Saint-Vallier (Drôme)

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Saint-Vallier
Saint-Vallier (Drôme)
Saint-Vallier et le Rhône vus du puy de Serves.
Blason de Saint-Vallier
Blason
Saint-Vallier (Drôme)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Communauté de communes Porte de DrômArdèche
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Jouvet (PS)
2020-2026
Code postal 26240
Code commune 26333
Démographie
Gentilé Valloiriens et Valloiriennes[1].
Population
municipale
4 050 hab. (2021 en augmentation de 2,92 % par rapport à 2015)
Densité 747 hab./km2
Population
agglomération
11 998 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 46″ nord, 4° 48′ 56″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 364 m
Superficie 5,42 km2
Unité urbaine Saint-Vallier
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Vallier
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vallier (Drôme)
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Vallier
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Saint-Vallier
Liens
Site web www.saintvallier.fr
Saint-Vallier.

Saint-Vallier est une commune française située au bord du Rhône, dans le nord du département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Vallier est en bordure du Rhône, à la confluence de ce dernier et de la Galaure, à environ 30 km au nord de Valence et environ 70 km au sud de Lyon.

Rose des vents Sarras (Ardèche)
Laveyron
Laveyron Laveyron Rose des vents
Sarras (Ardèche) N Laveyron
O    Saint-Vallier (Drôme)    E
S
Ozon (Ardèche) Ozon (Ardèche)
Ponsas
Saint-Barthélemy-de-Vals

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

  • Loess Durci de Saint-Vallier Fouilles[2].

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Rhône à Saint-Vallier.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 844 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Barthélemy-V_sapc », sur la commune de Saint-Barthélemy-de-Vals à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Gare de Saint-Vallier-sur-Rhône.

La commune est traversée par la route nationale 7.

La ville possède une gare sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles. Elle est desservie par des TER Rhône-Alpes reliant Lyon à Valence, et de manière moins régulière Marseille et Mâcon.

Saint-Vallier possède également plusieurs haltes fluviales le long du Rhône.

Un aérodrome est à 10 km de la ville.

La ViaRhôna passe par le nord de la commune sur 1km avant de traverser le Rhône pour rejoindre la commune de Sarras (Ardèche) .

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

En 2010-2011, Saint-Vallier était le centre d'une aire urbaine de 5 communes (avec Beausemblant, Laveyron, Ponsas et Sarras)[9], totalisant 8 886 habitants en 2011[10].

En 2020 : selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Saint-Vallier est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vallier, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes[11] et 11 998 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Vallier dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (37,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,5 %), zones agricoles hétérogènes (21,6 %), zones urbanisées (14,2 %), eaux continentales[Note 3] (13,3 %), terres arables (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le tissu urbain, entre Rhône et collines, est dense et la ville s'est développée de manière linéaire, le long du fleuve. La longueur de voirie est de 26 289 m.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[2] :

  • Champis
  • Combe Blanche
  • Creux de Sedan
  • Font Pierre
  • Jacquet
  • la Brassière
  • la Côte
  • la Croze
  • la Garenne
  • la Maladière
  • le Bachat
  • les Îles
  • les Rioux
  • Montrebut
  • Ollanet
  • Palayer
  • Pont Caton
  • Reynaud
  • Sétier

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Sous l'Antiquité, la localité est nommée Ursuli[17] en référence à des ours aperçus sur une colline environnante. Au Moyen Âge, elle devient Orsolles[réf. nécessaire].

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 891 : vicus Sancti Valerii (Gall. christ., XVI, 11).
  • 891 : mention de l'église Saint-Étienne : ecclesia Sancti Stephani martyris nec non Sancti Valerii (Gall. christ., XVI, 11).
  • 1204 : la vila de Sain Valeir et Sain Valer (charte du dauphin Guigues-André).
  • 1271 : mention de l'archiprêtré : archipresbyteratus Sancti Valerii (actes capit. de Vienne, 107).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Valerii (pouillé de Vienne).
  • 1520 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Vallerii mandamenti Vallis (archives de la Drôme, E 2458).
  • 1793 : Val Libre (appellation révolutionnaire).
  • 1891 : Saint-Vallier, commune, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Valence.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le toponyme viendrait de Valère, l'un des premiers évêques de Viviers[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Période celtique : le territoire fait partie de la tribu gauloise des Allobroges.

