Les vagues scélérates gigantesques sont peut-être plus fréquentes qu’on ne le pense - Nouvelles Du Monde
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Les vagues scélérates gigantesques sont peut-être plus fréquentes qu’on ne le pense

Les vagues scélérates gigantesques sont peut-être plus fréquentes qu’on ne le pense

2024-04-27 17:31:00

Une nouvelle étude publiée dans Physical Review Letters a utilisé une méthode innovante pour analyser les vagues anormales, un phénomène encore flou aujourd’hui et dont les origines sont pour la plupart inconnues. Voyons les résultats ensemble.

Vagues scélérates (appelées vagues scélérates en anglais) ont longtemps été décrits – dans les récits populaires – comme des dieux des géants terrifiants dans l’eau; mais les technologies récentes permettent de les identifier plus facilement en mer, et la définition actuelle prévoit que la vague est au moins deux fois plus haut que ceux environnants.

La plupart d’entre eux atteignent une hauteur comprise entre 25 et 30 mètres ; ce n’est pas un hasard si la première et la plus célèbre mesure a été l’Onde Draupnerun géant de 25,6 mètres, s’est produit en 1995 en mer du Nord.

Cependant, malgré les progrès réalisés (également grâce à l’IA capable de prédire les ondes anormales), les causes qui conduisent à leur formation restent mystérieuses. Il y a certaines caractéristiques que nous connaissons, comme le fait que les vents forts influencent leur formation, puisque plus la vague est haute, plus le vent souffle fort dessus, créant une augmentation progressive de la vague jusqu’à ce que sa vitesse dépasse celle du vent. Il reste cependant d’autres éléments à considérer.

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Comme l’explique le professeur Alessandro Toffoli, chercheur à l’Université de Melbourne, son équipe a utilisé un système d’imagerie tridimensionnelle pour scanner la surface de l’océan, fournissant ainsi des détails approfondis. Lors de leur passage en bateau, les capteurs ont collecté des données sur les deux jeunes vagues influencées par les vents que les plus matures.

Les vagues scélérates enregistrées étaient d’une toutes les six heures environ, et les résultats ont montré un tendance des jeunes vagues à s’auto-amplifieraugmentant les chances de croissance.

Comme le prédisaient leurs travaux théoriques, les chercheurs ont finalement découvert que dans des conditions océaniques caractérisées par des vagues matures, la formation de vagues gigantesques est totalement absente.



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