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AlfredSisley

 

Alfred Sisley, né le 30 octobre 1839 à Paris, et mort le 29 janvier 1899 à Moret-sur-Loing l'avait durablement ravi : « Cette phrase si gaie, si chantante, si entraînante, me disait-il, il me semble que, depuis la première fois que je l'ai entendue, elle fait partie de moi-même, tant elle répond à tout ce que j'ai toujours été au fond. Je la chante sans cesse. Je me la fredonne en travaillant. Elle ne m'a jamais abandonné... » .
En octobre 1862, il entre à l’atelier de Charles Gleyre, enseignant de l'École des beaux-arts de Paris . Il s'initie à la pratique du dessin et fait la connaissance de Renoir, Monet et Bazille. Très vite, ils se lient d'amitié. La conception du paysage de Gleyre diffère trop de la perception qu'il en a et les quatre amis quittent l’atelier du maître, dès mars 1863, pour travailler en plein air et planter leur chevalet dans la forêt de Fontainebleau, à Chailly-en-Bière, Barbizon, ou encore Marlotte, ce qui le rapproche du groupe de Marlotte . Cette première expérience de travail de groupe, renouvelée notamment en juillet 1865, soude les quatre artistes, les stimule et annonce, l’année même où s’ouvre le premier Salon des refusés, leur combat prochain pour la nouvelle peinture impressionniste. Sa peinture de paysages délicats est influencée par Jean-Baptiste Camille Corot et Charles-François Daubigny .
Il commence à peindre dans les environs de Paris . À partir de 1865, il va peindre les allées de châtaigniers à La Celle-Saint-Cloud avec Bazille, réalisant ses premières toiles sur le motif dans les bois de La Celle-Saint-Cloud . Frédéric Bazille fit son portrait lors de l'hiver 1867-1868 .
Il fait la connaissance de Marie-Louise Adélaïde-Eugénie Lescouezec , jeune parisienne originaire de Toul, dans la Meurthe, qu'il rencontre en 1866, une union qui mécontentera son père qui le déshérita . Renoir peignit en 1869 Les Fiancés - Le Ménage Sisley, supposé représenter Sisley et sa femme (Wallraf Richartz Museum, Cologne). Marie Bracquemond les peint en 1880 : La promenade en bateau. Sisley et sa femme et Sous la Lampe : le couple Sisley dînant chez les Bracquemond à Sèvres . De leur union naîtront trois enfants, Pierre (né en 1867, il devint décorateur et antiquaire, resté célibataire il est mort en 1929 à Paris ; il est aussi indiqué comme inventeur, et souhaitait se marier à Germaine Hoschedé, liée à la famille de Claude Monet qui s'y serait opposé en raison de sa profession ), Jeanne (née en 1869 qui deviendra Mme Diets, aussi écrit Dietsh, et fut peintre et aquarelliste, morte le 4 février 1919 à Paris) et Jacques né en 1871 mort la même année . En 1871, Sisley peignit ses deux enfants, dans un salon, réalisant peut-être son seul portrait . Installé avec sa compagne à Paris, il partage son temps entre le travail à l’atelier, les réunions informelles au café Guerbois, présidées par Édouard Manet, chef de file de la jeune génération de peintres, et où se retrouvaient des critiques ou des journalistes comme Louis Edmond Duranty, ou encore Émile Zola. Mais cette vie parisienne palpitante et source d’émulation, que Zola décrira très bien dans son roman L'Œuvre, inspirée volontairement de la vie des impressionnistes, Sisley la ponctuait inévitablement de séjours à la campagne, prétexte pour une peinture en plein air, dans les environs proches de Paris.
A la fin des années 1860, il s'installe avec sa famille à Bougival. Jusqu'en 1870, il peint dans son atelier à Paris, puisant des sujets dans la capitale et ses environs .
Il présente deux paysages du canal Saint-Martin au Salon de 1870 à Paris .

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