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Station gallo-romaine nommée Ursuli traversée par la Via Agrippa[17]. Ce nom aurait été donné en référence à des ours aperçus sur une colline environnante[réf. nécessaire].
Elle est mentionnée dans l'Itinéraire d'Antonin[19],[20], et un petit port fluvial au bord du Rhône.

Une borne milliaire romaine a été trouvée en 1620 avec l'inscription : tib clavdivs caesar germanicvs pont maximvs imperator. xxv (Tibère Claude César Germanicus, grand pontife, empereur, vingt-cinq milles)[21].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La terre n'a jamais connu le servage[17].

La seigneurie[18] :

  • Au point de vue féodal, Saint-Vallier était en une terre du domaine des dauphins.
  • 1204 : les dauphins donnent une charte de libertés municipales aux habitants.
  • La terre passe à la maison de Bourgogne.
  • Vers 1270 : elle passe (par mariage) aux comtes de Valentinois.
  • 1328 : les comtes de Valentinois apanagent la terre à une branche cadette dite de Poitiers-Saint-Vallier (éteinte en 1566).
  • 1584 : les héritiers des Poitiers-Saint-Vallier vendent la terre aux La Croix-Chevrières qui s'en qualifient comtes. Ils sont les derniers seigneurs.

Au IXe siècle, la cité se protège avec des remparts (certains sont encore visibles de nos jours)[réf. nécessaire].

Saint-Vallier fut un lieu de rendez-vous pour plusieurs croisades :

Au XVe siècle, les habitants de Saint-Vallier ont négocié, avec le seigneur Aimar VI de Poitiers, le remplacement de plusieurs impôts (cinq cas impériaux) par un droit de villefranche[réf. nécessaire].

Vue de Saint-Vallier par Hendrik Gijsmans vers 1567.

Deuxième moitié du XVIe siècle : pendant les guerres de Religion, les huguenots sont passés à Saint-Vallier[réf. nécessaire].

Saint-Vallier était le chef-lieu d'un archiprêtré du diocèse de Vienne comprenant toute la partie de l'actuel département qui est à droite de la Galaure et une partie de l'actuel département de l'Isère.
Au XVIIe siècle, une nouvelle division des paroisses de ce diocèse ne lui attribue plus que les paroisses de Beaumont-Monteux, Bren, Chanos, Chantemerle, Chavannes, Creures, Croze, Erôme, Fay, Gervans, Larnage, Mercurol, la Motte-de-Galaure, Mureils, Saint-Andéol-de-Claveyson, Saint-Barthélémy-de-Vals, Saint-Clément, Saint-Pierre-des-Blés, Saint-Uze, Serves, Tain et Veaunes[18].

Avant 1790, Saint-Vallier était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait, avec la communauté de Laveyron, une paroisse du diocèse de Vienne. Son église, dédiée premièrement à saint Étienne, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin qui fut soumis à l'abbaye de Saint-Ruf en 1364 et que remplaça en 1779 un collège de cinq prêtres. Il y avait dans cette ville, un couvent de franciscains fondé au XVIIe siècle et un hôpital datant de 1696[18].

L'activité industrielle s'est développée à Saint-Vallier dès le XVIIIe siècle, et la ville a longtemps été une petite cité ouvrière[réf. nécessaire].

Les Rioux[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[23] :

  • 1474 : territorium de Rivis (Recogn. Sancti Valerii, 12).
  • 1555 : Les Rioulx (terrier de Diane de Poitiers).
  • 1891 : Les Rioux, château et quartier de la commune de Saint-Vallier.

