Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle

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Cette liste regroupe les familles - dont certaines sont toujours représentées - qui furent anoblies et/ou titrées, ou encore maintenues nobles, au XIXe siècle.

Elle traite dans cet ensemble les familles dont un ou plusieurs membres reçurent un ou des titres héréditaires au cours de ce siècle, même sans anoblissement. La situation de ces derniers ne fait pas l’objet d’un consensus, certains auteurs les classant parmi la noblesse, d’autres non de par l’absence d’anoblissement. En effet, Napoléon Ier n’a jamais anobli mais a distribué des titres à caractère honorifique. Quant aux rois Louis XVIII et Charles X, il y eut des octrois de titres quelques rares fois avec anoblissement (dans ce cas le titre de noble avec l'autorisation de se qualifier écuyer était octroyé en même temps que le titre, cette noblesse se transmettant immédiatement à tous les enfants et non de mâle en mâle par ordre de primogéniture), mais le plus souvent sans anoblissement.

Repères historiques[modifier | modifier le code]

Les nobiliaires contemporains considèrent ces familles comme appartenant à la noblesse française. Il n'y a toutefois pas consensus entre les auteurs sur cette appréciation, hormis envers les familles ayant été anoblies (et non simplement titrées) à l'époque de la Restauration[1] (1814-1815 et 1815-1830).

Les personnes ayant reçu un titre sous le Ier Empire, sont considérées par la charte de 1814 et la charte de 1830 comme formant la « Nouvelle Noblesse » : « la noblesse ancienne reprend ses titres, la nouvelle conserve les siens. Le roi fait des nobles à volonté ; mais il ne leur accorde que des rangs et des honneurs, sans aucune exemption des charges et des devoirs de la société »[2],[3]. Il est important de souligner qu'à ce sujet que l'empereur Napoléon Ier n'a accordé que des titres (ce que l'historiographie contemporaine désigne comme la noblesse d'Empire) et non la noblesse (qui avait été abolie le 23 juin 1790). Quant à ceux accordés par les rois Louis XVIII, Charles X, Louis-Philippe Ier, et par l'empereur Napoléon III, dernier souverain français, des auteurs considèrent que parmi ceux-ci[4] il y en eut qui furent sans noblesse attachée et qui ainsi ne doivent pas être confondus avec la noblesse[5]. Pour ces auteurs, durant ce siècle, il y eut une claire distinction entre la noblesse — qui a pu s'acquérir par anoblissement, uniquement sous la Restauration, et bénéficiant à toute la famille concernée — et l'octroi d'un titre[6], ce dernier n'étant porté que par une seule personne par génération, le titulaire, et, après lui, par ses descendants mâles en ordre de primogéniture[5],[7].

Philippe du Puy de Clinchamps écrit : « Délaissant les titres de fonction de l'Empire, Louis XVIII rétablissait l'anoblissement sans que celui-ci soit obligatoirement lié à l'octroi d'un titre. C'était revenir à la coutume ancienne qui faisait deux choses totalement différentes de la qualité noble et du titre de dignité. La jurisprudence de ces lettres de noblesse reprenait celle de la vieille monarchie par l'intermédiaire de la commission du Sceau reconduite par le roi : lettres patentes, règlement d'armoiries, enregistrement des lettres et finance pour les droits de chancellerie »[8].

Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. En 2007, Régis Valette recensait 486 titres subsistants du XIXe siècle[9].

Du temps où la noblesse existe au cours de ce siècle, Philippe du Puy de Clinchamps écrit qu'elle est une noblesse décorative[10], elle ne comporte ni devoirs, ni droits, ni privilèges : « sans aucune exemption des charges et devoirs de la société »[11].

Alain Texier, prenant en compte la société sous le règne du roi Louis XVIII, qualifie la situation faite alors aux nobles « d'ordre purement fictif » (la société n'est plus divisée en ordres)[12].

Enfin la date d'abolition de la noblesse en tant que corps légal et juridique n'est pas non plus consensuelle, des auteurs la placent en 1848, d'autres en 1870.

Liste alphabétique des familles[modifier | modifier le code]

Sommaire :

A[modifier | modifier le code]

B[modifier | modifier le code]

  • Barbier d'Aucourt[29], Restauration, anobli en 1819, Ile-de-France (famille éteinte en ligne masculine).
  • Barbier du Doré[30] (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anobli en 1819, Nantes[31].
  • Barbier Lalobe de Felcourt[32] (olim Barbier de Lalobe de Felcourt) (président trésorier général de France en Champagne 1741-1765 et 1765-1790), Restauration, maintenues de noblesse en 1816 et 1829, Champagne.
  • Barrès (de)[33], Restauration, vicomte héréditaire par lettres patentes du 4 novembre 1815[34],[35], Vivarais (famille éteinte en ligne masculine au XXe siècle)[36].
  • Barthélémy de Saizieu[37], Empire, baron en 1811, Aubagne en Provence.
  • Bastier de Bez de Villars[38] (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1825, Gard (Le Vigan)[39].
  • Baude[40], Empire, baron en 1810[41], Valence en Dauphiné (famille éteinte en ligne masculine).
  • Baudelet de Livois[42] (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1829, Artois
  • Beaud de Brive[43], Restauration, anobli en 1816, Velay (Le Puy).
  • Beausacq (de)[44], Restauration, anobli en 1819, Picardie (Amiens).
  • Béchade (de)[45], Restauration, anobli en 1825, Bordeaux.
  • Bégoüen[46], Second Empire, comte en 1861, Le Havre et Bordeaux.
  • Behaghel, Restauration, anobli en 1822, Flandres (anoblissement seulement pour deux rameaux appartenant à la branche aînée)[47].
  • Belenet (de), (anobli (1740-1759)), confirmation de noblesse en 1826
  • Belin de Chantemele[48], Restauration, anobli en 1824, Maine.
  • Bellomayre (de)[49], Restauration, anobli en 1829, Languedoc.
  • Berge[50], chevalier d'Empire en 1810, baron en 1816, Languedoc, Roussillon.
  • Bernard de Dompsure, Restauration, anobli en 1816, Franche-Comté.
  • Bernard-Dutreil[51], Restauration, anobli en 1814, Maine[52].
  • Bernard de Saint-Affrique[53], Restauration, anobli en 1819, Valleraugue dans les Cévennes, puis Saint-Affrique en Rouergue[52].
  • Bernardi de Valernes (de)[54], Restauration, anobli en 1815, Avignon en Comtat Venaissin.
  • Bernon (de)[55] (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, baron en 1818, Dauphiné[56].
  • Blanc de La Nautte d'Hauterive, Restauration, comte en 1822 et 1828 (sur réversion), Dauphiné (Gap)[57].
  • Blondin de Saint-Hilaire[58] (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anobli en 1817, Picardie (Abbeville).
  • Bocquillon Liger-Belair[59], Restauration, comte (sur réversion) en 1825, Bourgogne.
  • Bonnet de Viller (de)[60], chevalier d'Empire 1810, Normandie.
  • Bottée de Toulmon[61], Restauration, chevalier en 1815, Hainaut.
  • Bouët-Willaumez[62], monarchie de Juillet, comte en 1845 (sur réversion), Bretagne[63].
  • Boulay de La Meurthe[64], comte d'Empire par L.P. du , Lorraine.
  • Bourayne (de)[65], baron d'Empire , confirmé le par Louis XVIII, Beauce, Bretagne (Finistère).
  • Bourdieu (du) (alias Dubourdieu)[66], Second Empire, baron par L.P. du , Vitré en Bretagne.
  • Bottée de Toulmon[67], Restauration, chevalier en 1815, Hainaut.
  • Bourgnon de Layre[68], chevalier d'Empire en 1811, baron en 1815, Poitou[69].
  • Bourqueney (de)[70], Empire, baron en 1838, comte en 1859, Franche-Comté[71].
  • Bouteiller (de)[72], chevalier d'Empire en 1811, confirmé en 1816, Picardie.
  • Bouteville (de)[73], Restauration, baron en 1824, Picardie.
  • Bouthillon de La Serve[74], Restauration, anobli en 1819, baron en 1820, Bourgogne.
  • Boyer de Rebeval[75], Empire, baron en 1809, Lorraine.
  • Boyer du Montcel[76], Empire, baron en 1812 (non confirmé par G. Chaix d'Est-Ange), Champagne.
  • Bray (de)[77], Restauration, baron en 1827, Picardie (Amiens).
  • Bresson (de), Second Empire, comte en 1865 (sur réversion d'un titre de 1838)[78],[79], Lorraine.
  • Briant de Laubrière[80], Restauration, anobli par L.P. du , Bretagne (Finistère)[81].
  • Bricogne[82], Restauration, anobli en 1814, Île-de-France[83].
  • Brincard[84], chevalier d'Empire 1810, baron héréditaire 1818, baron en 1866 (sur réversion), Île-de-France.
  • Briot de La Crochais et de La Mallerie[85], Restauration, anobli en 1823, Bretagne[86]
  • Brindejonc de Bermingham de Tréglodé[87], Restauration, maintenue 1818, Bretagne.
  • Brisoult (de)[88], Restauration, anobli en 1817, Île-de-France.
  • Brossard de Corbigny-Fontenay[89], monarchie de Juillet, L.P. du du roi Louis-Philippe accordant le titre de baron avec majorat et règlement d'armoiries, Pithiviers en Orléanais[90].
  • Brugière de Barante[91], Empire, baron en 1810, Auvergne.
  • Buchet (de)[92], Restauration, anobli en 1825, Franche-Comté.
  • Buirette de Verrières[93], Restauration, anobli en 1819, Champagne. (famille éteinte en ligne masculine).
  • Buxeuil de Roujoux (de) (olim Roujou), baron d'Empire 1810, Bretagne

