Rupert Murdoch

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Rupert Murdoch
Rupert Murdoch en 2011.
Fonctions
Président
Fox Corporation
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Comédie
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Président
Fox News Channel
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Executive chairman (d)
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Executive chairman (d)
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Executive chairman (d)
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Président
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Biographie
Naissance
Nom de naissance
Keith Rupert Murdoch
Nationalité
Domiciles
Formation
Université d'Oxford (Master en arts (en)) (jusqu'en )
Worcester College
Geelong Grammar School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Père
Mère
Elisabeth Murdoch (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Helen Handbury (d)
Anne Kantor (d)
Janet Calvert-Jones (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Patricia Booker (d) (de à )
Anna Murdoch Mann (en) (de à )
Wendi Deng Murdoch (de à )
Jerry Hall (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Prudence Murdoch (en)
Elisabeth Murdoch
Lachlan Murdoch
James Murdoch (en)
Grace Helen Murdoch (d)
Chloe Murdoch (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Propriétaire de
Parti politique
Distinctions

Rupert Murdoch, né le 11 mars 1931 à Melbourne, est un magnat des médias australo-américain, fondateur de News Corporation. Considéré comme l'un des entrepreneurs les plus influents au monde, il possède un empire médiatique diversifié et est une figure controversée pour son influence politique considérable. En 2022, sa fortune est estimée à 17,5 milliards de dollars selon Forbes.

Après la disparition de son père en 1952, Murdoch reprend l'affaire familiale de presse. Il élargit rapidement son empire en Australie et en Nouvelle-Zélande durant les années 1950 et 1960, avant de s'étendre au Royaume-Uni en 1969 et aux États-Unis en 1974. News Corporation voit le jour en 1980.

Identifié comme eurosceptique et libertarien, il est souvent critiqué pour l'utilisation de ses médias comme plateformes de ses idées politiques. Sa mainmise médiatique est attribuée à plusieurs tournants politiques majeurs en Australie, au Royaume-Uni, et aux États-Unis.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Keith Rupert Murdoch est né le à Cruden Farm, une ferme baptisée d'après Cruden Bay, un village de l'Aberdeenshire en Écosse dont sont originaires ses grands-parents, et située à 30 mi (env. 50 km) au sud de Melbourne.

Il est le fils de Keith Murdoch (1886-1952), un influent patron de presse, et de son épouse Elisabeth Joy Greene (1909-2012). D'origine écossaise et anglaise, ses parents se sont mariés en 1928 (elle a alors dix-neuf ans, et son époux a vingt-trois ans de plus qu'elle)[1].

Murdoch a trois sœurs :

  • Helen Murdoch (1929–2004)
  • Anne Murdoch (née en 1935)
  • Janet Murdoch (née en 1939)

Famille[modifier | modifier le code]

Murdoch a été marié quatre fois.

En 1956, il épouse Patricia Booker, une hôtesse de l'air originaire de Melbourne avec qui il a eu son premier enfant, une fille appelée Prudence, née en 1958. Rupert Murdoch et Patricia ont divorcé en 1967.

En 1967, Murdoch a épousé Anna Torv, une journaliste d'origine écossaise travaillant pour son journal The Daily Telegraph de Sydney (à ne pas confondre avec l'actrice Anna Torv de la série Fringe ; l'actrice est sa nièce). Au cours de son mariage avec Anna Torv, une catholique, Murdoch a été fait chevalier de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, une décoration accordée par le Vatican. Torv et Murdoch ont eu trois enfants : Elisabeth Murdoch (née à Sydney le ), Lachlan Murdoch (né à Londres le ) et James Murdoch (né à Wimbledon le ). Anna et Rupert ont divorcé en . Anna Murdoch a remporté le prix du plus grand divorce de l'histoire en recevant 1,7 milliard de dollars d'actifs et 110 millions de dollars en liquidités[2].

Dix-sept jours après son divorce, le , Murdoch, alors âgé de 68 ans, épouse Wendi Deng, d'origine chinoise et âgée de 30 ans, récemment diplômée de la Yale School of Management, nouvelle vice-présidente de STAR TV, et ex-volleyballeuse de haut vol[3]. Rupert Murdoch a deux enfants avec Deng : Grace Helen (née à New York le ) et Chloé (née à New York le ). Le , Rupert Murdoch demande le divorce d'avec Wendi Deng, affirmant que « leur relation s'est brisée de manière irrévocable ».

Le , il épouse Jerry Hall à Spencer House[4]. Ils divorcent en 2022[5].

Enfants

Il a eu plusieurs enfants issus de ses différents mariages.