Le château appartenait premièrement aux Valernod. En 1635, il est acquis par les Cothonay[23].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, Saint-Vallier devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Claveyson, Fay, Laveyron, le Molard-Bouchard, la Motte-de-Galaure, Ratières, Saint-Barthélemy-de-Vals, Sainte-Uze et Saint-Vallier.
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) y ajoute les communes d'Albon, Beausemblant, Mantaille, Mureils, Ponsas et Saint-Martin-d'Août, auxquelles ont été jointes, par le fait d'érections nouvelles, celles de Saint-Avit et de Saint-Rambert-d'Albon. La commune de Mantaille en sera retranchée en 1809, et celle du Molard-Bouchard en 1848[18].

Le , Napoléon Bonaparte, de passage au relais de la poste aux chevaux de Saint-Vallier avec son frère Louis, y rédigea ses Impressions de voyage, sous forme de réflexions sur l'amour[réf. nécessaire].

Le , une grande partie du corps d'armée du maréchal Pierre Augereau qui se replie sur Valence, occupe Saint-Vallier, sous les ordres du général Frédéric Auguste de Beurmann.
Saint-Vallier est ensuite occupée par des troupes Autrichiennes[réf. nécessaire].

Développement de l'industrie au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Céramique
  • Manufacture Revol

En 1789, deux frères de la famille Revol découvrent dans la commune de Saint-Barthélemy-de-Vals une carrière de sable kaolino-feldspathique, qui leur permet de créer deux fabriques de grès fins vers 1800 à Ponsas, puis à Saint-Uze. Les frères Revol s'associent au chimiste M. Raymond pour fabriquer des ustensiles de cuisine et de chimie, dont des creusets, que l'on achetait alors en Allemagne. Cette « terre d'acier » est rendue complètement imperméable par un début de vitrification. On en fait des ustensiles hygiéniques (appellation « porcelaine hygiénique », « hygiocérame »)[réf. nécessaire]. Cette production est présentée avec succès à l'Exposition Industrielle de Paris de 1834. Le succès entraîne la création d'autres fabriques,[réf. nécessaire] jusqu'à une douzaine dans les villages de Saint-Uze, Saint-Vallier, Ponsas, Andancette, Érôme et Épinouze[24]. Les productions se diversifient : isolateurs électriques, carrelage, encrier, éviers, articles funéraires, objets publicitaires dont les carafes à eau jaune Ricard[réf. nécessaire].
Autre version : Saint-Vallier est connue pour sa production aux XIXe et XXe siècles de grès fin industriels. Il s'agit d'un grès fin opaque émaillé, dénommé « porcelaine à feu ». Il ne s'agit pas d'une faïence ou d'une « terre de fer »[réf. nécessaire].

  • Manufacture Boissonnet

En 1863, Louis Boissonnet achète une ancienne fabrique de poterie et de tuiles à Saint-Vallier. En 1865 l'entreprise devient officiellement les « Établissements Boissonnet » et oriente sa production vers la fabrication d'objets d'art et de vaisselle en grès émaillé, avec quelque succès — ainsi le sculpteur Félix Devaux reçoit une médaille d'argent à l'Exposition Universelle de 1900 pour son célèbre vase allégorique « Le Rhône et la Saône ». Avec le temps, l'entreprise s'agrandit en achetant d'autres établissements. En 1918, Alexis, fils de Louis Boissonnet, succède à son père et ajoute à la production une ligne de céramique architecturale. Son fils Louis Boissonnet, petit-fils éponyme du fondateur, lui succède à son tour en 1933 ; il renonce à la poterie et dédie entièrement l'entreprise à la production de carrelage (toute poterie « Boissonnet » a donc été produite entre 1865 et 1933).
En 1958, l'établissement Boissonnet devient Novoceram ; et en 2000, Novoceram entre dans le groupe italien Gruppo Concorde, l'un des leaders mondiaux du secteur céramique[25].

Industrie textile

Au XIXe siècle, des entreprises de moulinage, de tissage et de filature de soie s'installent à proximité des cours d'eau. La main d'œuvre est alors majoritairement constituée de femmes et d'enfants[réf. nécessaire].

La construction des voies ferrées[modifier | modifier le code]

Tramway.

