver à 96% de taxation même si on ajoute la TVA (si l'entreprise y est soumise à 20,6%, on monte à 67% de taxation)
houile (d) 26 mars 2009 à 02:09 (CET)[répondre]

Bonjour Je voudrais juste savoir jusque quand peut vivre un corbeau? Est il vrai qu'il peut vivre jusque 100 ans? C'est juste pour savoir. Je vous remercie.

Le corbeau freux peut vivre 20 ans [14]. rv1729 22 mars 2009 à 22:02 (CET)[répondre]
Tout dépend de ce qu'on appelle corbeau : s'il s'agit d'un délateur anonyme, on peut considérer qu'il puisse avoir vécu 100 ans. Bien à vous, --Égoïté (d) 22 mars 2009 à 22:48 (CET)[répondre]
… ah! mais je vais signaler de ce pas cette réponse insidieuse qui pourrait faire croasser que certains puissent sycophanter ainsi à plaisir. Anne Haut-Nîmes.
Il semblerait que le Grand Corbeau soit capable de vivre 40 ans mais s'il est en liberté sa longévité est plus faible. 212.155.142.34 (d) 23 mars 2009 à 10:24 (CET)[répondre]

Recherche signification d'un "favicon"[modifier le code]

Bonjour,
en navigant sur internet, je suis tombé sur un site dont l'accès m'était interdit par un .htaccess et .htpsswd. Néanmoins, un détail a attiré mon attention : il y avait un "favicon" sur ce site : la petite icône qui caractérise le site dans la barre d'adresse ou les marques pages. J'ai donc deux questions :

  • Comment est-il possible que j'ai accès à cette icône, qui est sur le site, et que l'ensemble du site m'est interdit par un .htaccess ?
  • Que représente ce favicon ?

Merci d'avance. Kiljaeden (d) 23 mars 2009 à 16:41 (CET)[répondre]

(Question reportée sur semaine 13 2009)