C[modifier | modifier le code]

  • Cadoudal (de)[94], Restauration, anobli en 1815, Bretagne
  • Cahouët (de)[95], Restauration, anobli en 1817, Anjou[96].
  • Caffarelli (de)[97], comte d'Empire 1810, pair de France en 1815, Languedoc[98].
  • Calbiac (de)[99], (maintenue en la noblesse 1778 par la Cour des aides de Bordeaux), confirmation de noblesse par lettres patentes de Louis XVIII en 1817
  • Capitant de Villebonne[100], Restauration, anobli en 1816, Orléanais.
  • Caron de Fromentel[101], chevalier d'Empire héréditaire par L.P. du [102], confirmé chevalier héréditaire par L.P. du 22 juin 1816, Samer en Boulonnais[103].
  • Carrelet, Second Empire, comte en 1866, Dijon, Bourbonnais[104].
  • Carron de La Carrière[105], Restauration, anobli en 1815, Bretagne[106].
  • Cassin (de)[107], Restauration, baron héréditaire par L.P. du [108], Angers en Anjou[109].
  • Castex (de)[110], Empire, baron en 1808, vicomte en 1822, Gers, Paris (éteinte en ligne masculine).
  • Cathelineau (de)[111], Restauration, anobli en 1817, Vendée
  • Chapelain de Séréville[112], Restauration, baron en 1819, Orléanais.
  • Chasseloup-Laubat (de), comte de l'Empire 1808, marquis pair de France héréditaire sans majorat 1817, Saintonge
  • Chaudruc de Crazannes[113], (charge graduelle inachevée XVIIIe siècle), baron d'Empire 1813, Saintonge.
  • Chesne (du), Restauration, anobli en 1816, Orléanais.
  • Chodron de Courcel[114], Second Empire, baron en 1867 pour la branche d'Alphonse Chodron de Courcel, Lorraine (Toul).
  • Cholet (de)[115], (charge inachevée au XVIIIe siècle), comte d'Empire 1808 (confirmé en 1817), pair de France 1815, comte-pair héréditaire 1824, Guyenne (Bordeaux).
  • Clauzel[116], Empire, baron en 1810, comte en 1813, confirmé en 1814, Ariège.
  • Cochon de Lapparent[117], chevalier d'Empire 1808, comte en 1809, Poitou.
  • Coffinhal-Dunoyer de Noirmont, Empire, baron en 1811, Auvergne.
  • Cointet de Fillain (de)[118], Second Empire, baron en 1866, Alsace.
  • Cools (de)[119], Restauration, anobli en 1822, Guadeloupe.
  • Cornet d'Hunval[120], Restauration, anobli en 1816, Picardie.
  • Cornois (de)[121], baron d'Empire en 1810, Île-de-France.
  • Costé de Bagneaux[122], Restauration, anobli en 1819, Orléanais.
  • Cretté de Palluel[123], (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anobli en 1817, baron en 1827, Île-de-France.
  • Curial de Brévannes[124], Empire, baron 1808, comte 1817, Savoie[125].

D[modifier | modifier le code]

  • Decazes[126], Restauration, comte 1816, duc de Glücksberg 1818, duc Decazes 1820 pour la branche d'Élie Decazes, Guyenne.
  • Decouz[127], Empire, baron par L.P. du [128],[129], Annecy en Savoie[130].
  • Dein[131], Empire, baron en 1811, confirmé en 1822, Bretagne[132].
  • Delamalle[133], chevalier d'Empire 1811, confirmé en 1816, vicomte en 1830, Paris.
  • Delolm de Lalaubie[134], Restauration, anobli en 1816, Auvergne[135].
  • Demarçay[136], Empire, baron en 1808, Poitou. (famille éteinte en ligne masculine)
  • Descantons de Montblanc[137], monarchie de Juillet, comte en 1841, Paris.
  • Despine ou d'Espine[138], baron en 1782 (sans descendance), transféré par adoption (1794) et par autorisation royale (patentes royales de 1841), Savoie, Suisse.
  • Desrousseaux de Medrano et - de Vandières[139], Restauration, anobli en 1815, Champagne (Sedan).
  • Detours, Empire, baron en 1811, confirmé en 1817, Quercy (Moissac).
  • Devaulx de Chambord[140], Restauration, anobli en 1815, Bourbonnais.
  • Dieuleveult (de)[141], Restauration, anobli le [142],[143], Carhaix puis Tréguier en Bretagne.
  • Doquin de Saint-Preux[144], Restauration, anobli en 1816, Champagne[145].
  • Dubois de La Cotardière[146], Restauration, anobli en 1817, Normandie[147].
  • Dubois de La Patellière[148], Restauration, anobli en 1817, Bretagne[149].
  • Dubuard, olim Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811, Île-de-France, Second Empire, baron en 1864[150].
  • Ducasse, olim du Casse, Restauration, baron en 1819 (famille éteinte en ligne masculine en 1922)[151].
  • Duchaussoy Delcambre de Champvert[152], Second Empire, baron en 1864, Paris.
  • Dugas de La Catonnière[153], Restauration, baron en 1816, Forez.
  • Duhesme, Empire, comte en 1814, Bourgogne (la branche titrée est éteinte)
  • Dulong de Rosnay[154], Empire, baron en 1813, comte en 1827, Champagne[155].
  • Dunoyer de Noirmont (olim Coffinhal)[156], secrétaire du roi 1786, chevalier d'Empire 1808, baron 1811 confirmé par Louis XVIII en 1816, Auvergne.
  • Duprat[157],[158], Empire, baron en 1812, créé baron héréditaire par lettres patentes du 2 avril 1822.
  • Durand et - de Fontmagne[159], Restauration, baron en 1816, Roussillon
  • Durant de Mareuil[160], Empire, baron en 1809, Champagne.
  • Durant de Saint-André, monarchie de Juillet, baron en 1847, Champagne
  • Durival (olim Luton), Empire, chevalier en 1810, confirmé en 1817, anobli en 1827, Calvados, Lorraine[161],[162].
  • Duval de Fraville[163], Empire, baron en 1820, Champagne.