Construite en 1850 par la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée, la première ligne de train français allait de Paris à Marseille.
Cette ligne coupa la vieille ville en deux mais donna à Saint-Vallier une gare. Le premier train de la ligne passe le à Saint-Vallier.
Le , le tramway de la Galaure est ouvert au public, reliant Saint-Vallier au Grand-Serre (chemins de fer départementaux de la Drôme)[réf. nécessaire].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

À l'issue de la défaite de juin 1940, des artilleurs et le génie français font exploser le pont suspendu sur le Rhône[réf. nécessaire].

Le , lors de l'opération Anton des chars allemands passent dans la ville[réf. nécessaire].

Plusieurs actions de résistance sont réalisées[réf. nécessaire].

Le , lors du débarquement de Provence, un bombardement américain de la 15th USAAF visant la voie de chemin de fer pendant la fuite des allemands tombe par erreur sur le quartier du Champ de Mars tuant de nombreux Saint-Vallierois. La majeure partie du sud de la commune est détruite. Un monument commémoratif de cette tragédie se trouve au cimetière de Saint-Vallier. Les noms des victimes ont été inscrits sur le monument aux morts[réf. nécessaire].

Le , la ville est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 par décret[réf. nécessaire].

Histoire récente[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27.

À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé de 8 adjoints et de 18 conseillers municipaux[26][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
         
1815 1816 Victor Chartron    
1816 1819 Pierre Antoine Monyer    
1819 1830 Raphaël François Frédéric Chartron    
1830 1835 Nicolas Joseph Pillon    
1835 1848 Jean Antoine François Ithier    
1848 1866 Raphaël François Frédéric Chartron    
1866 1870 Michel Augustin Claude Sollier    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire.
1870 1871 Eugène Buissonnet    
1871 1874 Jules François Faure    
1874 1874 Antoine Rémy Joannin    
1875 1876 Henry Gilbert de Colonjon    
1876 1880 Jules François Faure    
1880 1885 Florentin Frugier    
1885 1891 Honoré Sarrère    
1891 1900 Antoine Bégot    
1904 1912 Louis Boissonnet    
1912 1941 Désiré Valette SFIO  
1941
(élection ?)
1943 Sylvain Métral Gouvernement de Vichy  
1943
(élection ?)
1945 Charles Grenier Gouvernement de Vichy  
1945 1947 Paul Clément   nommé après la guerre
1947 1971 Auguste Delaye SFIO puis PS  
1971 1977 Robert Witsenhausen-Adelmann UDR puis UDF  
1977 1989 Jean Mourier PCF Retraité, ancien résistant
1989 2008 Louis Bombrun PS  
2008 2020 Jacques Cheval PS retraité
2020 En cours
(au novembre 2020)
Pierre Jouvet[27],[26][source insuffisante] PS  

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Depuis 2014, Saint-Vallier fait partie de la communauté de communes Porte de DrômArdèche, dont elle est le siège et la 3e commune la plus peuplée[28]. En effet, la communauté de communes Les Deux Rives de la région de Saint-Vallier dont elle faisait auparavant partie a fusionné avec les communautés de communes de la Galaure, des Quatre Collines et de Rhône-Valloire. Elle y tient une place importante de par son activité économique.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Les berges de la Galaure ont été aménagées en parcs : « Les jardins de la Galaure » sur les deux rives, et le parc Witsenhausen[réf. nécessaire].

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 4 050 habitants[Note 4], en augmentation de 2,92 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5551 7361 9081 8492 4092 4552 6963 0083 067
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1133 1423 3723 1733 2283 4273 9043 8564 140
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 2864 4324 3634 0343 9673 9713 8473 5523 835
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 1244 9275 1374 4424 1154 1544 0514 0174 000
2014 2019 2021 - - - - - -
3 9663 9604 050------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Santé[modifier | modifier le code]

Saint-Vallier est un pôle de santé : hôpitaux Nord-Drôme, maison médicale[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : à la Pentecôte (mai) (vogue du Tunnel)[17].
  • Fête : le dernier dimanche de juin (vogue de la Croisette)[17].
  • Fête : le dernier dimanche de juillet (vogue du Champ de Mars)[17].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Saint Vallier dispose de plusieurs complexes sportifs ainsi que d'un complexe aquatique et d'un skateparc[réf. nécessaire].

