Capdenac-Gare

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Capdenac-Gare
Capdenac-Gare
Eglise Notre-dame des Voyageurs.
Blason de Capdenac-Gare
Blason
Capdenac-Gare
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Stéphane Bérard
2020-2026
Code postal 12700
Code commune 12052
Démographie
Gentilé Capdenacois
Population
municipale
4 407 hab. (2021 en diminution de 2,97 % par rapport à 2015)
Densité 218 hab./km2
Population
agglomération
17 791 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 21″ nord, 2° 04′ 54″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 421 m
Superficie 20,21 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Capdenac-Gare
(ville isolée)
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lot et Montbazinois
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.capdenacgare.fr

Capdenac-Gare est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. C'est la neuvième ville du département.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Saint-Julien d'Empare, inscrit en 1977.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Capdenac-Gare se trouve au nord-ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Bas Quercy[1].

Ses principales caractéristiques sont d'être une ville récente (elle a fêté ses 150 ans en 2011) et de s'être développée à partir d'une gare ferroviaire.

Selon certaines études, Capdenac-Gare devrait être dans le département du Lot comme sa ville jumelle Capdenac. La question de son rattachement au département voisin fait l'objet de débats depuis plusieurs années[2].

Elle se situe à 59 km par la route[Note 1] de Rodez[3], préfecture du département, à 30 km de Villefranche-de-Rouergue[4], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Figeac[I 1].

Les communes les plus proches sont[5],[Note 2] : Capdenac (46) (1,4 km), Sonnac (3,4 km), Lunan (46) (3,5 km), Lentillac-Saint-Blaise (46) (3,9 km), Cuzac (46) (5,0 km), Saint-Félix (46) (5,3 km), Felzins (46) (5,6 km), Figeac (46) (5,7 km), Naussac (5,8 km).

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le Lot, la Diège, le ruisseau de Cerles, le ruisseau de la Garrigue et par divers petits cours d'eau[6].

Le Lot prend sa source à 1 272 m d’altitude sur la montagne du Goulet (nord du mont Lozère), dans la commune de Cubières (48), et se jette dans la Garonne à Monheurt (47), après avoir parcouru 484 km et traversé 129 communes[7].

La Diège, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve et se jette dans le Lot à Capdenac-Gare, après avoir arrosé 5 communes[8].

La ville de Capdenac-Gare se situe au creux d'un large méandre du Lot, en rive gauche à sa confluence avec la Diège, à la limite entre les départements de l'Aveyron et du Lot.

Cette situation dans la plaine alluviale lui donne un relief local faible, dans une zone où le Lot est parfois fortement encaissé dans sa vallée et où cette topographie peut entraîner des contraintes fortes sur le passage des voies de communications.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 939 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Constant-Fournoulès à 17 km à vol d'oiseau[11], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 058,4 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Capdenac-Gare comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[15], le « Cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont 8 dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[16] , et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15], la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), qui s'étend sur 36 communes dont 8 dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Capdenac-Gare est une commune rurale[Note 5],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Capdenac-Gare, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 4 407 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Capdenac-Gare.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,1 %), prairies (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), zones urbanisées (13,9 %), terres arables (3,5 %), eaux continentales (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[20].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Pays de Figeac, dont le périmètre a été fixé en 2011, le projet a été arrêté par le comité syndical en 2015 puis, après enquête en mai 2016, approuvé en décembre 2016. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Figeac - Quercy - Vallée de la Dordogne, qui associe deux communautés de communes, notamment la communauté de communes Grand-Figeac (nouvelle), dont la commune est membre[21].

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[22].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le tissu urbain du centre-ville, accolé au sud de la gare, est organisé selon un plan quadrillé. L'urbanisation plus récente, vers le sud et vers l'est, est principalement constituée de lotissements allant jusqu'aux coteaux fermant le bord sud de la plaine alluviale.

La commune de Capdenac-Gare se compose de :

  • La ville de Capdenac-Gare
  • Le village de Saint-Julien-d'Empare
  • Le village de Livinhac-le-Bas

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La gare se trouve dans la zone nord-ouest du méandre, assurant la jonction entre la ligne de chemin de fer qui suit la vallée du Lot vers l'ouest, celle partant vers l'est et traversant la rivière peu après la gare, et enfin celle partant vers le sud. Le réseau routier principal suit, assez logiquement, les voies de chemin de fer pour relier la commune aux autres villes des alentours.