  • De son mariage avec Patricia :
    • Prudence Murdoch : née en 1958.
  • De son mariage avec Anna :
    • Lachlan Murdoch : né en 1971. PDG de Fox Corporation et co-président de News Corp International.
    • Elisabeth Murdoch : née en 1968. Cadre dirigeante du groupe. Elle a été décrite par un documentaire de la BBC comme stratège, charmante, et sans doute la plus proche de son père[6].
    • James Murdoch : né en 1972. Il investit dans l'industrie musicale aux États-Unis avant de diriger l'empire britannique de Rupert Murdoch. Il aurait été le favori jusqu'en juillet 2011, lorsque éclate le scandale News of the World.
  • De son mariage avec Wendi :
    • Grace Murdoch : née en 2001.
    • Chloe Murdoch : née en 2003.

Depuis plusieurs années, de nombreux observateurs spéculent sur les rivalités au sein de la famille pour être le successeur[7],[8].

Formation[modifier | modifier le code]

Élevé dans la foi protestante[9], Rupert Murdoch étudie à la Geelong Grammar School (en)[1], où il participe à l'édition du journal de l'école, The Corian.

En 1949, il est admis au Worcester College de l'université d'Oxford, où il étudie le programme philosophie, politique et économie.

Carrière[modifier | modifier le code]

Il commence sa carrière en Australie à Melbourne, où il prend la tête d'un groupe de presse familial construit dans les années 1920 autour du Sydney Morning Herald, les deux principaux quotidiens du pays. Son père Sir Keith Murdoch était l'ami personnel du Premier ministre australien Joseph Lyons et le soutien de son prédécesseur, Billy Hughes.

Le groupe a toutefois énormément perdu de son influence et est en grave crise financière. Rupert Murdoch contribue à le redresser et se lance dans une expansion très agressive, partout en Australie. Murdoch se lance ensuite à l'étranger en ciblant le Royaume-Uni.

En 1968, il achète le tabloïd britannique News of the World. En 1969, il achète le tabloïd The Sun, et le redresse, pour en faire progressivement le journal le plus lu du pays.

En 1981, il achète le prestigieux journal The Times. Lors de son rachat, il bénéficie d'un soutien secret de Margaret Thatcher[10]. Il promet que ses médias feront campagne pour elle et en contrepartie, Margaret Thatcher le laisse échapper aux lois sur les monopoles[10]. Cet accord reste secret pendant presque 40 ans[10].

En 1983, il se rend aux États-Unis et achète le Chicago Sun-Times[11].

En 1985, Rupert Murdoch devient citoyen des États-Unis pour des raisons d'affaires (la législation de l'époque ne permettait qu'aux citoyens américains de posséder une station de télévision).

Le président Ronald Reagan rencontre Rupert Murdoch et l'avocat Roy Cohn à la Maison-Blanche en 1983.

Murdoch continue progressivement de développer son empire médiatique en Australie dans les années 1980 et 1990, en achetant des dizaines de journaux.

En 1988, Rupert Murdoch rachète le New York Post.

Il investit dans de nombreux sites Internet, dont notamment IGN, AskMen et Rotten Tomatoes.

Rupert Murdoch acquiert le réseau social MySpace durant l'été 2005 contre 580 millions de dollars. Après avoir été estimé jusqu'à 12,3 milliards de dollars d'après L'Expansion[12], le site accuse ensuite une forte diminution de fréquentation et de sa valeur ; en 2011, MySpace a été vendu 35 millions de dollars à Specific Media[13].

Fin , Rupert Murdoch rachète le Wall Street Journal pour 5 milliards de dollars US.

Des critiques ont été émises à propos de la ligne éditoriale des journaux et des chaînes de télévision du groupe, jugée conservatrice voire ultra-conservatrice. Le professeur Roy Greenslade, dans une tribune du journal anglais Guardian Unlimited, souligna que les 175 journaux de Murdoch à travers le monde avaient soutenu l'invasion de l'Irak par les États-Unis avec des titres provocateurs. Le Sun proféra même des injures contre le président Chirac, qui y est traité de « ver »[14].

Aux États-Unis, Murdoch est proche du Parti républicain et des néo-conservateurs. Au Royaume-Uni, Murdoch a soutenu le Parti travailliste de Tony Blair durant une dizaine d'années[15], avant de se rallier à David Cameron en 2010[16].

Murdoch est également un eurosceptique convaincu. En Irlande, sa presse locale a mené une campagne contre le traité de Lisbonne[17], alors qu'en Grande-Bretagne, elle réclame à Gordon Brown un référendum aux côtés de l'opposition conservatrice[18].

