Le drôle de jeu de Gérald Darmanin
Discret ces derniers temps, le ministre de l’Intérieur se montre omniprésent depuis l’annonce de la dissolution. Une stratégie pour reconquérir son siège dans le Nord, mais pas que…
Discret ces derniers temps, le ministre de l’Intérieur se montre omniprésent depuis l’annonce de la dissolution. Une stratégie pour reconquérir son siège dans le Nord, mais pas que…
INTERVIEW. Pour l’essayiste, le mouvement de société qui, aux européennes, a placé le RN en tête dans 94 % des communes de France est celui de la « majorité ordinaire ».
Gabriel Attal et plusieurs ministres vont se représenter dans leur circonscription lors des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Tour d’horizon.
REPORTAGE. Le présidentiable LR se lance dans des législatives difficiles, mais balaie toute négociation avec le RN ou la majorité présidentielle.
Encore abasourdis par la dissolution, les députés de la majorité tentent, sans conviction, de croire à la constitution d’un front républicain pour sauver leurs sièges.
TRIBUNE. En guise de parade à l’échec de ses listes lors des élections européennes, Emmanuel Macron a choisi de foncer tête baissée dans une dissolution.
Le philosophe, écœuré par « l’abjection payante » de LFI, envisage comme « un cauchemar » l’hypothèse de devoir voter en faveur du RN pour faire barrage à l’antisémitisme.
L’eurodéputée, tête de liste du parti zemmouriste, avait rencontré Jordan Bardella et Marine Le Pen ce lundi 10 juin en vue des élections législatives anticipées.
Le chef de l’État exclut de démissionner même en cas de victoire de l’extrême droite aux élections législatives anticipées convoquées après la dissolution de l’Assemblée nationale.
L’hypothèse d’une troisième candidature d’Emmanuel Macron, s’il décidait de démissionner de son mandat après les élections législatives, est catégoriquement rejetée par les constitutionnalistes les plus sérieux.
En coulisses, c’est seul, avec une poignée d’élus, que le patron de LR a décidé de vendre son parti à la découpe à Marine Le Pen. Ce mardi, la droite a explosé.
Éric Ciotti a annoncé vouloir une alliance avec le Rassemblement national, en vue des élections législatives anticipées. Une décision qui a suscité un tollé au sein de son parti.
De nouvelles élections législatives seront organisées les dimanches 30 juin et 7 juillet après la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.
La présidente du Crif de Marseille-Provence Fabienne Bendayan a dénoncé « le paroxysme du déshonneur ». L’alliance entre les partis de gauche s’est nouée hier soir.
Les élections européennes marquent un tournant historique. Jamais, même dans les années 1930, l’extrême droite n’avait atteint 40 % des suffrages en France. En prononçant la dissolution, le chef de l’État prend le risque du chaos.
Le président des Républicains accepte la main tendue de Marine Le Pen, en souhaitant créer une alliance à droite « pour servir le pays qui va mal ».
Les Français résidant à l’étranger ont voté différemment des citoyens de l’Hexagone. À Dubai notamment, c’est la liste emmenée par Manon Aubry qui est arrivée en tête des suffrages.
Le Premier ministre a promis, ce mardi matin, aux députés de la majorité présidentielle d’aller « de l’avant » dans la perspective des élections anticipées des 30 juin et 7 juillet.
Le président (Les Républicains) de la région Auvergne-Rhône-Alpes sera candidat aux élections législatives provoquées par la dissolution de l’Assemblée.
LFI a récolté de bons scores dans les banlieues aux européennes. Sa ligne ne semble plus être une ligne rouge à gauche qui inclut le mouvement dans son « front populaire » en vue des législatives.
ENTRETIEN. L’ancien Premier ministre socialiste dénonce tout accord de la gauche avec LFI et en appelle à la constitution d’une coalition de gouvernement.
Le Syndicat de la magistrature, classé à gauche, redoute une « purge » en cas de victoire du Rassemblement national aux législatives. Sinon, la prudence est de mise dans le corps judiciaire.
L’entourage de l’essayiste confirme au « Point », au lendemain de l’annonce d’un accord signé à gauche, qu’il entend faire respecter toutes ses conditions face à LFI.
Ni Macron ni Le Pen : malgré un faible score aux européennes, le parti a choisi de mener campagne sous ses propres couleurs. Mais sur le terrain, beaucoup d’élus s’inquiètent.