E[modifier | modifier le code]

F[modifier | modifier le code]

  • Fabre de Roussac[169], Empire 1809, baron en 1810, baron héréditaire en 1816, Languedoc.
  • Fabry (de)[170],[171], Empire 1810, baron en 1811, Rians puis Brignoles en Provence[172]
  • Fain[173], Empire, baron en 1809, Paris, Île-de-France.
  • Fernex de Mongex, comte par L.P. du roi de Sardaigne le , Mégevette en Savoie[174],[175]
  • Flury-Hérard[176], chevalier d'Empire en 1811, confirmé en 1814 et 1866, Versailles[177].
  • Forestier (de)[178], Restauration, vicomte en 1822, Genève, Île-de-France
  • Foäche, (secrétaire du roi 1776), Restauration, baron en 1823, Normandie[179].
  • Fouché, Empire, comte en 1808, duc d'Otrante en 1809, Le Pellerin, Bretagne, représentée uniquement en Suède[180].
  • Foy[181], Empire, baron en 1810, comte en 1815, Picardie (famille éteinte en ligne masculine).
  • Frachon[182], chevalier d'Empire par lettres patentes du 01/01/1813, confirmées par lettres patentes royales du 25/11/1814, Vivarais (Annonay).
  • Froment (de)[183], Restauration, baron héréditaire le [184],[185],[186], portait des qualifications nobiliaires au XVIIIe siècle[187] mais absence de maintenue en la noblesse et de présence aux assemblées de la noblesse de la Marche en 1789[188], Marche, Bourbonnais[189]. (sans noblesse attachée)

G[modifier | modifier le code]

H[modifier | modifier le code]

  • Hamelin des Essarts, Empire, baron en 1811, Normandie.
  • Harty de Pierrebourg, olim Harty de Flekenstein, Empire, baron en 1813, Irlande, Île-de-France.
  • Hecquet de Rocquemont, Restauration, anobli en 1818, Picardie (famille éteinte en ligne masculine en 1893)[199].
  • Héron de Villefosse, Restauration, anobli en 1830, Paris.
  • Hervé du Penhoat, Restauration, anobli en 1815, Bretagne (Finistère)[200].
  • Houitte de La Chesnais, Restauration, anobli en 1814, Bretagne (Saint-Malo)[201].
  • Hombres (d'), Restauration, anobli en 1814, Languedoc. (éteinte ?)
  • Hottinguer, Empire, baron en 1810, Suisse, Paris.
  • Houssin de Saint-Laurent, chevalier d'Empire en 1810, baron en 1813, Normandie.
  • Hüe, Restauration, baron 1818, Île-de-France
  • Hugonneau (d'), Restauration, anobli en 1816, Poitou [202]. (famille éteinte en ligne masculine).
  • Hulot (de Mazerny), Empire, baron en 1813[203], Lorraine.
  • Hurtrel d'Arboval, Restauration, anobli en 1815, Picardie.
  • Hutteau d'Origny, Restauration, anobli en 1815, Beauce, Paris.

I[modifier | modifier le code]

  • Imbert des Granges, Restauration, anobli en 1817, Dauphiné.

J[modifier | modifier le code]

  • Jacquinot, Empire, baron en 1808[204], Pagny-sur-Meuse en Lorraine.
  • Janzé (de), baron 1809, anobli 1818, comte héréditaire sur constitution de majorat nouveau pour la terre de Kerguehenec avec dissolution de l’ancien majorat du titre de baron le 19 février 1829, Bretagne (subsistance féminine du nom)[205]
  • Jourda de Vaux de Foletier (même famille que les Jourda de Vaux de Chabanolle), Restauration[206], deux vicomtes en 1818[206], Gévaudan, Velay[207],[208].
  • Jouvenel (de), Restauration, baron par ordonnance du 16 mai 1817, Limousin, Corrèze.
  • Joyaut de Couesnongle, Restauration, anobli en 1815, Bretagne[209].

K[modifier | modifier le code]

L[modifier | modifier le code]

M[modifier | modifier le code]

  • Maigret (de), Second Empire, comte en 1861, Lorraine[230].
  • Majou de La Débutrie, Restauration, anobli en 1817, Poitou.
  • Malafosse (de), Restauration, anobli en 1818, Languedoc.
  • Maleprade (de), Restauration, anobli en 1817, Agenais.
  • Malet (de), (charge inachevée au XVIIIe siècle), Empire, baron en 1809 (confirmé en 1816), Périgord
  • Maleville (de), Empire, baron en 1808, comte en 1810, Périgord[231].
  • Malglaive (de), Restauration, anobli en 1815, Lorraine.
  • Mallet, Empire, baron 1810 (confirmé baron de Chalmassy en 1815), Normandie.
  • Mallet de Chauny, Restauration, anobli en 1815, Artois[232].
  • Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811.
  • Marion, Empire, baron en 1810, Charmes en Lorraine[233].
  • Marqué (de), Restauration, anobli en 1818, Languedoc.
  • Martin de Baudinière, Restauration, anobli en 1819, Bretagne[234].
  • Martin de Lagarde, Empire, baron en 1808, confirmé en 1816, Bas-Languedoc (Lodève).
  • Martin du Nord, monarchie de Juillet, comte en 1847[235], Flandre.
  • Masséna, Empire, duc de Rivoli en 1808, prince d'Essling en 1810[236], Nice[237].
  • Massias et - Jurien de La Gravière, Empire, baron en 1814, Agenais.
  • Mathieu de Vienne, (charge inachevée au XVIIIe siècle), Restauration, anobli en 1815, Champagne (Sainte-Menehould).
  • Matis, Restauration, chevalier en 1826[238], Lorraine (Thionville).
  • Maupas-Oudinot de Reggio, Empire, comte Oudinot et de l'Empire en 1808, duc de Reggio en 1810, Maupas-Oudinot de Reggio par adoption en 1956[239], Bar.
  • Maupoint de Vandeul, Empire, baron en 1809, Lille.
  • Méneval (de), Empire, baron en 1810, Île-de-France[240].
  • Menu de Ménil, Empire, baron en 1813, Flandre.
  • Mercier, Empire, baron en 1811, Normandie[241].
  • Merode (de), comte d'Empire en 1809, Allemagne, Belgique, France (noblesse belge : extraction chevaleresque 1295, prince du Saint-Empire en Belgique).
  • Michaud, baron en 1846, Savoie[242].
  • Michel de Trétaigne, Restauration, baron en 1828, Bourbonnais.
  • Michon-Coster, Restauration, anobli en 1827, baron en 1870 sur réversion d'un titre de 1827, Champagne (Ardennes).
  • Michon du Marais, Second Empire, baron en 1869, Forez (Roanne).
  • Mieulle et - d'Estornez d'Angosse (de), Restauration, anobli en 1816, Provence (Sisteron), Anjou.
  • Miorcec de Kerdanet, Restauration, anobli en 1814, Bretagne (Finistère)[243].
  • Monceau de Bergendal (du), Empire, comte en 1810, confirmé en 1820, Bruxelles.
  • Monchy (de), chevalier d'Empire en 1808, confirmé en 1814, anobli par nouvelles lettres du [244], Ile-de-France (Compiègne).
  • Moncuit de Boiscuillé (de), Empire, baron en 1813, confirmé en 1820, Normandie (Saint-Lô)[245].
  • Monicault (de), Restauration, anobli en 1816, Berry, Lyonnais.
  • Montagnac (de), Second Empire, baron en 1869, Dauphiné, Lorraine.
  • Montbrun (de), Empire, comte en 1809, Languedoc (Aude).
  • Morand, Empire, comte en 1808, Franche-Comté[246].
  • Moreau de Lizoreux, Restauration, anobli en 1819, Bretagne.
  • Mortillet (de), Restauration, anobli en 1825, Dauphiné.
  • Mougins-Roquefort (de), Restauration, anobli en 1822, Provence.
  • Mourre, Empire, baron en 1810, Provence.
  • Murat, Empire, prince en 1805, roi de Naples en 1808, Quercy[247].

N[modifier | modifier le code]

O[modifier | modifier le code]

  • Oudet, Empire, baron en 1811, Franche-Comté, Saintonge[253].

