Abendliche Häuser (Keyserling bei Null Papier) by Eduard von Keyserling | Goodreads
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Abendliche Häuser (Keyserling bei Null Papier)

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Die junge Baronesse Fastrade von der Warthe verlobt sich mit dem jungen Baron Dietz von Egloff, einem notorischen Spieler. Als er sie braucht, kann sie ihm nicht helfen, weil sie sich zuvor von ihm losgesagt hat.

126 pages, Kindle Edition

First published January 1, 1914

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About the author

Eduard von Keyserling

66 books32 followers
Eduard Graf von Keyserling (May 15, 1855 – September 28, 1918) was a Baltic German fiction writer and dramatist and an exponent of literary Impressionism.

Keyserling was born at Schloss Tels-Paddern, Courland Governorate, within the Russian Empire, now Kalvene parish, Liepaja District in Latvia. He belonged to an ancient family of Baltic German nobility and was a cousin of the philosopher Hermann Keyserling. He died in Munich, Bavaria.

Keyserling's early novels Fräulein Rosas Herz. Eine Kleinstadtliebe (1887) and Die dritte Stiege (1892) were influenced by Naturalism. His essays on general and cultural questions, like his theater plays, are forgotten. His narrative, novellas and novels, after 1902, place Keyserling at the forefront of German literary Impressionism.

A subtle and elegant stylist, Keyserling's narrative is unforgettable for its evocative ambience and "feel". His most emblematic work is perhaps Fürstinnen (Princesses), only superficially related to the typical German 19th century Schlossroman. Somehow midway between Ivan Turgenev and Franz Kafka, there is a certain pessimistic kinship between Keyserling and Anton Chekhov.


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Displaying 1 - 13 of 13 reviews
Profile Image for Hendrik.
409 reviews92 followers
May 6, 2019
»Es genügt nicht, als Edelmann geboren zu sein, man muß auch Edelmann sein wollen.«
Was aber, wenn niemand mehr recht Edelmann sein möchte? Mit dieser Problemlage sehen sich die adeligen Häuser konfrontiert, um die es in Eduard von Keyserlings 1914 erschienenem Roman geht. Der Wandel der Zeit hat mittlerweile auch die verschlafenen Landgüter des alteingesessenen baltischen Adels ergriffen, wenn sich die alten Herrschaften noch so sehr bemühen mögen ihre feudalen Konventionen zu bewahren. Die jüngere Generation hat bereits andere Vorstellungen vom Leben, die nicht mehr mit den Traditionen in Einklang zu bringen sind. Die Alten verstehen die Jungen nicht mehr.
»Ansichten, die jungen Leute wollen jetzt allerhand Ansichten haben.«
Umgekehrt ersticken die jungen Leute an den von ihnen, als nicht mehr zeitgemäß empfundenen, auferlegten Pflichten.
»Sie wollen ruhig und melancholisch ihren Lebensabend feiern, gut, aber wir wurden in diesem Lebensabend erzogen, wir müssen ihm dienen, wir müssen in ihm leben, wir fangen sozusagen mit dem Lebensabend an.«
Vor dem Hintergrund idyllischer Landschaften vollzieht sich der schleichende Niedergang einer festgefügt geglaubten Gesellschaftsordnung. Keyserling war selbst Zeuge dieser Veränderungen, entstammte er doch demselben Milieu, als Spross eines baltisch-deutschen Adelsgeschlechts. Die Tragödie besteht nun offenkundig darin, dass die Dekadenz soweit fortgeschritten zu sein scheint, dass allen irgendwie die nötige Kraft zu einem Ausbruch aus ihrer Lage fehlt.
»… das Leben vergeht in Müdigkeit und Melancholie«
Stattdessen flüchtet man sich in "Erlebnisse", so wie die Hauptfigur Fastrade von Warthe, die in einer Mischung aus Mitleidskomplex und Abenteuerlust den spielsüchtigen Baron Dietz von Egloff zu ehelichen beabsichtigt. Obwohl sie zuvor in Hamburg ganz emanzipiert als Krankenpflegerin gearbeitet hatte. (Aus heutiger Sicht möchte man ihr zurufen, "Mädchen, lass den Baron sausen und geh lieber wieder arbeiten!".) Um die beiden Verlobten entwickelt sich eine melodramatische Liebeshandlung, in deren absehbar unglücklichen Verlauf noch weitere Personen verstrickt werden. Die Unfähigkeit sich von traditionellen Ehrvorstellungen des eigenen Standes zu lösen, die inzwischen nur noch lächerliche Hüllen sind, führen zum absehbaren verhängnisvollen Ende. Eigentlich eine auf den ersten Blick konventionell anmutende Geschichte, die aber Keyserling im Stil des Impressionismus, zu Bildern von überwältigender Schönheit geformt hat.
Profile Image for Bianca Sandale.
464 reviews17 followers
March 31, 2021
Er ist einfach herrlich
Übrigens unbedingt auch Modick Keyserlings Geheimnis dazu lesen
Profile Image for Céline.
575 reviews38 followers
March 3, 2021
What a bittersweet ending. Chaque histoire de Keyserling est mélancolique, et aucune exception ne peut être faite même pas pour une histoire d'amour (que l'on souhaitait plus que tout qu'elle obtienne une "happy ending").