Le président LR de la région Hauts-de-France a appelé Éric Ciotti, président de son parti, à clarifier sa position vis-à-vis d’une éventuelle union des droites.
Selon son entourage, le président de Place publique ne souhaite pas faire partie d’un « nouveau front populaire » aux conditions posées par La France insoumise.
L’ancien Premier ministre souhaite élargir la majorité, à gauche comme à droite, pour ne pas risquer d’entraîner le pays dans un « blocage complet ».
Grand vainqueur des élections européennes, le leader du Rassemblement national s’imagine déjà à Matignon pour mener un « gouvernement d’union nationale ».
Fort de ses 14 %, le champion PS-Place publique Raphaël Glucksmann a appelé, ce lundi, l’ancien patron de la CFDT à porter les espoirs de la gauche à Matignon.
Arrivé en tête du scrutin européen, le parti d’extrême droite serait en mesure de remporter également les élections législatives anticipées.
Pour le politologue, le score retentissant du RN aux européennes n’est pas un « vote sanction », mais un vote d’adhésion à des problématiques négligées.
Emmanuel Macron a sciemment fait croire qu’il ne changerait rien après les européennes. Le scénario de la dissolution avait depuis longtemps été mûri par le chef de l’État en comité très réduit.
Après que les partis de gauche ont trouvé un accord de principe pour constituer un « nouveau front populaire », les proches de Raphaël Glucksmann tempèrent.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. L'« arme anti-Bardella » a disparu. Son effacement montre l’obstination d’Emmanuel Macron de se maintenir au centre de tout, malgré tout.
Après la vague des européennes, le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella croit en ses chances de majorité à l’Assemblée. Mais plusieurs obstacles se dressent sur sa trajectoire.
INTERVIEW. Selon le politologue et juriste Benjamin Morel, les chances de succès de la stratégie du président « ne sont pas élevées » et la gauche a les clés en main.
PS, PCF, EELV et LFI ont appelé à la création d’un « nouveau front populaire » pour faire barrage à l’extrême droite.
Troisième force des européennes avec PS-Place publique, Raphaël Glucksmann a exclu que lui ou Jean-Luc Mélenchon devienne Premier ministre.
Sur TF1, lundi soir, la présidente du groupe RN à l’Assemblée a assuré que Jordan Bardella serait le Premier ministre en cas de victoire de son camp aux législatives du 30 juin et du 7 juillet.
Le député écologiste de Paris Julien Bayou a annoncé, ce lundi 10 juin, être candidat à sa propre succession. Accusé de violences psychologiques, il s’engage à démissionner en cas de condamnation.
Les candidatures pour les élections législatives devront être déposées entre le mercredi 12 juin et le dimanche 16 juin, à 18 heures au plus tard.
INTERVIEW. Jean-Yves Dormagen, fondateur de l’institut de sondage Cluster 17, livre son analyse sur la percée du RN et le pari risqué de Macron.
ÉDITO. En 2022, la gauche de gouvernement acceptait de s’allier aux Insoumis. Depuis, la donne a changé. Chacun connaît désormais le vrai visage de Mélenchon…
Les trois figures d’extrême droite se sont rencontrées au siège parisien du Rassemblement national en fin de journée, ce lundi 10 juin, en vue des élections législatives anticipées.
ENTRETIEN. Le politologue de Sciences Po analyse le séisme politique à l’œuvre depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale.
L’annonce de la dissolution gèle les travaux engagés à la Chambre basse. Une conférence des présidents se réunit cet après-midi au Sénat.
Le ministre de l’Économie affirme que les élections législatives anticipées, après la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, auront des « conséquences d’une gravité sans précédent ».
La maire socialiste de Paris estime que la décision prise par Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale n’intervient pas au bon moment.
LE QUARTIER LIBRE DE SERGE RAFFY. Omniprésent dans la campagne européenne, Macron a commis une erreur tactique funeste : il a concentré toutes les colères du peuple sur sa seule personne.
Le vote par procuration a été simplifié par l’exécutif il y a quelques semaines. Il est désormais possible d’effectuer la démarche à distance dans certaines conditions.
Accusant le président de « précipitation », l’ex-garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas soutient que les dates des 30 juin et 7 juillet ne respectent pas le Code électoral. Mais il y a la Constitution...