Impliqué dans plusieurs œuvres caritatives, il est récipiendaire de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand[19].

En , la mise en cause de News of the World, filiale de son groupe, News Corporation, dans un scandale d'écoutes téléphoniques de personnalités britanniques a abouti à l'ouverture d'investigations par la police et le gouvernement britanniques, ainsi que le FBI[20],[21].

En , il est désigné dans le rapport publié par Reporters sans Frontières (RSF) Les oligarques font leur shopping comme l'archétype du magnat de la presse « parti de rien […] pour conquérir le monde ». Sa sympathie pour les conservateurs est soulignée et liée à la ligne éditoriale de son groupe de presse, notamment en Australie, où il est en « situation de monopole médiatique »[22].

À la suite d'un reportage controversé de l'animateur Tucker Carlson diffusé en mars 2023, Fox News est menacée de poursuites judiciaires, un reportage également critiqué par le président des États-Unis, Joe Biden [23],[24],[25].

Influence[modifier | modifier le code]

En Australie, il est accusé de détenir les deux-tiers de la presse et de propager le climato-scepticisme[26],[27].

Au Royaume-Uni, il a activement encouragé la guerre en Irak ou encore le Brexit[28].

Murdoch a fréquenté personnellement et soutenu de nombreux dirigeants politiques comme Ronald Reagan, Margaret Thatcher, Nigel Farage, David Cameron, Boris Johnson, Tony Blair ou Donald Trump.

Plusieurs anciens Premiers ministres, comme John Major, Malcom Turnbull ou Kevin Rudd témoignent avoir subi des pressions ou du chantage de la part du milliardaire[29],[30],[31].

Rupert Murdoch a été décrit par le New York Times comme l'homme qui a déstabilisé la démocratie sur trois continents différents[32].

Le président américain Joe Biden l'a qualifié d'individu le plus dangereux au monde[33].

Fortune[modifier | modifier le code]

En 2014, la fortune de Rupert Murdoch est estimée à 13,7 milliards de dollars USD[34].

Médias[modifier | modifier le code]

Rupert Murdoch au Forum économique mondial de Davos, en 2007.

Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

News UK[modifier | modifier le code]

Radios[modifier | modifier le code]

Australie[modifier | modifier le code]

News Corp Australia[modifier | modifier le code]

National[modifier | modifier le code]
Nouvelles Galles du Sud[modifier | modifier le code]
Victoria[modifier | modifier le code]
Queensland[modifier | modifier le code]
South Australia[modifier | modifier le code]
  • The Advertiser
  • Sunday Mail
Tasmania[modifier | modifier le code]
  • The Mercury
  • The Sunday Tasmanian
Northern Territory[modifier | modifier le code]
  • Northern Territory News
  • Sunday Territorian
Sydney[modifier | modifier le code]
  • Blacktown Advocate
  • Canterbury-Bankstown Express
  • Centr coast Express Advocate
  • Fairfield Advance
  • Hills Shire Time
  • Horsnby and Upper North Shore
  • Inner West Courier
  • Liverpool Leader
  • Macarthur Chronicle
  • Northshore Times
  • The Mosman Daily
  • Village Voice Balmain
Melbourne[modifier | modifier le code]
  • Bayside Leade
  • Berwick/Pakenham Cardinia Leader
  • Diamond Valley Leader
  • Free Press Leader
  • Heidelberg Leader
  • Hobsons Bay Leader
  • Moreland Leader
  • Mornington Peninsula Leader
  • Northcote Leader
  • Hume Leader
  • Knox Leader
  • Lilydale & Yarra Valley Leader
  • Manningham Leader
  • Maribyrnong Leader
  • Maroondah Leader
  • Melbourne Leader
  • Melton/Moorabool Leader
  • Moonee Valley Leader
  • Moorabbin Kingston/Moorabbin Glen Eira Leader
  • Mordialloc Chelsea Leader
  • Moreland Leader
  • Mornington Peninsula Leader
  • Northcote Leader
  • Preston Leader
  • Progress Leader
  • Stonnington Leader
  • Sunbury/Macedon Ranges Leader
  • Waverley/Oakleigh Monash Leader
  • Whitehorse Leader
  • Whittlesea Leader
  • Wyndham Leader
Brisbane[modifier | modifier le code]
  • lbert & Logan News (Fri)
  • Albert & Logan News (Wed)
  • Caboolture Shire Herald
  • Caloundra Journal
  • City News
  • City North News
  • City South News
  • Ipswich News
  • Logan West Leader
  • Maroochy Journal
  • North-West News
  • Northern Times
  • Northside Chronicle
  • Pine Rivers Press/North Lakes Times
  • Redcliffe and Bayside Herald
  • South-East Advertiser
  • South-West News/Springfield News
  • Southern Star
  • The Noosa Journal
  • weekender
  • Westside News
  • Wynnum Herald
  • Weekender Essential Sunshine Coast
Adelaide[modifier | modifier le code]
  • Adelaide Matters
  • City Messenger
  • City North Messenger
  • East Torrens Messenger
  • Eastern Courier Messenger
  • Guardian Messenger
  • Hills & Valley Messenger
  • Leader Messenger
  • News Review Messenger
  • Portside Messenger
  • Southern Times Messenger
  • Weekly Times Messenger
Perth[modifier | modifier le code]
  • Advocate
  • Canning Times
  • Comment News
  • Eastern Reporter
  • Fremantle-Cockburn Gazette
  • Guardian Express
  • Hills-Avon Valley Gazette
  • Joondalup-Wanneroo Times
  • Mandurah Coastal / Pinjarra Murray Times
  • Melville Times
  • Midland-Kalamunda Reporter
  • North Coast Times
  • Southern Gazette
  • Stirling Times
  • Weekend-Kwinana Courier
  • Weekender
  • Western Suburbs Weekly
Darwin[modifier | modifier le code]
  • Darwin Sun
  • Litchfield Sun
  • Palmerston Sun