La fatalité est présente tout au long de l'histoire et est constamment rappelé, "Une maison de gens qui vont vers leur fin," (p. 567).

Ou encore la fatalité de la vie d'Egloff qui peut être assimilée à une phrase que le compte Schutow lui a dite, "Il était véritablement insensé, pour finir il est devenu fou et il s'est tué." (p. 608).

Mais cette histoire est aussi la critique de l'ancienne génération d'aristocrate par la nouvelle où les vues se contredisent et s'opposent. Voici quelques exemples, "Fastrade frissonna tant cette colonne terne paraissait privée de joie, et parce que tout ici était à ce point privé de joie qu'elle en avait mal ; pourrait-on jamais se débarrasser de cette pitié ?" (p. 537); "Fastrade reprit le chemin de la maison ; la vie éclatante venait de passer devant elle, avec son rire, avec le flottement des voiles, avec l'odeur du cigare et le bruit des clochettes, elle en avait été réchauffée. Il était agréable que tout cela existât encore, à la maison elle aurait pu l'oublier." (p. 542) ;

Egloff est l'exemple typique de cette nouvelle génération qui n'est pas satisfait des règles de cette vieille aristocratie en déclin, "Et cette attente nous rend tous fous, on attend, on fait ceci ou cela pour tuer le temps mais l'important, le principal doit encore arriver. Et le temps passe et rien ne vient et nous devenons fous." (p. 549). Ou bien, "Je ne le sais pas, peut-être parce que dans le jeu, quelque chose se décide sans arrêt et vite, quelque chose comme un destin toujours éminent. Dans la vie tout se décide si lentement. Si aujourd'hui j'espère quoi que ce soit, cela mettra si longtemps à s'accomplir que je n'en tirerai plus aucune joie, on vit, comme si on avait l'éternité devant soi." (p. 555) ou encore "Ça ne me dit rien d'imaginer dans l'avenir une longue file de petits Dietz Egloff, qui traîneront pendant des centaines d'années, des morceaux de mon être comme ces affreux meubles qu'on se lègue dans les vieilles familles." (p. 561) ou bien, "mon éducation a été stupide, j'ai été gâté d'une manière inhumaine, et cependant tout m'était interdit." (p. 576).

De plus, c'est très étrange mais cette phrase à la page 627, "La vie de Dietz Egloff était perdue et cependant la vie sans Dietz Egloff était tout à fait sans intérêt." comme si cette phrase fait référence à la phrase du conseiller aulique von Knospelius ("le murmure des vagues") en ce qui concerne son anniversaire, "Voyez-vous, entre un monde avec et un monde sans Knospelius, il y a, pour moi, une énorme différence." (p. 464).