REPORTAGE. Après la large victoire de l’extrême droite aux européennes et l’annonce d’une dissolution de l’Assemblée, des militants de gauche se sont spontanément rassemblés place de la République.
La présidente de l’Assemblée nationale a estimé qu’il y avait « un autre chemin » que celui de la dissolution, et fait savoir son agacement à propos de la vie politique.
En prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale, le président de la République provoque des élections législatives anticipées. Un pari risqué, qui va dépendre de bien des facteurs.
L'ancien ministre délégué du Budget, condamné pour fraude fiscale en 2018, a annoncé briguer un nouveau mandat dans la 3e circonscription du Lot-et-Garonne, où il a été élu dans le passé.
Le président de la République s’est exprimé, sur X, au lendemain de sa décision choc de dissoudre l’Assemblée nationale et de convoquer un nouveau vote, à la fin du mois.
En recueillant 9,87 % des voix exprimées, La France insoumise obtient au moins 9 sièges au Parlement européen. Placée en septième position, Rima Hassan en occupera un.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Après une défaite cinglante aux européennes, Emmanuel Macron choisit de renverser la table. Au risque qu’elle lui tombe sur la tête ?
Emmanuel Macron a annoncé ce dimanche 9 juin la dissolution de l’Assemblée nationale, un coup de tonnerre politique après l’écrasante défaite face au Rassemblement national aux élections européennes.
Après son revers cuisant aux européennes, le chef de l’État a déclenché, à la surprise générale, l’article 12 de la Constitution, provoquant la tenue d’élections législatives anticipées. « On y va pour gagner », dit-on à l’Élysée.
Nommée tardivement à la tête de liste Renaissance pour ces élections européennes, Valérie Hayer n’a pas réussi à éviter la défaite prédite par les sondages ce dimanche 9 juin.
Emmanuel Macron a décidé de dissoudre la Chambre basse du Parlement en réponse à une victoire écrasante du RN aux élections européennes.
La liste PS-Place publique est arrivée en troisième position, doublant le résultat de 2019. Mais son leader peut-il transformer ce succès sur le plan national, trois semaines avant les législatives ?
REPORTAGE. Dans les quartiers généraux des partis, l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale a pris le pas sur les résultats. Il est déjà l’heure de la campagne à venir.
« Nous avons gagné les élections européennes », a lancé la présidente de la Commission européenne depuis Bruxelles. Elle semble partie pour sauver sa majorité.
Après la large victoire du RN aux européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, le député LFI appelle les partis de gauche à s’unir.
Le chef de l’État s’est exprimé, ce dimanche soir, après la victoire du Rassemblement national aux européennes. Les législatives auront lieu les 30 juin et 7 juillet.
Marine Le Pen prenait la parole après une allocution d'Emmanuel Macron qui a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale.
La tête de liste Parti socialiste-Place publique a dénoncé « un jeu dangereux d’Emmanuel Macron », qui vient d’annoncer la dissolution de l’Assemblée nationale au soir des élections européennes du dimanche 9 juin.
Le chef de l’État s’est exprimé, dimanche soir, alors que le Rassemblement national a obtenu 31,5 % des voix. Le premier tour des législatives se tiendra le 30 juin et le second le 7 juillet.
Pour le président du MoDem, en annonçant une dissolution de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron fait un choix « historique ».
EUROPÉENNES, LE JOUR D’APRÈS. Après le triomphe de Jordan Bardella, ce 9 juin, Gabriel Attal présentera-t-il sa démission au chef de l’État ? La question d’un changement de gouvernement est sur la table.
EUROPÉENNES, LE JOUR D’APRÈS. Le scrutin est, comme annoncé, un triomphe pour Jordan Bardella et un revers cinglant pour Emmanuel Macron, qui a annoncé la dissolution de l'Assemblée nationale.
En Allemagne, les sociaux-démocrates du chancelier allemand Olaf Scholz enregistrent un revers. En Grèce, le parti du Premier ministre est en tête.
Le RN obtient 31,5 % des voix, soit plus du double de la macronie (14,6 %), qui devance à peine PS-Place publique (13,8 %). Suivent LFI (9,9 %), LR (7,2 %), Les Écologistes et Reconquête ! (5,5 %).
La tête de liste du Rassemblement national enregistre le plus important score réalisé à une élection européenne depuis 1984. Le double de son adversaire macroniste.