États-Unis[modifier | modifier le code]

  • HarperCollins
  • Dow Jones
  • Barron's
  • MarketWatch
  • Factiva
  • Fox Corporation
  • Fox News
  • realtor.com
  • Move (80%)
  • The Wall Street Journal
  • New York Post

Autres entreprises[modifier | modifier le code]

Dans la culture populaire[modifier | modifier le code]

Dans l'épisode Le Canard déchaîné (épisode 22 de la saison 15) de la série Les Simpson, Monsieur Burns, après avoir échoué à posséder l'empire médiatique de Springfield, dit qu'il est impossible d'en posséder tous les médias, à moins de s'appeler Rupert Murdoch, à la suite de quoi il précise : « c'est un être magnifique », ce à quoi Smithers répond « je suis d'accord », en souriant largement. Les répliques sont faussement hypocrites, il s'agit d'ironie, les Simpsons étant diffusés sur la chaîne de télévision Fox possédée par Rupert Murdoch.

Dans Les Prisonniers du stade (épisode 12 de la saison 10), Homer Simpson et ses amis lui volent sa loge VIP au stade de football et il fait alors apparaître des policiers en jetant de la poudre par terre, afin de chasser les importuns.

Dans l'épisode 15 de la troisième saison de la série The Big Bang Theory, Sheldon Cooper place Rupert Murdoch parmi les traîtres (au même titre que Dark Vador, Judas, Benedict Arnold…), celui-ci ayant annulé la programmation de Firefly sur la Fox. Aussi, dans le mot du générique final de l'épisode 17 de la première saison de cette même série, une mention à Rupert Murdoch indique « […] If, However, it snarls with fear of unknown, fear of losing what you have or of not getting what you want, then it just might be the voice of Rupert Murdoch -- or a reasonable facsimile. ». On en déduit que la voix du cœur indique dans quelle catégorie de personne se trouve un individu lorsqu'il est apeuré. Si les voix du cœur sont cernées sur la peur de l'inconnu, de perdre ou de ne pas avoir ce que l'on souhaite, alors, l'individu a la voix de Rupert Murdoch dans son cœur, ou quelqu'un lui ressemblant. Au contraire si la voix du cœur raisonne d'amour et de compassion pour les autres ou le monde lui-même, alors la voix de « Dieu » (ou de quelqu'un inspirant cette même volonté) vient de notre cœur. Montrant ainsi par le biais de l'émotion la différence entre les individus matériels (Rupert Murdoch) et ceux altruistes.

Dans le film Le diable s'habille en Prada, Miranda Priestly évoque Rupert Murdoch : « Rupert Murdoch devrait m'envoyer un chèque, pour tous les journaux que je lui fais vendre. ».