Toutefois, je pense qu'Egloff était vraiment amoureux de Fastrade et qu'il en est mort aussi à cause de son abandon. "Maintenant je dois me casser la tête au sujet d'une jeune fille comme s'il s'agissait d'établir le bilan du mois. " (p. 585) allant jusqu'à la déclaration d'amour à la page 596, "Je ne le sais pas, pas plus que je ne sais pourquoi tu es si importante pour moi. (...), pour ma part je n'ai pas fait grand usage de mon âme, jusqu'ici j'ai vécu sans âme et ce n'est que pour toi que je la sors intacte, flambant neuf, pour toi je commence pour ainsi dire à entamer mon âme. Cela représente quelque chose bien que ce ne soit pas agréable." (p. 596)

Fastrade avait déjà tout compris sur le personnage qu'Egloff était : "Je ne suis pas inaccessible, je ne suis pas une sainte, mais si je dois t'aider et pour que je puisse être de ton côté, tu ne dois pas me traiter comme les autres." (p. 597).

Encore cette dualité entre la vieille et la nouvelle génération : "Comme les temps changent, les enfants d'aujourd'hui apprennent et fond l'expérience de choses dont nous n'avions pas la moindre idée : on se sent stupide." (p. 552) et je finirais par la phrase de Gertrud, "Je n'ai rien dit, répliqua-t-elle, il m'est tout de même permis de me réjouis que dehors il existe des vies dans lesquelles se passent des événements plus intéressants que les foins qui viennent bien."

Je constate aussi que chaque personnage de Keyserling préfère vivre dans ses rêves plutôt que dans la triste réalité, "Il resta immobile pour retenir la sensation du rêve jusqu'à ce que le présent impitoyable et inévitable la fasse disparaître. Il ressentit alors une impression de solitude comme il n'en avait jamais connue." (p. 627).

Finalement, la ressemblance avec "Hell" mon livre favori est plus que frappante, presque surréaliste.

Quelques belles citations :
- p. 565 : "Naturellement, tu ne comprends rien, tu ne vois rien, tu n'entends rien."
- p. 570 : "Nous sommes en réalité des animaux nocturnes comme tous les prédateurs. Le jour on dort dans sa tanière, et quand au-dehors tout est devenu sombre et silencieux, on sort en rampant pour vagabonder, se glisser dans les maisons endormies ou dans les poulaillers et vivre ainsi sa véritable vie."
- p. 577 : "Elle vit les couloirs blancs de l'hôpital, les salles avec leurs rangées de lits dans lesquels, sur de blancs oreillers, reposaient des visages blêmes, elle vit ces grands asiles de la douleur où les souffrances étaient répertoriées, numérotées et rangées en catégories."
- p. 585 : "D'ailleurs c'est une habitude stupide de l'homme de vouloir aller jusqu'au bout de ses pensées."
- p. 597 : " Fastrade mit ses mains sur son visage et se mit à pleurer, ce n'était pas de douleur ce n'était que le soulagement infiniment bienfaisant de la grande tension de son âme."
- p. 608 : "Je joue chaque nuit, parce que chaque nuit, je trouve à nouveau intéressant de me mesurer avec cette canaille mystérieuse et incompréhensible qu'on appelle la chance."
- p. 620 : "Je ne permets pas si généreusement à quelqu'un d'avoir des droits sur moi ; cette petite femme s'est pendue à mon cou, c'est une aventure, une occasion, un péché, tout sauf un destin."
Profile Image for Caro.
315 reviews61 followers
October 29, 2020
Eduard von Keyserling vuelve a recrear su vida como perteneciente a la baja nobleza del Báltico alemán, en esta obra lo que destaca sobre todo es la decadencia de esa antigua nobleza y los jóvenes que van pidiendo paso a una nueva forma de vida, toda la historia gira en torno a unas pocas familias nobles que se aferran a su estatus y se asombran que sus descendientes renieguen de esta forma de vida.
La tranquilidad, las relaciones entre ellos es la forma de vida que desean perdurar y transmitir a sus hijos y nietos, pero todo esto se enmascara en una aburrida y triste normalidad que termina a causa del comportamiento y deseos de las siguientes generaciones.
Una prosa bella, decadente, armoniosa, triste y una historia de amor que dará al traste con la vida sedentaria y habitual de esos aristócratas, pero la vida sigue y la paz y tranquilidad tan deseada vuelve a pesar de las desgracias y contratiempos que sufren las familias.
Lo mejor es las descripciones de la monótona vida, las ansias de liberarse del yugo que se les impone a las mujeres mientras viven en casa a merced de sus progenitores, los paisajes tan bellamente descritos y la dulzura que desprende el autor al transmitir ese amor que sentía por su vida ya pasada.
Profile Image for Lily.
71 reviews29 followers
September 25, 2022
Was auf dem Einband steht, stimmt: Was mich am meisten gefesselt hat an diesem Buch ist die Stimmung.
Keyserling schafft mit seinen Beschreibungen so greifbare Bilder, dass man meint, man sehe durch ein offenes Fenster allem zu. Ich bin durch die dunklen Gänge von Paduren gelaufen, habe den Staub auf der Dorfstraße tanzen sehen, und den großen, hellen Mond über dem Sirowschen Wald.
Und wie er all diese Gefühle auf Papier bringt. Alles, was so in einem wütet, bis man überzulaufen scheint -
Fastrade, wie sie heimkommt und schon wieder im Padurenschen Lebensabend zu versinken droht, aber dann stößt sie die Fenster auf, in die kalte Winternacht, und atmet.