P[modifier | modifier le code]

R[modifier | modifier le code]

  • Rabusson Corvisart, baron d'Empire 1813, Bourbonnais.
  • Raguenel de Montmorel (de), Restauration, anobli (maintenue) en 1819 sous la seconde Restauration[266].
  • Ramel (de), Restauration, anobli en 1819, Languedoc.
  • Ramolino de Coll'Alto, Second Empire, comte 1870, Corse[267].
  • Rancourt de Mimérand (de), anobli en 1826, Berry.
  • Regnard de Lagny, Empire, baron en 1814 (confirmé en 1816), Île-de-France (La-Ferté-sous-Jouarre)[268].
  • Regnouf de Vains, Restauration, anobli en 1816, Normandie.
  • Reille, comte d'Empire 1808, pair de France 1815, baron-pair 1820, (Reille-Soult de Dalmatie pour une branche), Provence.
  • Renty (de), Restauration, baron en 1828, Flandre.
  • Rioust des Villes-Audrains de Largentaye, Restauration 1816, Bretagne
  • Robillard de Magnanville, Empire, baron sur institution de majorat par L.P. du [269], confirmé par L.P. du , Flandre.
  • Robinet de Cléry, Restauration, anobli en 1823, Lorraine.
  • Rocher de La Baume Dupuy-Montbrun, Second Empire, comte en 1868, Dupuy-Montbrun par décret de 1866, Vivarais[270].
  • Ronseray (de), Restauration, baron en 1818, Bretagne, Saint-Domingue[271].
  • Rossard de Mianville, Restauration, anobli en 1819, Orléanais.
  • Roullet de La Bouillerie, branche aînée : Empire, baron en 1810 ; branche cadette : Restauration, anobli en 1816 ; Maine.
  • Ruinart de Brimont (conseiller secrétaire du roi 1777-1790), lettres de noblesse 1817, vicomte héréditaire 1827
  • Ruty, Empire, baron en 1808, comte en 1813, Franche-Comté[272].

S[modifier | modifier le code]

  • Sabbathier de Lafontan (de), Restauration anobli en 1825, Gascogne[273]
  • Saint Vincent (de) - et de Brassac, Restauration, baron en 1818, Languedoc.
  • Salles de Hys (de), Second Empire, baron en 1862, Bigorre.
  • Saltet de Sablets d'Estières, Restauration, anobli en 1817, Gévaudan[274].
  • Salvaing de Boissieu, Restauration, baron héréditaire en 1821, Dauphiné.
  • Salviac de Vielcastel (de), (maintenue noble en 1666), Empire, baron en 1810.
  • Sarrut, Empire, baron en 1814, Foix[275].
  • Saulnier d'Anchald, Restauration, anobli en 1816, vicomte en 1828, Auvergne[276]
  • Sautereau du Part, Empire, baron en 1813, confirmé en 1818, Nivernais.
  • Schmitz, Empire, baron en 1814[277], confirmé en 1868, Lorraine.
  • Scitivaux de Greische (de), Restauration, anobli par L.P. du avec règlement d'armoiries[278], Lorraine.
  • Séré (de), Restauration, anobli en 1815, comté de Foix.
  • Sers, Empire, comte en 1808, Languedoc (Albigeois)[279].
  • Sèze (de), Restauration, Pairie instaurée sous le titre de comte en 1817 pour la branche de Raymond de Sèze, démission en 1830, inscription au registre du sceau 1869[280] (titre sans noblesse attachée). Guyenne
  • Silvestre de Sacy, (charge inachevée au XVIIIe siècle), chevalier d'Empire en 1809, baron en 1813, Île-de-France.
  • Siméon, Empire 1808, comte en 1818, Provence.
  • Simon de La Mortière, Empire 1808, confirmé en 1821, Île-de-France.
  • Siriez de Longeville, Restauration, anobli en 1816, Boulonnais.
  • Sonier de Lubac, Restauration, anobli en 1829, Vivarais[281]: (Famille éteinte en ligne masculine).
  • Stabenrath (de), Empire, baron en 1808, confirmé en 1816, Silésie, Normandie.
  • Stadieu (de), Restauration, anobli en 1816, Aude[282].
  • Suarès d'Almeyda (de), Restauration, r.n.f. maintenue 1814, Portugal, Languedoc[283]
  • Suchet d'Albufera, Empire, comte en 1808, duc d'Albufera en 1813[284], Lyonnais.
  • Suisse de Sainte Claire, chevalier d'Empire en 1810, baron en 1814, Lorraine.
  • Surville (de), Restauration, anobli en 1816, Languedoc[285].
  • Susbielle (de), Restauration, baron en 1822, Île-de-France, Trinidad[286].

T[modifier | modifier le code]

U[modifier | modifier le code]

  • Ursel (d'), comte d'Empire le , Brabant[298],[299] (famille noble en Belgique).
  • Uston de Villeréglan (d'), olim Duston, baron Duston de Villeréglan et de l'Empire (1813), baron héréditaire 1816, Languedoc (Limoux)[300].
  • Utruy (d'), olim Dutruy, Empire, baron en 1809, confirmé en 1863, Guyenne[301].

V[modifier | modifier le code]

W[modifier | modifier le code]

Processus incomplets d’octroi de titres au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Il s'agit de titres dont la procédure d'attribution n'a pas été entièrement accomplie (de la création jusqu'au retrait des lettres patentes par le récipiendaire), soit parce que le souverain qui l'a accordé a été renversé avant l'achèvement de la procédure, soit parce que le titulaire n'a pas accompli toutes les formalités requises pour valider la régularité du titre.

