Émission spéciale sur James Cameron - Tous les cinémas du monde
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Émission spéciale sur James Cameron

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Peu de réalisateurs peuvent se targuer de réussite au box office, de succès même stratosphérique, sans rien céder sur l’exigence ni l’innovation. Aliens, Terminator, Abyss, Titanic, Avatar : des films comme autant de stèles dans l’histoire du cinéma, du genre de la science fiction, des progrès des effets spéciaux. Émission spéciale ce samedi consacrée au Canadien James Cameron en compagnie du journaliste David Fakrikian, auteur de «James Cameron l'Odyssée d'un cinéaste» (Huginn & Munnin).

«L'art de James Cameron», Cinémathèque française.
«L'art de James Cameron», Cinémathèque française. © Cinémathèque française / Avatar Alliance Foundation
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«C’est comme une biographie

Je ne me considère pas comme un grand artiste plasticien, mais le cinéaste est un artiste car je peins avec de la lumière»...

C'est ainsi que James Cameron, venu début avril à Paris, décrit la grande exposition que lui consacre la Cinémathèque française (jusqu'au 5 janvier 2025). Accompagnée d'une rétrospective de ses films (jusque mi-juillet 2024), cet événement montre l'art du réalisateur canadien qui a gardé tous ses dessins de jeunesse :

«On voit mon parcours depuis mes années de collège, et quand j’étais étudiant

Et comment ces œuvres ont pu nourrir mes films, dans différentes catégories : les robots, les mondes post-apocalyptiques, la bioluminescence et le lien avec la nature.

Je suis étonné de voir à quel point j’ai finalement peu évolué dans mon imagination, je suis toujours le même enfant et comme je le dis souvent, j’ai 5 bonnes idées que je recycle dans mes films».

James Cameron naît en 1954 à Kapuskasing au Canada, puis grandit à Niagara Falls et ensuite en Californie.

C’est un enfant des années 60, qui grandit entre la peur de la guerre nucléaire et les comic books.

On l’entendait dire qu’il ne se considère pas comme un grand artiste plasticien, mais le dessin c’est son premier moyen d’expression.

Avant même Terminator (1984) qu'il considère comme son premier véritable long métrage (il a renié Piranha 2 les tueurs volants), le réalisateur a couché sur le papier ses obsessions, des œuvres que l'on peut donc découvrir à la Cinémathèque, en compagnie aussi de maquettes de ses films.

Notre invité : David Fakrikian, auteur, réalisateur, journaliste à Première et qui a écrit «James Cameron, l'Odyssée d'un cinéaste».

Musiques : Dizzy K Omoge et L'Impératrice Ma de igual.

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