Ich dachte, dieses Buch würde es mir schwer machen, aber im Gegenteil.
Die Handlung ergreift einen, und ehe man es merkt, spannt sich alles zur großen Katastrophe, und dann fällt die Spannung ab, der See beruhigt sich, die Felder stehen gut, es ist wieder ruhig.
Ist man denn genau da, wo man angefangen hat?

„(…) es ist ein Trost, daß solche schönen, heißen Sachen wirklich in der Welt passieren, wenn sie auch nicht zu uns kommen. (Diesmal) waren sie uns schon ganz nahe.“

Ein paar Worte zu den Figuren. (Spoiler!!)


Das Rollenbild: MfG, das 19. Jahrhundert, um mit Liv Strömquist zu sprechen.
Männer müssen wollen, Frauen müssen sich hingeben.
Wie Egloff sich gegenüber Lydia benimmt, ist grausam. Immerhin, Fastrade klagt es an: Für Egloff ist es nur ein Spiel, aber Fastrade sieht, wie vollkommen Lydia sich hingegeben hat. Aber Egloff ist ja auch an Fastrade interessiert, weil sie ihm gegenüber scharf ist, ihm Paroli bietet, weil sie anders ist.
Trotzdem, Fastrade selbst bleibt im Rollenbild der „guten“ Frau, die den Mann retten will - vor der Welt und vor sich selbst. Ordnung in sein Leben bringen will sie. Und das findet sich heute noch in den Young Adult Regalen: I can fix him! To the rest of the world he is mean, but he loves me!
Und es geht doch nicht gut.

Ach, und irgendwie gewinnt man sie dann doch alle lieb, auf diesen dünnen Seiten, sie fühlen ja alle so viel und man schaut und fühlt mit. Ich liebe wohl auch wie Fastrade, durch Mitleid, und durch Papier.