Transports[modifier | modifier le code]

Axes ferroviaires[modifier | modifier le code]

La gare de Capdenac en activité depuis 1858, fut la plus importante gare de triage d'Aveyron et le premier employeur de la commune durant près d'un siècle, placée au centre d'une étoile ferroviaire à cinq branches, avec au départ de Capdenac les lignes :

Axes routiers[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Capdenac-Gare est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Capdenac-Gare.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Lot et de la Diège. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Lot aval 3[26], approuvé le 6 avril 2010[27].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[23]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[30]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[31].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[33].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Capdenac-Gare est classée à risque faible[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

La commune de Capdenac-Gare (autrefois commune de Saint-Julien-d'Empare) est peuplée au moins depuis l'époque gallo-romaine. En effet, des travaux dans l'axe de l'actuelle rue Carnot, en 1947, ont permis la mise au jour d'une portion de voie en dalles de granit, solidement bâtie à travers la plaine, attribuable à l'époque romaine (la mairie conserve des pavés extraits de celle-ci). Cette Voie romaine, venant probablement de Rodez, est orientée vers la rivière du Lot : son tracé suppose un passage à gué à l'extrémité de celle-ci.

Après la Révolution[modifier | modifier le code]

Création en 1790 des communes de Saint-Julien-d'Empare et de Livinhac-le-Bas, dans le canton d'Asprières. En 1834 la commune de Saint-Julien-d'Empare absorbe la commune de Livinhac-le-Bas.

XIXe siècle : création de la gare[modifier | modifier le code]

Le pont ferroviaire Eiffel

L'histoire de la ville de Capdenac-Gare débute en 1857, alors que Charles de Morny, demi-frère de l'empereur Napoléon III qui règne alors à Paris, est à la tête de la Compagnie d'Orléans. C'est lui qui est à l'origine du tracé de la voie ferrée et du choix du lieu-dit Tinsou dans la commune de Saint-Julien-d'Empare pour l'emplacement de la gare. La compagnie d'Orléans authentifiera la dénomination de Capdenac-Gare en 1859. Le chemin de fer s'arrêtait, au départ, à Tinsou. Venant de Montauban, destiné à atteindre par le Lot le bassin houiller d'Aubin-Decazeville en pleine expansion, ce trafic s'opère alors par la rivière. Le charbon partait du bassin par le Lot puis était amené jusqu'à Tinsou et partait ensuite en train vers Montauban. Le développement de la station va être extrêmement rapide. En 1859, la gare occupe déjà 13 hectares. C'est en 1860 que la ligne ira jusqu'à Rodez. En 1862, est inaugurée la ligne de Brive à Capdenac, après que Gustave Eiffel a conçu le pont métallique qui enjambe le Lot.

Expansion de la nouvelle ville[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-des-Voyageurs sous la neige le 29 janvier 2006

Parallèlement au développement de la gare, la nouvelle cité de Capdenac-Gare se construit. Ainsi, la nouvelle ville est bâtie sur une vaste plaine, qui parait quasi-désertique, à l'exception de quelques hameaux isolés (tels la Boudonie ou la Peyrade), sur le cadastre dit napoléonien. Pour loger les employés et les ouvriers qui travaillaient à la gare, la Compagnie d'Orléans fait construire une série de bâtiments baptisés "casernes". En 1866, la commune de Saint-Julien-d'Empare atteint les 2 092 habitants. La même année, la maison Raynal et Roquelaure va faire ses premiers pas. M. Raynal était devenu le gérant du Buffet de la Gare et M. Roquelaure était son chef cuisinier. La renommée de leurs produits dépassa rapidement les limites de la commune. C'est alors qu'est créée l'entreprise de conserves alimentaires que nous connaissons toujours aujourd’hui. Le 7 juillet 1884, le conseil municipal demande que le chef-lieu de la commune soit transféré à Capdenac. Le 16 mai 1891, Capdenac est érigé en commune[35]. La commune de Saint-Julien-d'Empare devient alors Capdenac-Gare. La commune continue son développement et en 1899, on construit une église plus importante que la précédente : Notre-Dame-des-Voyageurs.

XXe et XXIe siècles[modifier | modifier le code]

Capdenac-Gare devient chef-lieu du canton en 1922 aux dépens d'Asprières. Durant l'occupation allemande lors de la Seconde Guerre mondiale, Capdenac est un foyer de résistance. Des enfants juifs sont cachés par deux sœurs, Denise Bergon et Marguerite Roques, dans le couvent Notre-Dame-de-Massip à Capdenac[36],[37]. De nombreuses actions de résistance ont eu lieu. Un groupe important du maquis de Montmurat fait sauter l'aiguillage du Soulier, immobilisant ainsi les convois nazis en direction de Paris. Ce groupe est intercepté par les Allemands et exécuté.