Le scrutin des européennes en France a été marqué dimanche par des accusations d’irrégularités, très rares dans l’histoire électorale, émises en temps réel pendant le vote par plusieurs élus de La France insoumise.
Certaines listes candidates aux élections européennes ont choisi de ne pas faire parvenir de bulletins à tous les bureaux de votes.
Plus de 49 millions de Français sont appelés à voter dimanche pour élire leurs eurodéputés. Les premières estimations seront connues à 20 heures.
Selon l’Ifop, le taux de participation a atteint 52,5 % aux élections européennes, en hausse par rapport à 2019 (50,12 %).
Les différentes têtes de liste ainsi que le couple présidentiel se sont rendus aux urnes ce dimanche 9 juin.
Élections européennes obligent, les chaînes de télévision adaptent leur programme pour suivre les premiers résultats de la campagne, ce dimanche 9 juin. Voici les émissions spéciales à suivre.
Député GDR, Pierre Dharréville est l’un des opposants à la loi sur la fin de vie. Après des premiers débats houleux à l’Assemblée, il a préféré se retirer des discussions.
En visite d’État en France, Joe Biden et Emmanuel Macron se sont entretenus lors d’un déjeuner de travail. Ukraine, Gaza, coopération… De nombreux sujets ont été abordés.
Présent lors des commémorations du D-Day, le président américain est resté en France pour une visite d’État en grande pompe, qui doit durer jusqu’à dimanche.
REPORTAGE. Dernier épisode des chroniques de l’historien Arthur Chevallier, qui a suivi Emmanuel Macron durant les commémorations du Débarquement.
LA CHRONIQUE DE MICHEL RICHARD. Toutes les occasions sont bonnes à saisir. Hollande, aux aguets, et n’ayant renoncé à rien, essaie de surfer sur la dynamique Glucksmann.
À quelques heures de la fin de la campagne pour les élections européennes, le Premier ministre s’adresse aux plus jeunes dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
RENCONTRE. À la veille du scrutin européen, que reste-t-il du mouvement souverainiste en France ? L’ex-Insoumis Georges Kuzmanovic, à la tête de la liste « Nous le peuple », s’en revendique.
EUROPÉENNES, LE JOUR D’APRÈS (5/5). L’Élysée veut faire en sorte que l’Euro de football et les Jeux olympiques fassent rapidement oublier le choc de la défaite dans les urnes.
Dans notre ultime sondage Cluster17-« Le Point » avant le vote de dimanche, l’Insoumise Manon Aubry se rapproche de Raphaël Glucksmann, en légère baisse. Jordan Bardella progresse encore.
Invité par Macron aux commémorations du Débarquement, le président ukrainien s’est exprimé, vendredi, dans l’hémicycle, devant des travées à moitié vides.
C’était la grande promesse de la maire de Paris : un plongeon dans la Seine, un mois avant le coup d’envoi des Jeux olympiques. Mais, beaucoup d’incertitudes demeurent.
Le PPE de Manfred Weber va-t-il réellement céder aux sirènes des eurosceptiques ? Peu probable. Une étude de l’Institut Jacques-Delors détaille les alliances parlementaires.
LA LETTRE DU PALAIS. L’activisme médiatique d’Emmanuel Macron tranche avec la prudence de ses prédécesseurs. Jamais un président ne s’était autant investi dans une campagne européenne.
REPORTAGE. De Ver-sur-Mer à Caen, l’historien Arthur Chevallier nous fait vivre au plus près le deuxième jour des cérémonies du Débarquement présidées par Macron.
Les habitants des Pays-Bas ont été les premiers à voter pour les élections européennes ce jeudi 6 juin. Ils vont être suivis des Irlandais ce vendredi.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Faute de promouvoir ouvertement sa candidate, le président a souligné, jeudi soir, les dangers de l’extrême droite pour l’Europe. Est-ce encore audible ?
Le chef de l’État était l’invité des JT de TF1 et de France 2, jeudi, après les célébrations du 80e anniversaire du Débarquement, à trois jours des européennes.
EUROPÉENNES, LE JOUR D’APRÈS (4/5). Pour reprendre la main dans la phase finale de son mandat, le président pourrait décider de consulter le peuple. À condition de bien choisir la question posée…
REPORTAGE. Lors d’une séance de tractage, ce jeudi 6 juin, la tête de liste des Écologistes s’est affichée avec Eva Joly. Son camp redoute de plonger sous la barre des 5 %.