(First read: September 2022)
Profile Image for Martina.
86 reviews
September 20, 2023
“La sera sulle case” è il secondo libro che leggo dell’autore, per cui nutrivo aspettative molto alte. “Nell’angolo di quiete” è un racconto breve che mi ha colpito profondamente, mentre invece questo romanzo non c’è riuscito: è stata una lettura molto piacevole, ma non dello stesso livello.
“La sera sulle case” è un romanzo corale dove si racconta le storia di più ragazzi, tutti accumunati da un forte disagio interiore: la protagonista è Fastrade von der Warthe che, dopo anni lontano da casa per lavorare come infermiera in un ospedale di città, decide di tornare ai suoi doveri di baronessa e di assistere il padre e la zia. Ritornata, trova tutto esattamente come lo aveva: un’atmosfera immobile in cui l’aristocrazia baltica si è trincerata per continuare a sottrarsi dall’innovazione, sia con timore che con un senso di superiorità verso di lei. Lì incontra Dietz von Egloff, anche lui rampollo di una famiglia aristocratica che sperpera il suoi patrimonio nel gioco d’azzardo, da cui è oramai dipendente, e per cui la ragazza farà una serie di scelte inaspettate.
Il romanzo non fa altro che raccontare uno scontro generazionale tra la rassegnazione dei padri e la voglia di ribellione dei figli a quella costante penomabra che gli impongono i genitori. Ragazzi che provano a cercare la loro via nel mondo nuovo, da cui però ne escono divorati e pieni di dubbi, che si trovano a dover rispondere ad una moralità e a schemi comportamentali ormai desueti, ma da cui non riescono a fuggire definitivamente proprio perché non hanno le “armi” per vivere nel presente. Ciò che mi ha colpito del romanzo è la capacità dell’autore di creare un equilibrio perfetto tra tragedia ed ironia, dialoghi serratissimi e descrizioni meravigliose, soprattutto dei paesaggi. È, come ho scritto prima, un romanzo corale: si hanno vari triangoli amorosi, duelli, fiamme di passione mai sopite completamente.
Il personaggio che ho preferito è stato quello di Fastrade, nonostante non condivida assolutamente la sua idea di amore = compassione, ma alla fine è quella che non si è mai tirata indietro davanti ai suoi desideri e alle sfide che le ha messo davanti la vita. Ciò che mi ha lasciato l’amaro in bocca è stato il finale: molto realistico, ma avrei preferito qualcos’altro.
Profile Image for Gammakiirgus.
38 reviews3 followers
Read
January 3, 2023
„Me elame siin, just nagu peaksime kohe üles ärkama ja alles alustama tegelikku elu”
Profile Image for Christian Oltra.
241 reviews2 followers
October 29, 2023
Escrito de forma bella, sosegada, natural. Tiene momentos de gran clásico. Otros, quizá, decaen ligeramente. Bastante recomendable.
Profile Image for Margit.
43 reviews8 followers
February 20, 2017
"Rõõmutunne oli unenäo kohta ilmselt liiga tugev, sest ta ärkas. Ta istus liikumatult, et unenäotunnet säilitada, kuni tegelikkus halastamatult ja paratamatult kõik hävitas. Siis haaras teda ääretu üksindus, nii tugev, nagu ta seda veel kunagi polnud tundnud. Ta oli alati inimesi vajanud, mõistmata küll kunagi neile õieti lähedane olla. Nüüd igatahes näisid kõik niidid, mis teda teistega sidusid, puruks rebitud ja ainus inimene, kelle juuresolekul ta polnud end iial üksildasena tundnud, oli talle lõpmata kauge. "
Profile Image for Alik.
410 reviews10 followers
Want to read
May 17, 2021
#1
Die Tränen kamen leicht, badeten das Gesicht, als wüsche sie sich in lauwarmem Wasser; dabei wurde das Herz weich vor Mitleid mit sich selber. Im Weinen schlief sie ein, traumlos und süß. Die Ziege hielt ganz still, wandte den Kopf und sah die Schlummernde mit den gelben, friedlichen Augen mütterlich an.

#3
Unten im kleinen Garten standen die Mädchen zwischen den Kohlbeeten. Sie traten von einem Fuß auf den anderen, denn die nackten Füße froren in dem taufeuchten Kraut. Die Arme kreuzten sie über den großen, runden Brüsten und sahen mich ernst und neugierig an.
Profile Image for John.
54 reviews2 followers
September 9, 2019
A very melancholy fin de siecle short novel set on a German estate in the forests of Latvia near the Polish border, during the waning years of the Austro-Hungarian Empire. Seeking new meaning, youth coming of age challenge the old social and family order, each in his own way.
Fastrade, the female lead,
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