Clubs

Saint Vallier a de nombreux clubs sportifs dont plusieurs évoluent à haut niveau, comme le Saint-Vallier Basket Drôme[réf. nécessaire].

Événements sportifs

Saint Vallier a accueilli plusieurs arrivées d'étapes du Critérium du Dauphiné et de Paris-Nice et organise chaque année un Grand Prix cycliste[réf. nécessaire].

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Romans - Nord Drôme, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vignes, vergers, pâturages (bovins)[17].

  • Coopératives agricole et céréalière[17].
  • Marché : les premiers et troisièmes jeudis du mois ; tous les jeudis (bestiaux)[17].
  • Foires : les et [17].

La commune a été le siège (entre 1919 et 1950) de l'entreprise Seyve-Villard, un des hybrideurs (de la vigne). Il a réalisé une soixantaine d'hybrides dont une dizaine ont été des succès (Seyval, Garonnet, Roucaneuf, etc.). Ces derniers ont popularisé le nom de la localité : Muscat de Saint-Vallier, Dattier de St-Vallier, etc.)[33],[34].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Syndicat d'initiative (en 1992)[17].
  • Camping municipal (3 étoiles).
  • Passage de la ViaRhôna, une véloroute de 800km.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La ville et du château de Saint-Vallier en 1809, d'après un tableau à l'huile de C.L. Panckoucke.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Les Poitiers en font l'acquisition en 1276. Il est reconstruit au XVe siècle.
Ses tours furent arasées au niveau des murailles au début du XVIe siècle, à la suite du procès de Jean de Poitiers[37], accusé de complicité dans la trahison du connétable de Bourbon contre François Ier.
Les jardins à la française ont été dessinés par le paysagiste André Le Nôtre[17].
Le château est remanié au XVIIe siècle puis endommagé lors de la Révolution.
Il est restauré en 1925[35].
Il est flanqué de tours d'angle qui dominent la rivière de la Galaure[réf. nécessaire] et possède une orangerie[17].
Il est inscrit au titre des monuments historiques en 1944 (Logo monument historique Classé MH (1944)[38]).
Il n'est pas visitable[réf. nécessaire].
  • Église Saint-Valéry (MH) avec une architecture composite : chœur (XVe siècle), deux arcatures romanes dans le mur latéral droit, calice[17].
  • Église du XVIIe siècle (ex tour de garde) : lieu de pèlerinage[17].
  • La halle, reconstruite en 1852 en maçonnerie à l'emplacement de l'ancien bâtiment en bois[réf. nécessaire].
  • L'ancien grenier à sel[réf. nécessaire].
  • Chapelle votive du XIXe siècle[17].
  • Hospice et hôpital du XIXe siècle (sur l'ancien château delphinal)[17].
  • La gare de Saint-Vallier-sur-Rhône (mise en service en 1855).
  • La croix des mariniers.
  • La salle de spectacles Désiré-Valette, d'architecture de style Art déco, avec un plancher mobile de type Eiffel. Elle était décorée d'un superbe vitrail, détruit pendant le bombardement du .

Le château des Rioux est situé au nord de la ville[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Films tournés à Saint-Vallier[modifier | modifier le code]

Arts plastiques[modifier | modifier le code]

  • Poterie de grès[17].
  • Des expositions sont régulièrement organisées à la Salle Arts Plastiques et à la médiathèque[réf. nécessaire].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site paléontologique[modifier | modifier le code]

Au milieu du XIXe siècle, des ossements ont été découverts au site de Montrebut, qui est devenu par la suite une référence biostratigraphique : « gisement pliocène supérieur de Saint-Vallier, période du villafranchien moyen »[40],[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Politique[modifier | modifier le code]

Science[modifier | modifier le code]

  • Jean-Michel Raymond (1766-1837), dit Jean-Michel Raymond Latour : chimiste, propriétaire du château des Rioux.
  • Jean Montagu (1917-2002) : ingénieur céramiste et artisan potier.

