Comment ? Il y a la suite de « Monstres & Cie » qui vient de sortir sur Disney+ ? - Madmoizelle
Live now
Live now
Masquer
mosntres-et-compagnie-2
Culture

Comment ? Il y a la suite de « Monstres & Cie » qui vient de sortir sur Disney+ ?

Après le classique film d’animation Pixar Monstres & Cie, sorti il y a déjà plus de vingt (coucou, c’est le coup de vieux), la suite vient de débarquer sous forme de mini-série, sur la plateforme Disney+.

Ils sont de retour, ça y est ! Vingt après la fin d’un des meilleurs Pixar (en toute objectivité, bien sûr), les monstres de la nuit reprennent du service.

L’intrigue se déroule juste après la fin du film et de gros changements sont en cours à l’usine de traitement de cris d’enfants, puisque ceux-ci ne sont plus utilisés pour alimenter en énergie la ville de Monstropolis. Les pleurs et les cris des enfants ont été remplacés par leurs rires, bien plus efficaces.

Monstres & Cie au travail, une suite attendue

Mais alors, c’est quoi l’histoire de cette suite ? Qu’est-ce qu’il va se passer ? L’intrigue se déroulant presque immédiatement après que Bouh soit rentrée chez elle (après des adieux déchirants avec Sully, on en pleure encore), on pourra découvrir un tout nouveau personnage : Tylor Tuskmon.

Ce dernier veut réaliser son rêve de gosse : devenir une terreur, une vraie. Affecté provisoirement à MIFT, la Monstre Intervention Force Team, il découvre avec stupeur que la peur a été remplacée par le rire. Le choc.

 

Si l’on retrouve les héros du premier film dans cette nouvelle aventure, à savoir Bob et Sully, les monstres gentils, ne vous attendez pas à voir la petite Bouh débarquer : cette dernière ne fera pas partie du show, comme l’a annoncé le réalisateur, Bobs Gannaway, dans une conférence de presse relayée par BFMTV :

« Bouh n’apparaît pas dans la série. On en a parlé avec Pete Docter (le créateur du film, NDLR). On est tous les deux tombés d’accord pour dire que la relation entre Bouh et Sully est si précieuse et si merveilleuse que nous voulons que le monde ait sa propre interprétation de la manière dont cette relation continue, et ne pas la définir. C’est très important pour Pete. Ce n’est pas que nous n’aimons pas Bouh, mais nous voulons la préserver. »

Le début de la mini-série, déclinée en dix épisodes d’une demi-heure, est déjà disponible sur Disney+.

Découvrez Disney+ !

À lire aussi : Cette théorie sur la mort de Mufasa va vous retourner le cerveau


Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.

Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.

Les Commentaires

1
Avatar de Witch'Daughter
7 juillet 2021 à 12h07
Witch'Daughter
MAIS CEST GENIAL !!!
0
Réagir sur le forum

Plus de contenus Culture

Becoming_Karl_lagerfeld_Disney+_série
Culture

5 bonnes raisons de binge-watcher Becoming Karl Lagerfeld sur Disney +

Source : Carla Lubrano
Musique

Marre des festivals mainstream ? Voici 3 alternatives à taille humaine pour les fans de musique en plein air

Geek Girl
Mode

Cette série Netflix à binge-watcher en une soirée est numéro 3 en France et dans le monde

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-05T114051.004
Culture

Mike Flanagan a un plan précis pour rendre son remake de l’Exorciste atroce

1
Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-05T103404.624
Culture

« Ça ruinera ta carrière »: Chris Colfer a dû cacher son homosexualité pendant Glee

1
Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-04T123926.947
Séries

Les 5 séries les plus chaudes à voir sur Netflix, seule ou à plusieurs

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-03T152331.664
Culture

Raconter l’Algérie : l’évènement des Arabengers est de retour le 29 juin

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-03T114010.370
Culture

En plein concert, cette chanteuse gothique se fait mordre… par une chauve-souris

1
Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-06-03T102605.231
Culture

Ni una más : c’est quoi cette série adolescente sur le viol qui cartonne sur Netflix ?

Source : Instagram/Adèle
Culture

« T’es complètement con ? » : en plein concert, Adele recadre un spectateur LGBTphobe

La pop culture s'écrit au féminin