  • Barrès-Combas (de), Restauration, vicomte héréditaire par ordonnance du 20 juin 1816[309], lettres patentes non retirées, Languedoc (Biterrois) (famille éteinte en ligne masculine en 1936).
  • Barte de Sainte-Fare (olim Barte), baron par ordonnance du 22 juillet 1821, non suivi de lettres patentes, Metz[310]
  • Bontemps, Empire, baron par décret d'août 1809, lettres patentes non retirées, Saumur, Anjou[311].
  • Carnot, Empire (Cent-Jours), comte par décret du 20 mars 1815 lors de sa nomination comme ministre de l'intérieur[312], n'a pas retiré ses lettres patentes[313], lettres patentes non délivrées et absence de majorat[314], Bourgogne.
  • Duhesme, Empire, comte par décret du 21 février 1814 non suivi de lettres patentes[315]
  • Fressinet de Bellanger (olim Fressinet), Empire, baron par décret du 21 juin 1813, non suivi de lettres patentes, Charolais[316]
  • Guichard, chevalier d'Empire, baron par décret du 19 mars 1808, lettres patentes non délivrées[317],[318], Champagne.
  • La Rochefoucauld (de), Second Empire, duc d'Estissac en 1840 par ordonnance du 2 juillet 1840, non suivi de lettres patentes[319], Angoumois.
  • Le Poittevin de La Croix-Vaubois, addition du nom de Vaubois par ordonnance royale le 12 août 1829. Titre de comte sur réversion du titre conféré au général Belgrand de Vaubois par lettres du 20 août 1808, le 17 avril 1869. Ce titre fit bien l’objet d’une décision du Conseil du Sceau du 1er août 1870 mais ne put être régularisé[320], Normandie, Guyenne (Agenais).
  • Ordioni, Empire, baron par décret du 11 juin 1815, non suivi de lettres patentes, Corse[321].
  • Papin, Restauration, baron héréditaire par ordonnance du 17 août 1822, non suivie de lettre patente ni d'octroi d'armoiries, Guadeloupe/Bordelais[322].
  • Soucanye de Landevoisin, Restauration, baron par ordonnance du , titre non régularisé ensuite[323], Auvillers, Oise.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Sur ce thème nous renvoyons aux travaux de Philippe du Puy de Clinchamps et à ceux d'Alain Texier.
  2. « Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 Conseil constitutionnel », sur www.conseil-constitutionnel.fr (consulté le )
  3. « Charte constitutionnelle du 14 août 1830 Conseil constitutionnel », sur www.conseil-constitutionnel.fr (consulté le )
  4. titres de carnaval comme aimait d'ailleurs les moquer le roi Louis XVIII.
  5. a et b Consulter, notamment, les travaux de Philippe du Puy de Clinchamps publiés dans le Que sais-je ? (no 830) de 1959 consacré à La Noblesse et ceux d'Alain Texier dans son ouvrage Qu'est-ce que la noblesse ? publié en 1995.
  6. « La Restauration a réintroduit l'anoblissement et la confirmation de noblesse, tout en maintenant l'essentiel de la législation napoléonienne en matière de titres et de majorats. Désormais, titres et noblesse sont distincts. » (http://www.archives-judiciaires.justice.gouv.fr/index.php?rubrique=10774&ssrubrique=10827&article=14899)
  7. Voir aussi, pour plus détails, l'ouvrage d'Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ?, éditions Tallandier, 1995.
  8. Philippe du Puy de Clinchamps, La Noblesse, coll. « Que sais-je ? », numéro 830, 1959, page 83.
  9. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007.
  10. Philippe du Puy de Clinchamps, La Noblesse, coll. « Que sais-je ? » (no 830), PUF, 1959, page 73.
  11. Texte de l'Ordonnance du 8 octobre 1814.
  12. Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ?, Paris, Tallandier, coll. « Approches », , 601 p. (ISBN 2-235-01780-0), p.116.
  13. Alefsen de Boisredon.
  14. Allemagne (d').
  15. Alton (d').
  16. Jougla, t.1, p. 162, no 628.
  17. Ameil.
  18. Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais (Année 1908).
  19. Angleys.
  20. Foras, 1910, tome 1, p. 81.
  21. Saint-Houardon 2007, p. 106. //Jean-Joseph Arnous-Rivière, anobli et créé baron héréditaire le 21 août 1828. (La Messelière-p. 38//T-1.)
  22. Asselin de Williencourt.
  23. Chevalier d'Empire par décret du 15/8/1809, confirmé par LP du 22/10/1810. [AN, BB/29/968, page 69] https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRCHANBB_A0968069_L-medium.jpg Les LP instituantes donnaient jusqu'à la troisième génération pour obtenir confirmation du titre. Ce qui fut donc le cas pour la troisième génération. La deuxième génération n'a pas rempli l'obligation, mais Napoléon III n'en a pas tenu rigueur, l'avis du Conseil du Sceau des Titres ayant été favorable [AN, BB/29/991, page 165] « Confirmation du titre de chevalier, à Alfred Paul Domitien Adolphe Asselin de Williencourt. Les Tuileries (11 mars 1863). » https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/mm/media/download/FRCHANBB_A0991165_L-medium.jpg. et Vicomte Albert Révérend, Armorial du Ier Empire, tome I, Titres et confirmations de titres et État de la noblesse française subsistante, vol 38.
  24. Astier de La Vigerie.
  25. Aubriot de La Palme.
  26. Aubriot de La Palme.
  27. Auvray.
  28. Aymé de La Chevrelière.
  29. Barbier d'Aucourt.
  30. Barbier du Doré.
  31. name="SH110"" / " Jacques-René Barbier du Doré, chef de division des armées catholiques et royales de l'ouest, colonel, chevalier de Saint-Louis, anobli le 28 mars 1818". (H. Frotier de La Messelière. Les Filiations Bretonnes. P-91/T-1).
  32. Barbier Lalobe de Felcourt.
  33. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXème siècle, Evreux, 1903-1923 (lire en ligne), Volume 2 - pp.379 et 380 (vues 387 et 388/440) : notice sur la famille de Barrès du Molard.
  34. Archives Nationales, Titres et armoiries (1808-1961) - BB/29/975, page 31 : Titre de vicomte à Jean Scipion Fleury de Barrès du Molard (1815), (lire en ligne)
  35. Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, Volume 1, 1901-1906 (lire en ligne), pp.116 et 117 (vues136 et 137/420) : titre de vicomte accordé à Jean-Scipion-Fleury de Barrès du Molard
  36. Bernard Chérin et Bénigne Chérin, Collection Chérin, Cabinet des titres, , 195 p. (lire en ligne), Volume Barre-Bars - mémoire généalogique sur la famille de Barrès du Molard : vues 45 à 85
  37. Barthélémy de Saizieu.
  38. Bastier de Bez de Villars.
  39. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, page 37.
  40. Baude.
  41. Jules Villain, La France moderne, Drôme et Ardèche
  42. Baudelet de Livois.
  43. Beaud de Brive.
  44. Beausacq (de).
  45. Béchade (de).
  46. Bégoüen.
  47. Behaghel.
  48. Belin de Chantemele.
  49. Bellomayre (de).
  50. Berge.
  51. Bernard-Dutreil.
  52. a et b Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 41
  53. Bernard de Saint-Affrique.
  54. Bernardi de Valernes (de).
  55. [1]
  56. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 42.
  57. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 43.
  58. Blondin de Saint-Hilaire.
  59. Bocquillon Liger-Belair.
  60. Bonnet de Viller (de).
  61. Bottée de Toulmon.
  62. Bouët-Willaumez.
  63. Louis-Édouard Bouët-Willaumetz, confirmé dans le titre de comte B.W.le 18 octobre 1845, gouverneur du Sénégal en 1843, vice-amiral, sénateur de l'Empire en 1865, Grand'Croix de la Légion d'honneur en 1868. (La Messelière.T-I/p. 307.)
  64. Boulay de La Meurthe.
  65. Bourayne (de).
  66. Dubourdieu.
  67. Bottée de Toulmon
  68. Bourgnon de Layre.
  69. Au XIXe siècle, Gustave Chaix d'Est-Ange (Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 6, pages 184 à 185).
  70. Bourqueney (de).
  71. François-Adolphe, comte de Bourqueney, ambassadeur, baron héréditaire le 6 février 1838, sénateur le 31 mars 1856, comte héréditaire le 10 décembre 1859, grand croix de la Légion d'honneur. (La Messelière-P-357/T-1.).
  72. Boutellier (de)
  73. Bouteville (de).
  74. Bouthillon de La Serve.
  75. Boyer de Rebeval.
  76. Boyer du Montcel.
  77. Bray (de).
  78. Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, tome 2, page 253.
  79. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 7, pages 26 à 29.
  80. Briant de Laubrière.
  81. François-Marie Briant de Laubrière, maire de Quimperlé, anobli le 28 décembre 1815. La Messelière. Les Filiations Bretonnes. P-407/ T-1.
  82. Bricogne.
  83. Athanase-Jean Bricogne, maire du 6e arrondissement de Paris, titré chevalier de l'Empire 1811, anobli par Louis XVIII le 2 août 1814. (Révérend- Titres, anoblissements et pairies de la Restaurations. 1901 ; Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, « Bricogne »).
  84. Brincart.
  85. Briot de La Crochais et de La Mallerie.
  86. Jean Guillaume Briot, anobli le 24 mai 1823. La Messelière. Les Filiations Bretonnes. P-423/T-1.
  87. Brindejonc de Bermingham, de Tréglodé, des Moulinais.
  88. Brisoult (de).
  89. Brossard de Corbigny-Fontenay.
  90. Acte récognitif : lettres patentes du du roi Louis-Philippe accordant le titre de baron avec majorat et règlement d'armoiries à Aignan-Étienne Brossard, trisaïeul du candidat, et arrêt du Conseil du Sceau en date du , confirmant l'investiture d'Aignan-Étienne et valant brevet d'investiture pour Charles-Paul Brossard de Corbigny, frère de l'aïeul du candidat.
  91. Brugière de Barante.
  92. Buchet (de).
  93. Buirette de Verrières.
  94. Cadoudal (de).
  95. Cahouët (de).
  96. Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817. (La Messelière-P-474/T-1.).
  97. Caffarelli (de).
  98. À cette famille appartenaient Eugène Auguste de Caffarelli et Gérard de Caffarelli.
  99. Calbiac (de).
  100. Capitant de Villebonne.
  101. Caron de Fromentel.
  102. A. de Cardevaque, in Dictionnaire biographique du Pas de Calais.
  103. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, p=56-57.
  104. Carrelet.
  105. Carron de La Carrière.
  106. Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815. (La Messelière-P-524/T-1) .
  107. Cassin (de).
  108. AN 149 Mi 24 et BB30 1601
  109. lettres patentes du érigeant un majorat et y attachant le titre de baron héréditaire en faveur d'Alphonse Cassin (A.N. 149 Mi 24), 4e aïeul du candidat, et Arrêté du Ministre de la Justice du inscrivant sur les registres du Sceau de France Auguste Léonce Cassin comme ayant succédé au titre héréditaire de baron et au majorat y attaché dont son père, Alphonse, était en possession (A.N. BB30 1601).
  110. Castex (de).
  111. Cathelineau (de).
  112. Chapelain de Séréville.
  113. Chaudruc de Crazannes.
  114. Chodron de Courcel.
  115. Cholet (de).
  116. Clauzel.
  117. Cochon.
  118. Cointet de Fillain (de).
  119. Cools (de).
  120. Cornet d'Hunval.
  121. Cornois (de).
  122. Costé de Bagneaux.
  123. Cretté de Palluel.
  124. Curial de Brévannes.
  125. Foras, 1910, tome 2, p. 247.
  126. Decazes.
  127. Decouz.
  128. A.N. 149 Mi 1
  129. Foras, 1910, tome 2, p. 260.
  130. Lettres Patentes du de l'Empereur Napoléon Ier accordant le titre de baron de l'Empire avec majorat et règlement d'armoiries à Pierre Decouz, trisaïeul du candidat.
  131. Dein.
  132. Paul-Louis-Marie Dein, colonel d'infanterie, baron d'Empire le 12 novembre 1811, baron héréditaire le 2 avril 1822, maréchal de camp honoraire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis. Louis-Théodore Dein, député et conseiller général du Finistère en 1863. (La Messelière-P-117/T-2.).
  133. Delamalle.
  134. Delolm de Lalaubie.
  135. Jean-François Delolm de Lalaubie, garde du corps du roi Louis XVI, à la Compagnie de Noailles au 1er juillet 1791. (État des officiers et gardes corps du roi, p. 128- Recueil de pièces trouvées chez M. Laporte, intendant de la liste civile, imprimé par ordre de la Convention Nationale pour être présentées au procès de Louis XVI.Ces pièces prouvent évidemment que Louis XVI avait conservé un grand attachement pour ses anciens gardes du corps, puisqu'il les faisait payer par Coblentz.Henri-Louis Delholm de Lalaubie (1756-1829)est anobli sous la Restauration par lettres patentes de Louis XVIII en 1816. (Louis de Ribier: Preuves de la noblesse d'Auvergne. Les anoblis de l'Empire et de la Restauration en Haute Auvergne.)
  136. Demarçay.
  137. Descantons de Montblanc.
  138. Despine ou d'Espine.
  139. Desrousseaux de Medrano.
  140. Devaulx de Chambord.
  141. Dieuleveult (de).
  142. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 74.
  143. François-Marie de Dieuleveult, docteur en médecine, anobli le 23 mai 1816 (et non 1817 comme mentionné par La Messelière) pour services rendus pendant une épidémie. Paul-Thimothée de Dieuleveult, député de la noblesse à l'Assemblée Législative en 1789(La Messelière-P-156/T-2.). Famille de Philippe de Dieuleveult.
  144. Doquin de Saint-Preux.
  145. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 14, p. 147.
  146. Dubois de La Cotardière.
  147. Jean-Baptiste-François Dubois de La Cotardière, en Parthenay (Ille-et-Vilaine), conseiller-secrétaire du roi, anobli le 4 janvier 1817. (La Messelière-p. 185/T-2.).
  148. Dubois de La Patellière.
  149. Félix Dubois, procureur au Conseil souverain de La Martinique en 1768. Louis-Félix, Dubois de La Patelière, en Paulx, (Loire-Atlantique), chef de division de l'armée catholique et royale de Vendée en 1795, chevalier de Saint-louis, anobli le 6 décembre 1817. (La Messelière-P-188/T-2.).
  150. A. Révérend, Armorial du Premier Empire, tome 2, Honoré Champion, libraire, Paris, 1897, p. 87. Paris.
  151. Archives nationales, « Titre de baron, accordé à Jacques, Nicolas Ducasse, à la suite de l'ordonnance du 2 mars 1816. Saint-Cloud ( 16 juillet 1819). » (consulté le )
  152. Duchaussoy Delcambre de Champvert.
  153. Dugas de La Catonnière.
  154. Dulong de Rosnay.
  155. Louis-Étienne Dulong de Rosnay, baron le 1er janvier 1813, général de brigade le 12 avril 1813, lieutenant général le 18 mars 1815, grand-croix de Saint-Louis, grand-officier de la Légion d'honneur, créé comte héréditaire le 6 octobre 1827. (La Messelière-P-196/T-2.).
  156. Coffinhal-Dunoyer de Noirmont.
  157. Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle : titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830. Tome 2
  158. Jean Cambon, Le Baron Jean Pierre Duprat 1774-1839, Villes de Lourdes
  159. Durand.
  160. Durant de Mareuil.
  161. Durival.
  162. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p.79.
  163. Duval de Freval.
  164. Eblé.
  165. Espous (d').
  166. Révérend, Restauration t.III
  167. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 2007, page 81.
  168. Jean Tulard, Napoléon et la noblesse d'Empire, 1979.
  169. Fabre de Roussac.
  170. [2].
  171. Fabry (de).
  172. Pierre-Marc-Antoine, baron de Fabry le 2 mai 1811, confirmé baron héréditaire le 30 mars 1816, juge, puis premier président à la cour d'Appel d'Aix, député du Var en 1815. (La Messelière-p. 263/T-2.).
  173. Fain.
  174. Armorial et nobiliaire de Savoie, vol. 2, pp. 376 (lire en ligne).
  175. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t.XVIII, Fel-For. - 1922, p. 38, [lire en ligne].
  176. Flury-Hérard.
  177. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 85.
  178. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 18, pages 347 à 348 Forestier (de) et Forestier de Coubert (de).
  179. Gustave Chaix d'Est-Ange, « Foäche », dans Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XVIII, Évreux, FEL-FOR, (lire en ligne), p. 231-.
  180. Subsistance des titres français controversée pour des sujets étrangers : « En règle générale, le Français, titré français, qui perdrait sa nationalité en se faisant naturaliser sans autorisation du chef de l'État, perdait son titre et son majorat ». Alain Texier, Qu'est-ce que la noblesse ?, éditions Tallandier, 1995, page 378.
  181. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 19, page 163 Foy.
  182. Frachon.
  183. Froment (de).
  184. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, page 88.
  185. Jougla, 4, 74, no 16397.
  186. // François-Marie, baron de Froment, lieutenant-colonel, en 1791, chevalier de Saint-Louis, baron héréditaire le 4 novembre 1815, Jean-Baptiste de Froment, garde du corps du roi, le 1er septembre 1814. (La Messelière-P-399/T-2.//).
  187. E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 456, mais les qualifications nobiliaires au XVIIIe siècle ne sont pas des preuves de noblesse en l'absence d'une reconnaissance par l'administration royale (maintenues en la noblesse, certificats pour les écoles militaires, etc.).
  188. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 19, p. 312 à 314 Froment (de).
  189. Acte récognitif : Lettres patentes conférant le titre héréditaire de Baron le à Paris par le Rois Louis XVIII à François Marie de Froment, 6e aïeul du candidat (A.N. BB 29-975).
  190. Gardanne (de).
  191. Garnier de Labareyre.
  192. Albert Révérend, Armorial du Premier Empire, tome II, p. 216
  193. Révérend, in Titres, anoblissements et Pairies de la Restauration (t.III).
  194. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 92.
  195. Marie-Henri, comte de Ghaisne, seigneur de Genetay et de Montmont, mousquetaire du roi, puis capitaine au régiment Royal-Croate en janvier 1691. Louis-Henri de G., seigneur de Bourmont en Anjou, capitaine au régiment du Roi, chevalier de Saint-Louis, avant 1782. Louis-Auguste de G. de B., officier à l'armée de Condé en 1793, commandant des Armées royales de l'Ouest en 1799, adjudant-général de l'Armée Impériale en 1812, général de division le 13 février 1814, maréchal de France le 14 juillet 1830, ministre de la Guerre en 1829 et 1830. Pair de France le 9 octobre 1823, baron-pair héréditaire le 26 janvier 1828. (La Messelière-P-487/T-2.).