Art et audiovisuel[modifier | modifier le code]

  • Joseph Bordas (né en 1846 à Saint-Vallier) : écrivain et archiviste - ayant notamment écris trois opuscules concernant la ville.
  • Jean Broussolle (né en 1920 à Saint-Vallier) : auteur compositeur — membre des Compagnons de la Chanson de 1952 à 1972 —.
  • Malik Chibane (né en 1964 à Saint-Vallier) : réalisateur, scénariste, et producteur de cinéma français.
  • Étienne Pradier (né en 1965 à Saint-Vallier) : prestidigitateur français.
  • Christophe Blanc (né en 1966 à Saint-Vallier) : réalisateur et scénariste de cinéma français.
  • Laetitia Bourgeois (née en 1970 à Saint-Vallier) : historienne et romancière.
  • Stéphanie Reynaud (née à Saint-Vallier) : actrice française[43].
  • Laurie Delhostal : journaliste et présentatrice sportive pour le groupe Canal Plus[précision nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

  • Aimé Baboin (1809-1870) : fondateur des soieries Aimé Baboin & Cie à St Vallier et Lyon.
  • Norbert Dentressangle : fondateur et président du conseil de surveillance du groupe Norbert Dentressangle, leader mondial dans le transport routier et la logistique.

Sport[modifier | modifier le code]

  • Nancy Joseph (née en 1967 à Saint-Vallier) : championne du monde et d'Europe de Boxe française-Savate, quatre fois championne du Monde de Kick Boxing, deux fois championne du Monde de Boxe Thaï[44].
  • David Fraisse (né en 1968 à Saint-Vallier) : joueur international de Rugby à 13.
  • Éric Micoud (né en 1973 au Bénin) : joueur de basket, ancien international. Il a été formé à Saint-Vallier.
  • Olivier Milloud (né en 1975 à Saint-Vallier) : ancien joueur de rugby à XV.
  • Charles Cazaux (né en 1978) : champion du monde de parapente[précision nécessaire].
  • Sébastien Joly (né en 1979 à Tournon) : cycliste professionnel. Il habite à Saint-Vallier.
  • Jessica Clémençon (née en 1989 à Saint-Vallier) : joueuse de basket-ball.
  • Benjamin Thomas (né en 1982 à Valence) : joueur professionnel de basket-ball. Il a été formé à Saint-Vallier.

Religion[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

On trouve les armoiries de Saint-Vallier dans la monographie d'Albert Caize (1867)[47].


Blason de Saint-Vallier en 1867

Écartelé : aux I et IV, d'or au dauphin d'azur, allumé, langué, loré, peautré et oreillé de gueules (Dauphiné) ; au II, d'azur à six besants d’argent posés 3, 2 et 1, au chef d'or (Poitiers-Valentinois) ; au III, d'azur, au buste de cheval d'or, animé de gueules, au chef cousu de gueules chargé de trois croisettes d'argent (La Croix de Chevrières)[48]