De nombreuses publications sur TikTok concernent les élections européennes. Les candidats ont flairé le coup et se font une place sur ce réseau social.
Numéro trois de la liste LR pour les européennes, le général quatre étoiles juge que le chef de l’État se paie de mots sur le soutien militaire à Kiev.
INTERVIEW. Alors qu’Emmanuel Macron doit s’exprimer ce jeudi soir, le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi, décrypte la façon dont le vote se cristallise dans la phase finale d’une campagne.
Il prône une écologie « radicale », mais pragmatique. Le nouveau parti Équinoxe, qui défend les idées décroissantes de Jean-Marc Jancovici, se lance à l’occasion des européennes.
Plusieurs études récemment publiées démontrent que le niveau de bonheur au travail est un facteur important de constitution de l’opinion politique.
Le Premier ministre a affirmé que sa venue surprise dans un débat, lundi, auquel participait Valérie Hayer, n’était pas son idée, mais celle de la direction de Radio France.
REPORTAGE. L’historien Arthur Chevallier suit Emmanuel Macron pendant les commémorations du Débarquement. Première étape : Plumelec, dans le Morbihan, et Saint-Lô, en Normandie.
Entre les partisans de l’aide à mourir et ceux qui veulent préserver certains garde-fous, l’examen de la loi sur la fin de vie divise les députés de la majorité.
L’antisémitisme de gauche dépasse le simple calcul électoral. Israël et les Juifs sont devenus le sujet n° 1 du parti de Jean-Luc Mélenchon.
Et aussi : Solène Chalvon-Fioriti, Grand Prix du Figra ; Fabrice Barlesi et l’institut Gustave-Roussy au congrès de cancérologie Asco. En panne : Sébastien Delogu, Stéphane Ravier, Gilles d’Ettore.
Et aussi : de plus en plus de sanctions à l’Assemblée nationale… ; 36,1 heures, le temps de travail dans l’UE ; gouvernement : que faire après le choc des européennes ?…
EXCLUSIF. Selon une enquête de l’Ifop, pour 92 % des Français de confession juive, La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon fait monter l’antisémitisme.
La crise de confiance de la France dans l’UE se traduira-t-elle par un vote massif pour le Rassemblement national ? Rendez-vous le 9 juin.
Le maire de Grenoble aurait indûment fait verser 16 800 euros à son ancienne première adjointe pour compenser une baisse de ses indemnités.
Le président américain est arrivé ce mercredi 5 juin en France, à la veille des commémorations du 80e anniversaire du débarquement allié en Normandie.
L’UE tente toujours de réduire ses émissions de gaz à effet de serre, avec la neutralité comme objectif pour 2050. Les prochaines élections européennes vont jouer un rôle sur les choix climatiques de l’Union.
Dans notre baromètre Cluster17-« Le Point », les candidats LR et PS-Place publique aux européennes gagnent des points, malgré la tenaille RN-Renaissance.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. La tête de liste LR fait une bonne campagne européenne, mais il a toutes les raisons d’être lassé par ses amis politiques, souvent toxiques.
La députée Rachel Keke a brandi un drapeau palestinien à l’Assemblée, provoquant une suspension de séance. Malgré les sanctions encourues, l’Insoumise veut que ce geste soit reproduit chaque semaine.
Prise de bec entre Jordan Bardella et Raphaël Glucksmann sur la Russie, Manon Aubry qui remonte aux nazis… Sur France 2, mardi soir, personne n’est sorti grandi.
TRIBUNE. Pour Baptiste Fournier, le résultat du scrutin européen « pourrait engendrer un changement de paradigme » à même de « rebattre les cartes économiques et industrielles » à l’échelle du continent.
Happening, suspension de séance et passes d’armes sur le conflit israélo-palestinien… Récit d’une journée de chaos au Palais-Bourbon.
Plusieurs élus de gauche se sont habillés de sorte à former le drapeau palestinien dans l’hémicycle ce mardi 4 juin, tandis qu’une députée Insoumise en a agité un.
Le président du Sénat affirme qu’il ne brigue pas l’Hôtel de Matignon, alors que son parti Les Républicains multiplie les critiques à l’encontre d’Emmanuel Macron.