En 2007, soit 150 ans après sa création, Capdenac-Gare est une ville jeune et comptait en 2021 en diminution de 2,97 % par rapport à 2015 4407 habitants.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Capdenac-Gare est membre de la communauté de communes Grand-Figeac[I 8], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Figeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Montbazinois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 8], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Capdenac-Gare, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[40], pour un mandat de six ans renouvelable[41]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 27[42]. Les vingt-sept conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 29,62 %, issus de la seule liste candidate, conduite par Stéphane Berard[43]. Stéphane Berard, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [44].

Les neuf sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Grand-Figeac sont alloués à la liste de Stéphane Berard[43].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[45]
Période Identité Étiquette Qualité
1891 1892 Alexis Cambon    
1892 1894 Elie Caville    
1894 1912 François Andrieu    
1912 1919 Jean Bonnet    
1919 1924 Arthur Blaviel    
1925 1929 Jean Bonnet    
1929 1941 Maurice Gres SFIO Ajusteur
Conseiller général
1941 1944 J. P. E. Cambon    
1944 1965 Maurice Grès SFIO Conseiller général
1965 1977 René Ferrie PS  
1977 1989 Pierre Riols PS Conseiller général
mars 1989 2008 Claude Delhon PS  
mars 2008 En cours Stéphane Bérard[46],[47] PS Conseiller régional
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Cette ville est jumelée à Hudești en Roumanie depuis 1993.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

En 2021, la commune comptait 4 407 habitants[Note 7], en diminution de 2,97 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8639451 4891 4711 5041 4861 4811 4661 710
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7381 8862 0922 6142 8962 9653 3983 2653 542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5663 7534 3484 4875 2245 5195 4315 4175 435
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5 5205 9375 8405 3654 8184 5874 6014 6734 492
2014 2019 2021 - - - - - -
4 5584 4194 407------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'agglomération de Capdenac regroupe Capdenac-gare et la municipalité de Capdenac dans le Lot.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Capdenac-Gare possède quatre écoles : les écoles maternelles publiques Beau Soleil et Chantefable, l'école élémentaire publique Pierre Riols et l'école maternelle et primaire privée Jeanne d'Arc. Il y a aussi deux collèges : le collège public Voltaire et le collège privé Saint-Louis. Capdenac-Gare a adopté le dispositif passerelle dans une école maternelle et dispose d’une crèche : La Farand'Olt.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Capdenac-gare dispose de nombreux atouts dans le domaine culturel : d'abord un cinéma, Atmosphère, à la programmation variée. Ensuite des associations, dont la principale Derrière Le Hublot[52], spécialisée dans les arts de la rue, est reconnue comme Scène conventionnée d'intérêt national -art en territoire[53]. Les Nuits & les Jours de Querbes, association spécialisée dans la littérature et le jazz contemporains, née à Asprières, et transférée à Capdenac en 2020. Ces deux associations proposent un festival, l'un à la Pentecôte, l'autre début août et une Saison. On doit aussi citer Courants d'art, pour l'art contemporain, Cap'Musique pour l'apprentissage musical, le Caveau de la gare

Santé[modifier | modifier le code]

La ville de Capdenac-Gare dispose d’une maison de santé pluriprofessionnelle nommée Madeleine Brès.

Sports[modifier | modifier le code]

On trouve à Capdenac-Gare de nombreux équipements. Il y a trois gymnases, dont un exclusivement pour les sports de raquettes, une piscine, un terrain de football et de rugby, un mini skate-park, trois terrains de tennis, un terrain de minigolf et des espaces pour jouer à la pétanque. On trouve aussi un parc équipé d'installations pour les enfants, ainsi que des circuits pour la marche et le vélo. Capdenac-Gare possède de nombreux clubs sportifs : football, rugby, tennis, vélo ou même tir.

Médias[modifier | modifier le code]

Trois journaux quotidiens couvrent l'actualité locale : Centre Presse (Aveyron), La Dépêche du Midi et Midi libre.

Cultes[modifier | modifier le code]

Deux églises sont recensées : l’église Notre-Dame-des-voyageurs, place du 14 juillet, à Capdenac-Gare, et l'église Saint-Julien de Saint-Julien-d’Empare.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 162 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 4 340 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 030 [I 9] (20 640  dans le département[I 10]). 42 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (% dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 7,1 % 8,9 % 9,2 %
Département[I 12] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 516 personnes, parmi lesquelles on compte 76,8 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 23,2 % d'inactifs[Note 10],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 14]. Elle compte 2 171 emplois en 2018, contre 2 122 en 2013 et 2 186 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 724, soit un indicateur de concentration d'emploi de 126 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,6 %[I 15].