Logan Roy, le personnage principal de la série Succession, lancée en 2018 par HBO, est librement inspiré de Rupert Murdoch[35],[36],[37].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) Jerome Tuccille, Rupert Murdoch : creator of a worldwide media empire, Beard Books, , 324 p. (lire en ligne), p. 9.
  2. (en) « Divorce Has a Hefty Price Tag for Celebrities, Billionaires » de Nathalie Tadena et Momo Zhou publié le 20 août 2009 sur le site d'ABC News.
  3. « VIDEO. Murdoch : Billions dollars Wendi », sur O (L'Obs), (consulté le ).
  4. « Rupert Murdoch marries Jerry Hall in London », sur yahoo.com.
  5. Éric Albert, « Rupert Murdoch, des héritiers qui se déchirent, une succession impossible », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  6. The Rise of the Murdoch Dynasty, BBC Two
  7. Eric Albert, « La revanche de James Murdoch, l’héritier au féroce appétit », sur Le Monde,
  8. « The Murdoch family trust: how the scions could battle for control », sur FT.com,
  9. (en) Neil Chenoweth, Rupert Murdoch : the untold story of the world's greatest media wizard, Crown Business, , 398 p., p. 357.
  10. a b et c Harold Evans, « How Thatcher and Murdoch made their secret deal », sur The Guardian, tue 28 apr 2015
  11. Jonathan Friendly, « MURDOCH BUYS CHICAGO SUN-TIMES », sur New York Times,
  12. « Rupert Murdoch échangerait MySpace contre 25 % de Yahoo ».
  13. « MySpace bradé 35 millions de dollars à Specific Media »
  14. « Their master's voice », article du Guardian Unlimited.
  15. Murdoch, le Tycoon des médias, sur lesechos.fr.
  16. Des interviews pièges déstabilisent la coalition britannique sur lemonde.fr du 22 décembre 2010.
  17. « L'euroscepticisme irlandais nourri par la presse de Murdoch », article du Monde.fr, 13 juin 2008.
  18. « La tentation du non », article de L'Express.fr, 9 juin 2008.
  19. « Rupert Murdoch's Papal Award Raises Protests », Catholic World News.
  20. (en) « Phone hacking: David Cameron announces terms of phone-hacking inquiry », The Telegraph, Londres,‎ (lire en ligne).
  21. (en) Ed Pilkington, « FBI to investigate News Corporation over 9/11 hacking allegations », The Guardian,‎ (lire en ligne).
  22. « Médias : les Oligarques font leur shopping » (consulté le ).
  23. Julien Gester, « Etats-Unis : Fox News, le faux coûte que coûte », Libération,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  24. RFI, « États-Unis : charge de la Maison Blanche contre l'animateur de Fox News Tucker Carlson », sur rfi.fr, (consulté le ).
  25. Amaury de Rochegonde, « Chronique des médias - États-Unis : Rupert Murdoch et le mensonge du Capitole », sur rfi.fr, (consulté le ).
  26. Stéphane Baillargeon, « L’Australie brûle dans l’indifférence de ses journaux », sur Le Devoir,
  27. Marie-Morgane Le Moël, « L'Australie songe à limiter l'influence de Rupert Murdoch depuis le scandale des écoutes en Grande-Bretagne », sur Le Monde,
  28. Benjamin Puech, « Rupert Murdoch, Arte dans le secret d’un empire », sur Le Figaro,
  29. David Weisbloom, « Murdoch told Major ‘change your policies on Europe’ », sur Channel4.com,
  30. Daniel Hurst, « Kevin Rudd says Australian politicians ‘frightened’ of ‘Murdoch media beast’ in Senate inquiry », sur The Guardian,
  31. Lisa Visentin, « ‘Utterly unaccountable’: Turnbull labels News Corp the most powerful political actor in Australia », sur Sydney Morning Herald,
  32. « Rupert Murdoch, Fox News, and Donald Trump », sur New York Times,
  33. The Guardian, « Biden finds Murdoch ‘most dangerous man in the world’, new book says », sur The Guardian, mon 4 apr 2022
  34. #82 Rupert Murdoch & family, Forbes.
  35. Margaret Hartmann, « How the Rupert Murdoch Family Drama Inspired Succession », sur How the Rupert Murdoch Family Drama Inspired Succession,
  36. « La série "Succession" présente des ressemblances très frappantes avec la vie du milliardaire Rupert Murdoch », sur RTBF.be,
  37. Kurt Andersen, « ‘Succession’ Nailed the Unreal Way We Live Now », sur New York Times,

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • David Colon, Rupert Murdoch: l'empereur des médias qui manipule le monde, Paris, Tallandier, 2022, 295 p. (ISBN 979-10-210-5224-6)
  • (en) Michael Wolff, The Man Who Owns the News: Inside the Secret World of Rupert Murdoch, Broadway Books, 2008, 446 p.
  • (en) Neil Chenowethn, Rupert Murdoch: The Untold Story of the World's Greatest Media Wizard, Crown Business 2002, 416 p.
  • (en) Sarah Elisson, War at the Wall Street journal : inside the struggle to control an American business empire, Houghton Mifflin Harcourt, 2010

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]