Le rapprochement entre les Insoumis et les membres du média Paroles d’honneur, acquis aux thèses racialistes et antisémites, tend un miroir sur une stratégie électorale mortifère.
Qui agresse qui ? Les débats télévisés des élections européennes dessinent aussi les stratégies électorales des candidats. Les punchlines et les coups sont préparés, répétés, calibrés.
La ministre de la Culture, qui votera pour la majorité présidentielle, estime que le programme du candidat PS-Place publique aux européennes manque de « propositions concrètes ».
Pour exister face aux autres listes de gauche, la tête de liste du Parti communiste français (PCF) axe sa campagne sur le pouvoir d’achat et le droit du travail.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Le Premier ministre joue les doublures de la tête de liste sans égards excessifs. Une attitude cavalière, voire contre-productive.
EUROPÉENNES, LE JOUR D’APRÈS (1/5). Le scrutin pourrait marquer une rupture à même de créer les conditions d’un accord avec la droite. Seule issue pour échapper à la motion de censure et à la paralysie du quinquennat, plaident certains stratèges.
LA CHRONIQUE DE SERGE RAFFY. En venant à la rescousse de Valérie Hayer sur Radio France, le Premier ministre a subi les foudres de l’opposition de tous bords.
ENTRETIEN. La journaliste de CNews publie « Femmes en politique, premier bilan ». Ce qu’elle dit de Marine Le Pen, Mathilde Panot et de CNews.
Le Premier ministre a fait irruption sur une scène où la tête de liste de la majorité aux élections européennes était en train de débattre.
Plafonnant à 5,5 % dans les sondages, Marion Maréchal, tête de liste de Reconquête !, entend défendre une « Europe des nations et de la civilisation ».
Emmanuel Macron doit s’exprimer ce jeudi 6 juin à 20 heures dans les journaux télévisés de TF1 et France 2. Une prise de parole « totalement injuste » pour François-Xavier Bellamy, tête de liste LR.
Si Marie Toussaint, tête de liste des Écologistes au scrutin européen, fait campagne sur les thèmes habituels de son parti, elle insiste aussi sur l’immigration et la réforme des institutions.
Trente-huit listes seront candidates le dimanche 9 juin, un record pour les élections européennes. Coup de projecteur sur cinq candidatures confidentielles.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Une affiche électorale assure que les gendarmes votent RN. Une insulte au devoir de réserve et aux règles élémentaires de la démocratie.
Des différends idéologiques et stratégiques empêchent nationaux-populistes et nationaux-conservateurs de former un groupe, condamnant ainsi le RN à la marginalité à Strasbourg.
Le parti de Marine Le Pen a diffusé des visuels appelant militaires et gendarmes à voter pour la liste de Jordan Bardella le 9 juin prochain.
Trois jours avant les élections européennes, le président de la République prendra la parole dans les journaux télévisés de TF1 et de France 2.
Dans un texte publié sur son blog, le leader de La France insoumise est revenu sur l’interview de Benyamin Netanyahou sur LCI.
Manon Aubry, tête de liste pour La France insoumise aux européennes, défend un programme similaire, dans l’esprit, à celui de la Nupes. Voici ses principales propositions.
La ministre de la Culture a pris la parole, samedi, à la suite d’un incident au musée d’Orsay où une œuvre de Claude Monet a été visée par une activiste écologiste.
François-Xavier Bellamy, tête de liste des Républicains (LR) aux élections européennes, est en position de challenger. Avec sa liste Union de la droite et du centre, il veut « faire entendre la voix des Français en Europe ».
Jordan Bardella dispose toujours d'une très large avance (32,5%) sur Valérie Hayer (16%), selon un sondage Elabe pour BFMTV et La Tribune Dimanche.
Raphaël Glucksmann est la tête de liste « Réveiller l’Europe », qui allie sa formation Place publique au Parti socialiste. Troisième homme dans les sondages, il entend réarmer une « Europe puissante » et mener une « révolution écologique européenne ». Voici son programme.
LES MYSTIFICATEURS DE L’EUROPE (5/5). Les responsables politiques attribuent l’inflation normative aux instances européennes. En oubliant de balayer devant leur porte.
Dans un sondage Cluster17 pour « Le Point », Jordan Bardella passe un nouveau cap tandis que Valérie Hayer réalise une (très) mauvaise campagne.