Sur ces 1 724 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 835 travaillent dans la commune, soit 48 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 82,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 13,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

364 établissements[Note 11] sont implantés à Capdenac-Gare au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 18].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 364 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
84 23,1 % (17,7 %)
Construction 45 12,4 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
89 24,5 % (27,5 %)
Information et communication 5 1,4 % (1,5 %)
Activités financières et d'assurance 13 3,6 % (3,4 %)
Activités immobilières 12 3,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
37 10,2 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
52 14,3 % (12,7 %)
Autres activités de services 27 7,4 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,5 % du nombre total d'établissements de la commune (89 sur les 364 entreprises implantées à Capdenac-Gare), contre 27,5 % au niveau départemental[I 19].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[54] :

  • Laboratoire Nutergia, fabrication d'aliments homogénéisés et diététiques (54 129 k€)
  • Fives Machining, fabrication de machines-outils pour le travail des métaux (38 581 k€)
  • Entreprise Capraro Et Compagnie, construction de réseaux pour fluides (19 498 k€)
  • Ulene, supermarchés (16 094 k€)
  • Capdenacoise D'abattage Et De Prestations De Services - Caps, transformation et conservation de la viande de boucherie (1 877 k€)

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La commune possède un tissu industriel varié avec plusieurs secteurs d’activités, parmi les principales entreprises industrielles, on peut citer :

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Bas Quercy, une petite région agricole occupant l'extrême-ouest du département de l'Aveyron[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 56 31 21 11
SAU[Note 14] (ha) 902 808 790 424

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 56 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 31 en 2000 puis à 21 en 2010[57] et enfin à 11 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 80 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[58],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 902 ha en 1988 à 424 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 39 ha[57].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Saint-Julien d'Empare[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1977)[59]

Le château de Saint-Julien d'Empare fut construit au Moyen Âge. À l’origine, il était constitué d’un corps central entre quatre tours d’angle, dont trois subsistent aujourd’hui. Ces tours portent encore des éléments architecturaux qui rappellent leur caractère fortifié : corbeaux, meurtrières, etc. L’ouvrage était entouré de fossés aujourd’hui comblés, mais dont la trace subsiste encore à l’ouest du site.

Château de La Coste[modifier | modifier le code]

Ce château du XVIIe siècle désormais en ruine domine le petit hameau de La Coste.

Galerie Photos[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

La ville possède un cinéma et une médiathèque.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • randonnées dans les alentours de la ville. Il y a des circuits pour différents niveaux (des faciles et moins faciles...).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Capdenac-Gare

De gueules à un vieux pont de trois arches d'argent sur une onde du même, surmonté d'un léopard lionné d'or, chapé fascé d'or et de sinople de six pièces.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • De Saint-Julien-d'Empare à Capdenac : 1850-1950 : album souvenir / cartes postales réunies et présentées par l'Office de tourisme de Capdenac, Capdenac, Office de tourisme, , 104 p., ill., couv. ill. ; 30 cm (BNF 34977645)
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jacques Dournes), Capdenac : Los Aures, Asprièras, Balaguièr, Bolhac, Causse-e-Diège, Foissac, Naussac, Salas, Sonnac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Capdenac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 240 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-23-8, ISSN 1151-8375, BNF 36688708)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
  2. Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Métadonnées de la commune de Capdenac-Gare » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Capdenac-Gare » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Capdenac-Gare » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Capdenac-Gare » (consulté le ).
  19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  2. Laetitia Bertoni, « Une récente étude propose que Capdenac-Gare devienne Lotoise », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  3. « Distance entre "Capdenac-Gare" et "Rodez" », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Distance entre "Capdenac-Gare" et "Villefranche-de-Rouergue" », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Capdenac-Gare », sur villorama.com (consulté le ).
  6. « Fiche communale de Capdenac-Gare », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  7. Sandre, « le Lot ».
  8. Sandre, « la Diège ».
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. « Site internet de Derrière Le Hublot ».
  53. « Capdenac-Gare. Derrière le Hublot Scène conventionnée d’intérêt national », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne)
  54. « Entreprises à Capdenac-Gare », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  55. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  56. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  57. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Capdenac-Gare - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  58. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  59. Notice no PA00093988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture