Benoît Jacquot, Jacques Doillon, ... Avec #MeToo cinéma, la fin de la toute-puissance du réalisateur

#MeToo cinéma : la fin de la toute-puissance du réalisateur

Et si la vague #MeToo qui secoue le cinéma s’expliquait aussi par le fait qu’il s’est construit autour de la figure du réalisateur, vu comme un démiurge intouchable ?

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Temps de lecture : 8 min

C'est l'histoire d'une jeune fille rejetée par sa mère et ignorée par son père, qui vit dans l'attente éperdue qu'on pose un regard sur elle. À 19 ans, Maria Schneider est choisie par Bernardo Bertolucci pour Le Dernier Tango à Paris. Son personnage, Jeanne, y noue avec Paul, l'Américain en perdition interprété par un Marlon Brando presque quinquagénaire, une relation exclusivement sexuelle. Dans Maria, un beau film présenté au Festival dans la sélection Cannes Première, la réalisatrice Jessica Palud nous fait vivre ce tournage du point de vue de la jeune comédienne (incarnée par Anamaria Vartolomei, découverte dans L'Événement, d'Audrey Diwan). Tout bascule lorsque Bertolucci décide de modifier une scène sans la prévenir. Devant toute l'équipe, alors que la caméra tourne, Maria Schneid...

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Commentaires (2)

  • olirbef

    Ouais ! Bon soyons réaliste et honnêtes... Si c'est possible... Il n'y a pas que les réalisateurs qui ont, éventuellement un comportement plus que limite, il y a aussi "les petites mains" qui en profitent. N'est ce pas !

  • walch

    Quand on revoit « le dernier tango » ce qui frappe le plus, c’est la médiocrité de la prestation de cette comédienne, désolé de le dire. Ça s’entend dès la première réplique.