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Joseph JOFFRE
Joseph JOFFRE
(Joseph Jacques Césaire JOFFRE)


  • Né le 14 janvier 1852 - Rivesaltes, Pyrénées-Orientales, Occitanie, France
  • Décédé le 3 janvier 1931 - Clinique des frères de Saint-Jean-de-Dieu au 19 rue Oudinot, - Paris, 75007, Île-de-France, France,à l'âge de 78 ans
  • Inhumé le 7 janvier 1931 - La Châtaigneraie, - Louveciennes, 78430, Yvelines, Île-de-France, France
  • Maréchal de France, Membre de l'Académie française (n° 525, 1918),
    Chef d'État-Major général de l'Armée (1911-1916)
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 Parents

 Union(s) et enfant(s)

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 Notes

Notes individuelles

 1 - Biographie

Joseph Joffre, né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes et mort le 3 janvier 1931 dans le 7e arrondissement de Paris, est un militaire français. Il s'illustre notamment comme généralissime et maréchal de France durant la Première Guerre mondiale.

Après un début de carrière marqué par les expéditions coloniales (Tonkin, Soudan français et Madagascar), il est nommé en 1911 chef d'État-Major général de l'Armée, notamment parce qu'il est un spécialiste de la logistique ferroviaire. En 1914, en tant que commandant en chef des armées, il met en œuvre le plan de mobilisation et de concentration (le plan XVII), puis fait appliquer le principe de l'« offensive à outrance », alors enseigné à l'École de guerre, qui se révèle extrêmement coûteux en vies humaines, notamment lors de la bataille des Frontières. Il est ensuite l'artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne.

Confronté à l'impasse de la guerre de position sur le front Ouest, ses offensives de l'hiver 1914-1915 (en Champagne), du printemps 1915 (en Artois), de l'automne 1915 (de nouveau en Artois et en Champagne) et de l'été 1916 (sur la Somme) échouent. Fin 1916, il est élevé à la dignité de maréchal de France et remplacé par le général Nivelle. En avril 1917, il conduit avec Viviani la délégation française envoyée aux États-Unis et convainc le président Wilson de hâter la formation et l'envoi de l'armée américaine sur le front. En 1918, il est élu à l'Académie française.

 1.1 - Fin de vie

Il rentre en France, au début de l'année 1922 pour terminer tranquillement une vie bien chargée, âgé de 70 ans. Joffre achète avec sa femme et sa fille une châtaigneraie à Louveciennes (à l'ouest de Paris), où il fait bâtir un bungalow – type colonial – précédé d'une façade aux colonnades blanches à la manière du Mount Vernon de Washington. En 1928, il termine ses Mémoires entamés huit ans auparavant, où il raconte ses responsabilités de 1910 à 1917 en deux tomes qui seront édités post mortem selon sa volonté. C'est à cette époque qu'il perd deux de ses amis : le maréchal Fayolle le 27 août 1928 et le maréchal Foch le 20 mars 1929. Il vit pendant 10 ans au 115 rue de la Pompe (16e arrondissement de Paris). Une plaque lui rend hommage.

Le 21 juin 1930, le maréchal Joffre fait sa dernière apparition publique à l'occasion de l'inauguration de sa statue à Chantilly, où il a tenu son QG pendant la Grande Guerre. Il est très affaibli, car depuis plusieurs mois il a une artérite des membres inférieurs et peine à se déplacer. Le 19 décembre, d'atroces douleurs aux jambes l'emmènent à l'hôpital : les médecins, René Leriche et René Fontaine, doivent l'amputer de la jambe droite. Quelques jours plus tard il tombe dans le coma. Le 3 janvier 1931 à 8 h 0, il aurait prononcé ces derniers mots : « J'ai beaucoup aimé ma femme » et « je n'ai jamais fait de mal à personne », puis il s'éteint à 8 h 23 à 78 ans à la clinique des frères de Saint-Jean-de-Dieu au 19 rue Oudinot dans le 7e arrondissement de Paris.

Des obsèques nationales lui sont organisées le 7 janvier et la foule pleure leur héros de la bataille de la Marne. Le service religieux est célébré en l'église Saint-Louis-des-Invalides à Paris, ainsi qu'en l'église Saint-Louis-des-Français de Rome et en l'église Saint-Polycarpe de Smyrne. Quelques jours plus tard, le 11, le Parlement vote une loi déclarant que « Joseph Joffre, maréchal de France, a bien mérité de la Patrie. » Il repose dans un mausolée situé dans sa propriété de La Châtaigneraie à Louveciennes (Yvelines). Henriette Joffre meurt en 1956 à 92 ans.

 Sources

  • Personne, famille 1, famille 2, famille 3: CdBdM 2021

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

Joseph-Gilles JOFFRE 1770 Marie-Thérèse VIDAL 1780 Jacques PLAS 1782 Marguerite MERCADER 1782
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Gilles JOFFRE 1822-1899 Catherine PLAS 1822-1899
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portrait
Joseph JOFFRE 1852-1931