  196. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle, Robert Laffont, 2007, page 93.
  197. Auguste-Étienne-Marc Gourlez, créé baron de La Motte le 26 octobre 1808, lieutenant-général, commandeur de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis. (La Messelière-P-563/T-2.).
  198. Célian-Louis-Anne-Mary Goury, baron du Roslan, secrétaire de la Légation de France à Mexico, baron héréditaire le 9 juin 1846, grand-officier de la Légion d'honneur en 1866. (La Messelière-P-565/T-2.).
  199. Pierre-Marie Dioudonnat, Le simili-nobiliaire français 2002, p. 268.
  200. Yves-Michel Hervé du Pehhoat, commissaire du roi en ses conseils en 1774, subdélégué de l'Intendance et commissaire des États de Bretagne en 1776, maire de Saint-Paul, arrêté le 13 brumaire, an II, comme père d'émigrés et agent royaliste, guillotiné à Brest le 7 juillet 1794. Jean-Marie Hervé du Penhoat, émigré de 1791 à 1802, anobli le 18 novembre 1815. (La Messelière-T-3/P-85.).
  201. Jean-Joseph-Thomas Houitte de La Chesnais, avocat au Parlement de Bretagne en 1777, juge au tribunal de district en 1790, président du tribunal civil de Saint-Malo, député d'Ille-et-Vilaine, de 1811 à 1815, anobli le 9 décembre 1814. (La Messelière-P-101/T-3.).
  202. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 103.
  203. Pierre Saint-Girons, Les barons Hulot et le comte d'Aure, Les Études balzaciennes, n° 2, 1951.
  204. Révérend, Armorial du premier Empire (t.II)
  205. Arnaud Clément, La noblesse française, Academia.eu, 2020, page 325.
  206. a et b Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 2002, page 106.
  207. Jougla, 4, 356, no 20274.
  208. En 1965 un membre de cette famille substitue à son nom celui de « Gravier de Vergennes » par demande de changement de nom auprès du Conseil d'État. La famille Gravier de Vergennes, anoblie en 1681 par charge de trésorier général à Dijon, s'est éteinte en 1984. À la suite d'une adoption, ce patronyme a été relevé en 1957 par un membre de la famille Jourda de Vaux de Foletier qui l'a substitué au sien en 1965 (Demande de changement de nom faite par Jean Pierre Noel Jourda de Vaux de Foletier-Gravier de Vergennes, publiée au Journal Officiel du 13 juin 1964 p. 5126).
  209. Jougla, 4, 360, no 20333. Augustin-René-Pierre Joyault de Couesnongle, en Saint-Jacut, (Morbihan), fermier général du comté de Rieux. Augustin-Marie-François Joyault de Couesnongle, inspecteur des contributions indirectes du Finistère, anobli le 3 février 1815. (La Messelière-P-220/T-3.) //.
  210. Déjà baron au Portugal en 1867.
  211. Jougla, 4, 382, no 20606, d'après Révérend, Confirmations.
  212. La Biche (de).
  213. La Chaise (de).
  214. Lachèze-Murel (de).
  215. La Chapelle (de) et La Chapelle d'Ixelles (de).
  216. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 110.
  217. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, page 110.
  218. La Huppe de Larturière (de).
  219. Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, tome II, p. 304
  220. Laitre (de).
  221. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 2002.
  222. Joseph-Abel-Archambault Langlois, Intendant général du Trésor Public, le 8 août 1809, payeur de la 4e division militaire en 1811. (La Messelière-P-394/T-3.).
  223. Les familles titrées et anoblies au 19e siècle, par Albert Révérend (Vol.2).
  224. Le Barrois d'Orgeval.
  225. Foras, 1863, T.1-p. 239-241.
  226. Sur réversion du titre de 1815 du général Lecourbe.
  227. Joseph Le Levreur, directeur des Contributions indirectes, anobli le 18 novembre 1815. (La Messelière-P-504/T-3.).
  228. Confirmé en 1808.
  229. Claude, baron Lombard, avocat au Parlement, conseiller général et député de l'Isère, de 1815 à 1824, créé baron et anobli le 7 mars 1830, pair de France, le 3 octobre 1837. Claude-Louis-Marie-Amalric, comte Lombard de Buffières, créé comte héréditaire, le 11 mars 1863. (La Messelière-P-522/T-3.).
  230. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 132.
  231. Dictionnaire des parlementaires d'Aquitaine sous la IIIe République, ouvrage collectif publié aux Presses universitaires de Bordeaux, p. 99 à 101.
  232. cette famille ayant présenté trois générations de chevaliers de Saint-Louis, officiers des armées royales, est anoblie sous la Restauration par lettres patentes de 1815 (D.Labarre de Raillicourt. La Noblesse militaire, chez l'auteur à Paris 1962.
  233. Albert Révérend (1844-1911), Armorial du Premier Empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, vol. 3, Paris, 1894.
  234. Jean-Baptiste-Marie Martin de La Baudinière, Garde du corps du roi Louis XVI en 1791 et 1792, colonel du corps royal des chasseurs de Bonchamps, en Vendée de 1793 à 1800, anobli le 28 mai 1819, chevalier de Saint-Louis. (La Messelière-P-668/T-3.).
  235. Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, vol.5, p. 2.
  236. Titre de duc de Rivoli transmissible au fils cadet du premier titulaire, André Masséna, par dispositions spéciales de Louis XVIII en 1818 ; ce titre ducal ne devait pas être réuni à celui de prince d'Essling tant qu'il existerait deux branches au sein de la maison Masséna ; réunion des deux titres de 1821 à 1863 et depuis 1898
  237. Alberd Révérend, Armorial du Premier Empire : Titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, t. 3e, Annuaire de la noblesse, Paris, 1896, p. 201.
  238. Georgel, Armorial des familles lorraines titrées au XIXe siècle.
  239. Une clause des lettres patentes impériales (Archives nationales, BB29 1035 p. 55-56) créant ce titre permettait éventuellement sa transmission par la voie adoptive, prévue par l’article 35 du Deuxième statut du 1er mars 1808, mais avec l'autorisation de l'empereur. De nos jours, une telle autorisation n'a plus lieu d'être : bien qu'un jugement d'adoption soit nécessairement muet sur cette question, la transmission d'un titre de l'Empire s'opère de plein droit au profit d'un fils adoptif, dans le cadre d'une adoption de mâle en mâle, par ordre de primogéniture. Saisi pour ce faire, le garde des Sceaux, par un arrêté du 12 septembre 2003, a donc investi Philippe Maupas-Oudinot de Reggio, aîné des deux fils adoptifs d'Henri Oudinot duc de Reggio (décédé en 1956), du titre de son père adoptif — et naturel (Marc Guillaume, « Le Sceau de France, titre nobiliaire et changement de nom », communication à l’Académie des Sciences morales et politiques, séance du lundi 3 juillet 2006 [3]). Au terme d'un contentieux né de la contestation de l'arrêté par le cadet des fils adoptifs — et neveu — du duc, le Conseil d'État a rendu un arrêt (C. E., 2e et 7e sous-sections réunies, 16 février 2011, no 332187 [4]) annulant la décision de la cour administrative d'appel de Paris de 2009, par laquelle cette dernière avait fait droit à la demande d'annulation de la décision du ministre.
  240. Albert Révérend, Armorial du Premier Empire ; Titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, Bureau de l'annuaire de la noblesse, Alphonse Picard, 1894-1897.
  241. Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, rééd. Jean Tulard, Honoré Champion, Paris, 1974, 6 vol.
  242. Foras, 1910, tome 4, p. 10.
  243. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, page 140.
  244. Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, T. II, Demonchy, p. 330 à 332.
  245. Baron d'Empire le 13 mars 1813, baron héréditaire le 14 novembre 1820 (La Messelière-P-67/T-4)
  246. Jougla, t.5, p. 109, no 24422.