ÇA RESTE ENTRE NOUS. Candidate aux européennes sur la liste de Guillaume Lacroix (PRG), l’ex-secrétaire d’État du quinquennat Hollande veut incarner une gauche laïque et universaliste.
Valérie Hayer mène la liste de la majorité présidentielle en vue des élections européennes du 9 juin. Malmenée dans les sondages, elle défend un programme en phase avec les idées de l’actuelle Commission européenne. En voici les principales propositions.
LA CHRONIQUE DE MICHEL RICHARD. La France a récemment rendu hommage à Pompidou et à Giscard. Le temps leur a rendu justice. Macron peut encore espérer.
Avec sa liste « La France revient, l’Europe revit ! », Jordan Bardella, le président du Rassemblement national et tête de liste aux élections européennes, s’est imposé comme le favori du scrutin dans les sondages d’intentions de vote. Voici son programme.
LES MYSTIFICATEURS DE L’EUROPE (4/5). Nationaliser les succès européens et européaniser les échecs français : c’est la stratégie de tous les gouvernements.
LA LETTRE DU PALAIS. L’eurodéputé, tête de liste PS-Place publique, sait que tout va se jouer dans la dernière ligne droite de cette campagne.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. La patronne du RN aime se livrer publiquement à la divination. Le plus souvent, les faits lui donnent tort. Mais cela ne lui nuit guère…
Si les européennes virent au drame pour Les Républicains, le député du Lot, qui défend une droite sociale et populaire au service des plus modestes, n’exclut pas de s’affranchir de son camp.
Plus de 2 000 personnes ont protesté devant le siège de la chaîne contre la diffusion d’un entretien avec le Premier ministre israélien par LCI. Les manifestants ont été rejoints par plusieurs cadres LFI.
Et aussi : Olivier Faure menacé par les siens ; le guide (Michelin) du Débarquement ; Attal, un Premier ministre qui ne s’use pas trop vite ; Bompard sait bien que la Nupes est morte…
Sur le réseau social X, le président de la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a « condamné avec force » un message publié quelques heures plus tôt par son parti sur l’Algérie.
LA CHRONIQUE DE SERGE RAFFY. Le duo des anciens sort du bois, en pleine campagne des européennes. Leur cible : Emmanuel Macron, le président feu follet. Peut-on imaginer leur retour en vue de 2027 ? Quoi qu’ils disent, cette perspective est dans le coin de leur tête.
Parmi ses propositions, le député Renaissance de l’Oise préconise de supprimer la métropole du Grand Paris, de réduire le nombre d’élus ou encore de rétablir le cumul des mandats.
LES MYSTIFICATEURS DE L’EUROPE (3/5). C’est le manque de connaissances, d’intérêt et d’implication des élites qui rend possible approximations et manipulations.
Marine Le Pen et Jordan Bardella ont répondu aux rumeurs sur l’éventuel retour de Marion Maréchal au sein du Rassemblement national, parti qu’elle a quitté en 2017, avant de rallier Éric Zemmour.
À dix jours des élections européennes, Valérie Hayer, tête de liste macroniste, est en difficulté dans les sondages, distancée par celle du Rassemblement national.
Un peu plus que les autres élus LFI, le député de Roubaix multiplie les déclarations anti-israéliennes. Il y a un intérêt tout personnel.
Et aussi : Jacques Audiard, primé à Cannes pour « Emilia Perez » ; Geneviève Almouzni, prix L’Oréal-Unesco. En panne : Issack Abdi Sadik, Sadri Fegaier, Stéphane Haussoulier.
ENTRETIEN EXCLUSIF. Le Premier ministre nationaliste hongrois, figure de proue des populistes du Vieux Continent, livre au « Point » ses espoirs et ses craintes à l’approche des européennes.
Avec 38 listes inscrites, le scrutin du 9 juin suppose une organisation millimétrée. De l’affichage au bureau de vote, certaines mairies doivent rivaliser d’astuces.
LES MYSTIFICATEURS DE L’EUROPE (2/5). Lorsque l’occasion se présente, un petit mensonge sur le fonctionnement de l’Union européenne n’effraie pas nos dirigeants les plus europhiles.
Le sénateur Reconquête !, également condamné à six mois de prison avec sursis, a indiqué faire appel de cette décision ce mercredi 29 mai.
ENTRETIEN. Logement, transport, emploi… La présidente de Bordeaux Métropole détaille sa feuille de route pour les deux années à venir.
Des centres commerciaux repensés, un village industriel créé, un nouveau cours végétalisé… Ces projets, essentiellement privés, pourraient redessiner la métropole.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Les sanctions contre les députés pleuvent comme jamais au Palais-Bourbon. La dernière en date concerne un élu LFI qui a brandi un drapeau palestinien dans l’hémicycle.
Après le coup de gueule de son candidat contre la confiscation de la campagne, la droite se prend à rêver de sauver sa peau, sans illusions. Coulisses d’un sursaut.
Le texte, qui vise à restreindre les traitements et actes médicaux chez les personnes transgenres mineures, a provoqué de vifs débats. Son avenir à l’Assemblée est incertain.
En Allemagne, le président s’est refusé à « une reconnaissance d’émotion », après une séance houleuse à l’Assemblée lors de laquelle un député LFI a brandi un drapeau palestinien.
LA CHRONIQUE D’ARTHUR CHEVALLIER. L’exaspération des partis d’opposition au débat télévisé entre Gabriel Attal et Jordan Bardella révèle une faillite à renouveler le corps politique.
Le rapprochement entre la cheffe de file du Rassemblement national et la tête de liste de Reconquête ! aux européennes déstabilise le camp nationaliste.
Le député LFI Sébastien Delogu a brandi un drapeau palestinien à l’Assemblée ce mardi 28 mai. La séance a été suspendue et l’élu, exclu 15 jours. Meyer Habib a été mêlé à plusieurs incidents.
À quelques jours du scrutin, « Le Point » raconte comment les responsables politiques français, europhobes ou non, instrumentalisent l’UE pour séduire leur électorat, quitte à tordre la réalité.
LES MYSTIFICATEURS DE L’EUROPE (1/5). Aux deux extrémités de la palette politique française, l’europhobie plus ou moins dissimulée accouche de mensonges en série.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. À part le respect dû au président de la République, son ancien Premier ministre ne se sent pas débiteur. Mais alors, pas du tout !
ANALYSE. Le texte censé répondre à la crise agricole doit être voté ce 28 mai à l’Assemblée, après 10 jours de débats chaotiques. Productivisme ou décroissance ? Le gouvernement n’a pas tranché.
À moins de deux semaines du scrutin du 9 juin, les huit têtes de liste ont débattu sur BFMTV pendant plus de trois heures, dans des échanges souvent inaudibles.
LA CHRONIQUE DE SERGE RAFFY. Omniprésent sur tous les terrains, le suractif président veut occuper tous les rôles. Mais plus il s’agite, moins il semble servir son camp…
Un think tank conservateur critique dans un rapport un manque de pluralisme, notamment à France Inter. Radio France dénonce une opération de déstabilisation.
ENTRETIEN. L’ancien Premier ministre, rocardien, qui a longtemps piloté le dossier de la Nouvelle-Calédonie, s’élève contre la tentative d'Emmanuel Macron de passer en force.
À deux semaines du scrutin, les 38 listes inscrites vont tenter de convaincre les électeurs français appelés aux urnes pour élire les 81 députés au Parlement européen.
À Nouméa, les forces de l’ordre reprennent le terrain mètre après mètre. Elles ont reçu ce dimanche le soutien de la ministre des Outre-mer, Marie Guévenoux, qui prône l’apaisement.
LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. La présidentiable ne veut pas débattre tandis que le président l’y invite. Tous les deux commettent une faute tactique, et peut-être pire…
L’Assemblée nationale examine dans l’hémicycle en première lecture jusqu’au 11 juin le projet voulu par Emmanuel Macron mais profondément remanié par les députés en commission.
Après deux années de déficit, la balance commerciale de l’Union européenne est redevenue excédentaire en 2023. Une embellie dont la France ne profite pas.
L’ancien Premier ministre Édouard Philippe a jugé qu’une telle confrontation serait « surprenante » à deux semaines des élections européennes.
Le président a toutefois rappelé sa volonté que les élus calédoniens s’entendent sur « un accord global qui viendrait enrichir le texte déjà voté par le Parlement ».
Le chef de l’État invite la leader du Rassemblement national à débattre avant les élections européennes, le 9 juin prochain.
Certaines communes n’ont pas assez de matériel pour réussir à afficher les 38 listes. Elles doivent rivaliser d’ingéniosité, alors que chaque panneau coûte au moins 100 euros.
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