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Rarement film aura si bien porté son titre. De son vivant, d’Emmanuelle Bercot, exploration de la maladie et du chemin vers la mort avec dans son propre rôle l’extraordinaire oncologue libanais Gabriel Sara, a failli ne jamais être terminé, interrompu d’abord par l’AVC ischémique dont a souffert Catherine Deneuve sur le tournage, puis par la pandémie et le premier confinement. Bouleversante, habitée, cette histoire d’un médecin face à une mère (Deneuve) et son fils (Benoît Magimel), qui souffre d’un cancer inguérissable, sort sur les écrans le 24 novembre. Soit deux ans quasiment pile après le « coup de tonnerre » qui s’est abattu sur l’actrice alors que le film se tournait – hasard incroyable et salvateur – à l’hôpital de Garges-lès-Gonesse. Aussitôt prise en charge, Deneuve s’est remi...
Merci à Catherine Deneuve. Finalement et sans brutalité aucune, elle dit tout ce qu'elle pense. Elle pourrait oeuvrer pour la diplomatie française, assurément. Encore que je doute, qu'elle fasse des choses qui soient contraires à son esprit. Mais sa parole est sublime.
Bonsoir Guy, pourquoi il ne recevait que des baffes ?
Parce que c’était un goujat tout simplement. J’ai connu sa dernière épouse née M. Et dcd, ce charmant monsieur n’a eu aucun geste envers elle en la quittant, oui ! Un goujat !
Bonne soirée.
Le plus courtois était probablement Bernard Blier qui ôtait son chapeau et disait : "mon seul plaisir, mademoiselle, serait de vous mettre les jambes au plafond et de vous faire crier grâce".
Allez savoir pourquoi, il ne ramassait que des baffes...