  247. Le tribunal administratif de Paris a jugé en juin 2009 qu'aucune autorité de la République ne dispose du pouvoir d'attribuer, de reconnaître, confirmer ou vérifier le titre de prince attribué aux membres des familles des anciens souverains : « La lettre du Tribunal administratif de Paris - N° 21 », , p. 4 : Vérification des titres de noblesse - Titre de prince attribué par les anciennes lois constitutionnelles aux membres des familles régnantes - Compétence des autorités républicaines pour se prononcer sur la demande de vérification de ce titre - Absence - Titre de noblesse - Absence : « Les lois constitutionnelles de 1875 ayant rétabli la République, le titre de prince attribué aux membres des familles régnantes, éventuellement appelés à l'exercice de la fonction de chef de l'État, dans l’ordre de l’hérédité propre à chaque dynastie, n'a, dès lors, plus d'existence légale. Aucune autorité de la République ne dispose donc du pouvoir d'attribuer, reconnaître, confirmer ou vérifier le titre de prince attribué aux membres des familles ayant régné en France. Le titre de prince attribué par les anciennes lois constitutionnelles à tous les membres de la famille régnante, qui était une qualification politique, les faisant participer à l'exercice de la souveraineté, ne relève aucunement de la procédure de vérification des titres instituée par les dispositions de l’article 7 du décret du 8 janvier 1859, complétées par celles du décret du 10 janvier 1872. Cette qualification princière se distingue, ainsi, des titres de noblesse, personnels et héréditaires, attribués par des actes administratifs de l'autorité souveraine avant l’instauration de la République, qui peuvent être vérifiés par le garde des sceaux, ministre de la justice, et qui constituent une propriété familiale dont la transmission est régie par l’acte administratif les ayant conférés. » TA Paris, 7e section, 1re chambre, no 0614591, Napoléon, 25 juin 2009. Rappr. CE, 6 décembre 2002, 185836, de Coux, Rec.p. 448.
  248. E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 752.
  249. Jougla V, 159, no 24966.
  250. Jougla, 5, 159, no 24976. // Joseph-Marie, baron Nielly, contre-amiral, baron héréditaire le 17 février 1815. (La Messelière-P-177/T-4.)//.
  251. Jougla, 5, 164, no 25034-25035.
  252. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page.
  253. Jougla V, 194, no 25398.
  254. Jougla, 5, 207-208, no 25579.
  255. Vicomte Albert Révérend, in Armorial du premier Empire (t.IV).
  256. AN 149 Mi 3 et État des Donataires en Westphalie du .
  257. Lettres Patentes du conférant le titre héréditaire de baron d'Empire à Pierre-François-Charles-Alexandre Petiet, 4e aïeul du candidat.
  258. Vicomte Albert Révérend, Armorial du Premier Empire (t.IV).
  259. A. Révérend, Titres et confirmations de titres (Monarchie de Juillet, 2e République, 2° Empire, 3e République), p. 472, H. Champion, éditeur, 1909
  260. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 154.
  261. Valette, 2007, p. 155
  262. Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 8, chez l'auteur, 1827.
  263. Philippe Lamarque, Armorial du Premier Empire, Éditions du Gui, , 639 p. (ISBN 978-2-9517417-7-5), p. 430.
  264. https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/consultationIR.action?irId=FRAN_IR_057697&udId=c1dli9hes7gf-6et4xkzs01y3&details=true&gotoArchivesNums=false&auSeinIR=true
  265. Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle : titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, t. 5, Paris, H Champion, (lire en ligne), p. 438-439.
  266. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 160.
  267. Jougla V, 424, no 28223.
  268. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 161.
  269. A.N. CC249.
  270. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 165.
  271. Louis de Ronseray, né en 1636, échevin de Nantes en 1676. Joseph de Ronseray, écuyer, né le 9 décembre 1681, capitaine d'armes à Nantes en 1710, établi à Saint-Domingue (Antilles), en 1541. Pierre Denis de Ronseray, né à Saint-Domingue, réfugié à Kington (Jamaïque) lors de la révolte de 1800. Rapatrié en France en 1832. (La Messelière.T.IV-p. 683).
  272. Lettres patentes du 9 septembre 1824 conférant le titre héréditaire de baron pair sur institution de majorat.
  273. Jougla VI, 109, no 30611.
  274. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 173-298.
  275. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 174.
  276. Jougla VI, 176, no 31381.
  277. Germain Sarrut, Biographie des hommes du jour : industriels, conseillers-d'État, artistes, chambellans, députés, prêtres, militaires, écrivains, rois, diplomates, pairs, gens de justice, princes, espions fameux, savans, H. Krabe, 1836.
  278. Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration (t.VI).
  279. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, page 176.
  280. Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959 : numéro 426.
  281. Valette 2007-p. 178-286-287
  282. Révérend, Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle (lire en ligne), tome 6 p 281-282
  283. Jougla VI, 247, no 32236.
  284. Vicomte Albert Révérend, Comte E. Villeroy, Armorial du Premier Empire.
  285. Valette 2007. p. 179).
  286. Jougla VI, 251, no 32296.
  287. Les trois branches nobles subsistantes sont issues de Pierre Teillard (1763-1836), Restauration, anobli par L.P. du .
  288. Chardin par mariage en 1841 avec Victoire Barron de Chardin
  289. Rancilhac de Chazelles par décret du .
  290. Les autres branches non anoblies, qui subsistaient encore au début du XXIe siècle, sont les Teilhard de Laterrisse installés en Argentine au XIXe siècle, et les Teillard de Nozerolles.
  291. Jougla, 6, 274, no 32492.
  292. Vicomte Henry Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes.
  293. Antoine, Jean-Marie, comte de Thévenard, chef d'escadre en 1784, brigadier des armées navales en 1786, ministre de la marine en 1791, comte d'Empire le 9 janvier 1810, sénateur le 5 février 1810, pair de France le 2 juin 1814, membre de l'Académie des sciences, grand-officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre de Saint-Louis. (La Messelière-P-216/T-5.).
  294. Jougla VI, 304, no 32892.
  295. Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France, 1893, p. 448
  296. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 185.
  297. Louis-François de Turgy, né à Paris, le 18 juillet 1763, chef de cabinet de la duchesse d'Angoulême, officier de la Légion d'Honneur, anobli le 2 décembre 1814. Jean-Baptiste, baron de Turgy, le 22 janvier 1825, garde du corps du roi, mort à Sillegny (Lorraine).(La Messelière. T/5 bis- page 318.
  298. Titre de comte d'Empire concédé au duc Charles Joseph d'Ursel, gouverneur-maire de la ville de Bruxelles, par LP scellées le 20 décembre 1810. Cf Bulletin de l'ANF - Juillet 2017.
  299. Alain Texier, p. 378.
  300. Jougla III, 259, no 13823.
  301. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t.15, p. 286.
  302. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 188).
  303. Foras, 1910, tome 5, p. 590.
  304. Acte récognitif : Lettres patentes du du duché de Savoie octroyant le titre de Comte à Marc-Antoine Vialet de Montbel, trisaïeul du candidat, et à sa descendance par ordre de primogéniture.
  305. Jougla VI, 447, no 34641.
  306. François-Jacques de Vuillefroy, anobli à Soissons le 4 novembre 1815, chevalier d'honneur au bureau des finances de cette ville. (La Messelière-P-397/T-5.).
  307. Lettres de noblesse du avec règlement d'armoiries, accordées par ordonnance du roi en date du , en faveur de François-Charles Vuillefroy, ancien chevalier d'honneur au Bureau des Finances de Soissons, 6e aïeul du candidat (A.N. BB29/978 f°88).
  308. Albert Révérend, Les familles titrées et anoblies au XIXe siècle : titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, vol. VI, Champion, 1906.
  309. Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, 1814-1830, Volume 1, 1901-1906 (lire en ligne), p.117 (vue 137/420) : titre de vicomte accordé à M. de Barrès-Combas
  310. Dioudonnat 2002 p. 60
  311. Liévyns, A. ; Verdot, Jean-Maurice ; Bégat, Pierre (1800-1882), Fastes de la légion d'honneur : biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre. Tome 3 (lire en ligne), p. 96
  312. Archives Nationales, « Cote Lazare Carnot. (108AP/7-108AP/45) : dossier 1 - Copie du décret nommant Lazare Carnot, comte d'Empire. 20 mars 1815. » (consulté le )
  313. « Le général Carnot [...] ne retira pas les lettres patentes de la Chancellerie. » Alcide Georgel, Armorial de l'Empire français : L'Institut, l'Université, les écoles publiques, 1870.
  314. Philippe du Puy de Clinchamps, La noblesse, coll. « Que sais-je ? », numéro 830, PUF, 1959, page 88.
  315. Dioudonnat 2002 p. 191
  316. Dioudonnat 2002 p. 226
  317. Archives Nationales, « Cote BB/29/966, page 59 (Note: Acte rayé et annoté "ajourné".) : Titre de baron, accordé par décret du 19 mars 1808 , à Louis Guichard. (1808). » (consulté le )
  318. Les lettres patentes ne furent pas délivrées à Louis Guichard (1772-1837), ancêtre d'Olivier Guichard. Éric Chiaradia, L'entourage du général de Gaulle : juin 58-avril 69, éditions Publibook, 2011.
  319. E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 608.
  320. Arnaud Clément, La noblesse française, [WNOR, SS, SS sup].
  321. Dioudonnat 2002 p. 411
  322. Anaud Clément "La Noblesse Française", 2021, p. 521
  323. Albert Révérend, in Titres, anoblissements et Pairies de la Restauration.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]