La commune utilise aujourd'hui[49] un logotype construit autour de son toponyme.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Albert Caise, Histoire de Saint-Vallier, de son abbaye, de ses seigneurs et de ses habitants : Ouvrage orné d'une vue du château de Saint-Vallier avec un plan de la ville et suivi d'une liste des plus anciennes familles de Saint-Vallier, J. B. Dumoulin, , 300 p. (lire en ligne).
  • Joseph Bordas, Notice sur la chapelle de Saint Joseph de Vals, canton de Saint-Vallier (Drôme), 1886, 12 pages[50],[51].
  • Joseph Bordas, Discours prononcé le lundi 27 octobre 1890 sur la tombe de M. le chanoine Sautreaux, curé-archiprêtre de St-Vallier, 1890, 8 pages[52].
  • Joseph Bordas, Discours prononcé par Joseph Bordas membre de la Société d'Archéologie et de Statistique de la Drôme à la distribution des prix de l'école libre de St-Vallier, 1894, 7 pages[53].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Drôme », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Vallier et Saint-Barthélemy-de-Vals », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc », sur la commune de Saint-Barthélemy-de-Vals - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Barthélemy-V_sapc », sur la commune de Saint-Barthélemy-de-Vals - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage en aires urbaines 2010 de Saint-Vallier (407) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Séries historiques des résultats du recensement - Aire urbaine de Saint-Vallier (407) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vallier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Vallier
  18. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 362 (Saint-Vallier).
  19. « Bulletin d'Archéologie et de Statistique de la Drôme, 1896 ».
  20. Nicolas Bergier, Histoire des grands chemins de l'empire romain (lire en ligne).
  21. « Notice historique sur Saint-Vallier (Drôme) ».
  22. Diane de Poitiers dame de Saint-Vallier, (ISSN 2494-2863).
  23. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 305 (Les Rioux).
  24. [Delaunay 1996] René Delaunay, « La poterie de Saint-Uze, Saint-Vallier, Ponsas, Anneyron, Erome, Andancette », Études drômoises, no 1,‎ , p. 7-9 (lire en ligne [PDF] sur etudesdromoises.fr, consulté en ).
  25. « Histoire, 150 ans de céramique – Le plus ancien fabricant français de carrelage raconte son histoire », sur novoceram.fr (consulté en ).
  26. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  27. « Pierre Jouvet, maire de Saint-Vallier, porte-parole national du PS », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  28. « CC Porte de DrômArdèche », sur www.porte-de-dromardeche.fr (consulté le )
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Pierre Galet, Cépages et vignobles de France, 1, la vigne américaine, p 493 et suivantes.
  34. Site VIVC sur internet, chercher Seyve-Villard.
  35. a et b Charles-Laurent Salch, op. cit, p. 1093.
  36. Arrêté du 26 juin 2020 portant classement du site patrimonial remarquable de Saint-Vallier
  37. a et b Procès criminel de Jehan de Poytiers Seigneur de Saint-Vallier, (lire en ligne).
  38. « Château de Saint-Vallier et ses jardins. », notice no PA00117062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Les Deux Fermiers, ou la Forêt de St. Vallier, mélodrame en trois actes; par Ménissier, Dubois et Martin St.-Ange, etc (lire en ligne).
  40. Andréa Valli, « Taphonomy of Saint-Vallier (Drôme, France), the reference locality for the biozone MN17 (Upper Pliocene) », Lethaia, vol. 37, no 3,‎ , p. 337–350 (DOI 10.1080/00241160410002072).
  41. Jean Viret, Le Lœss à bancs durcis de Saint-Vallier (Drôme) et sa faune de mammifères villafranchiens, 1954 Lyon, impr. de A. Rey, 200 p. + 33 pl.
  42. « Sieges soutenus par la ville de Paris depuis l'invasion des Romains dans les Gaules jusqu'au 30 mars 1814. - Paris, Blanchard 1815 ».
  43. http://stephaniereynaud.com/fr/accueil.html
  44. « Nancy Joseph », sur boxepiedspoings.fr (consulté le ).
  45. « Filature tissage dite manufacture Chartron frères puis école, pensionnat… », sur auvergnerhonealpes.fr (consulté le ).
  46. (en) « Biographie de Pauline Jaricot », sur Pauline Jaricot (consulté le ).
  47. Albert Caise, Histoire de Saint-Vallier, de son abbaye, de ses seigneurs et de ses habitants : Ouvrage orné d'une vue du château de Saint-Vallier avec un plan de la ville et suivi d'une liste des plus anciennes familles de Saint-Vallier, J. B. Dumoulin, , 300 p. (lire en ligne).
  48. « L'armorial des villes et villages de France », 26 - Drôme, sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  49. Site de la mairie.
  50. Joseph Auteur du texte Bordas, Notice sur la chapelle de Saint-Joseph de Vals, canton de Saint-Vallier (Drôme) / par Joseph Bordas,..., (lire en ligne)
  51. « Notice sur la chapelle de Saint Joseph de Vals, canton de Saint-Vallier (Drôme) », sur Babelio (consulté le )
  52. « Discours prononcé le lundi 27 octobre 1890 sur la tombe de M. le chanoine Sautreaux, curé-archiprêtre de St-Vallier », sur Babelio (consulté le )
  53. « Discours prononcé par Joseph Bordas membre de la Société d'Archéologie et de Statistique de la Drôme à la distribution des prix de l'école libre de St-Vallier », sur Babelio (consulté le )