The Calling
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The Calling

É.-U. 2014. Drame policier de Jason Stone avec Susan Sarandon, Gil Bellows, Topher Grace. La chef de police intérimaire d'une petite ville ontarienne traque un homme mystérieux qui tue des malades en phase terminale à travers le pays. Adaptation prenante du roman de Inger Ash Wolfe. Traitement nuancé des aspects mystiques du récit. Réalisation efficace, malgré une facture un peu terne. S. Sarandon vigoureuse et inspirée. (sortie en salle: 29 août 2014)

13 ans +
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The Calling (The Calling)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 2014. Drame policier de Jason Stone avec Susan Sarandon, Gil Bellows, Topher Grace.

La chef de police intérimaire d'une petite ville ontarienne traque un homme mystérieux qui tue des malades en phase terminale à travers le pays. Adaptation prenante du roman de Inger Ash Wolfe. Traitement nuancé des aspects mystiques du récit. Réalisation efficace, malgré une facture un peu terne. S. Sarandon vigoureuse et inspirée. (sortie en salle: 29 août 2014)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Scott Abramovitch
D'après le roman de Inger Ash Wolfe
Photographie :
Montage :
Chef de police intérimaire dans la petite ville ontarienne de Fort Dundas, Hazel Micallef est devenue dépendante aux médicaments antidouleurs et à l'alcool en voulant soulager ses intenses maux de dos. Ce qui ne l'empêche toutefois pas de donner sa pleine mesure au cours d'une enquête sur une série de meurtres souvent atroces, dont les victimes, réparties à travers le Canada, étaient des hommes et des femmes atteints d'une maladie incurable. Avec l'aide de deux collègues, Hazel remonte la piste d'un étrange barbu qui se présente comme un guérisseur, et dont les actions seraient inspirées par une prière datant de l'époque des premiers chrétiens mystiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tiré du roman de Inger Ash Wolfe (pseudonyme de l'écrivain Michael Redhill), ce premier long métrage du Torontois Jason Stone se distingue par la performance inspirée et vigoureuse de Susan Sarandon (THELMA AND LOUISE, DEAD MAN WALKING), ainsi que par la manière nuancée des auteurs d'aborder les aspects religieux du récit. Du reste, le scénario, qui évoque une sorte de SE7EN rural, est assez bien charpenté, ménageant un dénouement à la fois surprenant et au fond très logique. Quant à la mise en scène, elle possède l'efficacité requise, malgré une facture un peu terne. Aux côtés de la formidable Susan Sarandon, Topher Grace fait montre de conviction et d'énergie, Christopher Heyerdahl compose un thaumaturge aussi charismatique qu'inquiétant et, l'espace de deux courtes scènes, Donald Sutherland campe avec une autorité tranquille un prêtre linguiste, véritable personnage-pivot du film. Bref, il s'agit d'un début prometteur pour Stone, dont le court métrage "Jay and Seth Versus the Apocalypse", réalisé et coscénarisé avec Seth Rogen et Evan Goldberg en 2007, a servi de base à THIS IS THE END, la comédie à succès de ces deux derniers.

Texte : Louis-Paul Rioux

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