Un arrière-petit-neveu de Napoléon Ier candidat aux européennes - Le Parisien

Un arrière-petit-neveu de Napoléon Ier candidat aux européennes

Joachim Charles Napoléon Murat, prince de Pontecorvo et descendant du beau-frère de Napoléon Ier, figure sur la liste « Nous le Peuple » pour les élections européennes du 9 juin prochain.

Âgé de 50 ans, Joachim Murat se présente comme descendant du maréchal d’empire et roi de Naples Joachim Murat (1767-1815), qui fut le beau-frère de Napoléon Ier par son mariage avec sa sœur de Caroline Bonaparte. MaxPPP/Epa-EFE/Christophe Petit Tesson
Âgé de 50 ans, Joachim Murat se présente comme descendant du maréchal d’empire et roi de Naples Joachim Murat (1767-1815), qui fut le beau-frère de Napoléon Ier par son mariage avec sa sœur de Caroline Bonaparte. MaxPPP/Epa-EFE/Christophe Petit Tesson

    Un lointain arrière-petit-neveu de Napoléon 1er, Joachim Murat, sera candidat aux élections européennes sur une liste souverainiste, a-t-il annoncé vendredi dans un communiqué à l’AFP.

    Âgé de 50 ans, Joachim Murat se présente comme descendant du maréchal d’empire et roi de Naples Joachim Murat (1767-1815), qui fut le beau-frère de Napoléon Ier par son mariage avec sa sœur de Caroline Bonaparte.

    Sur la liste de l’ancien porte-parole de Jean-Luc Mélenchon

    Il figurera en troisième position sur la liste « Nous le Peuple », menée par Georges Kuzmanovic, un ancien porte-parole de Jean-Luc Mélenchon qui avait quitté La France insoumise en 2018 pour fonder son mouvement, « République Souveraine ».



    Selon Joachim Murat, cette liste comprendra aussi Philippe Grégoire, un éleveur président du « SAMU social agricole », une association qui défend les paysans en difficulté, et l’écrivain Olivier Delorme.

    Une candidature eurosceptique

    Ancien officier parachutiste, Joachim Murat se présente comme « un passionné de la France et de son modèle social qui ne supporte plus sa destruction programmée par les tenants de l’Europe fédéraliste ».

    Pour lui, « il est temps de redonner le pouvoir aux nations et aux peuples, face à une bureaucratie européenne oppressante et à une élite politique qui a trahi les principes fondamentaux de la démocratie, de la souveraineté et de la liberté ».