Émeutes en Nouvelle-Calédonie : ce que l'on sait de la mort d'un deuxième gendarme ce jeudi
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Émeutes en Nouvelle-Calédonie : ce que l'on sait de la mort d'un deuxième gendarme ce jeudi

Un autre gendarme a été tué en Nouvelle-Calédonie. [Delphine MAYEUR/AFP]

Après l’annonce de la mort de Nicolas Molinari âgé de 22 ans ce mercredi, un deuxième militaire a perdu la vie à la suite «d'un tir accidentel», selon Gérald Darmanin.

Les forces de l’ordre à nouveau en deuil. Ce jeudi, Gérald Darmanin a annoncé la mort d’un deuxième gendarme mobile à la suite «d'un tir accidentel». Ce drame intervient au lendemain de la mort de Nicolas Molinari, un gendarme de 22 ans appartenant à l'escadron de Melun.  

«Il ne s'agit pas d'un tir ennemi», a précisé une source proche du dossier à l'AFP. Ce décès porte à cinq, dont deux gendarmes, le nombre de morts en Nouvelle-Calédonie depuis le début des émeutes lundi. 

Dans son message, Gérald Darmanin a fait part de sa «grande tristesse», et a expliqué que selon les «premiers éléments, le décès serait consécutif aux blessures générées par un tir accidentel, alors que les gendarmes s'engageaient pour assurer une mission de sécurisation». 

Soutien «à la famille, aux proches et aux camarades» 

Gérald Darmanin a ajouté apporter «tout son soutien à la famille, aux proches et aux camarades» du gendarme tué. 

De son côté, l'autre gendarme tué, Nicolas Molinari, avait quant à lui succombé à ses blessures après avoir été victime d’un tir à la tête dans le cadre d’une mission de maintien de l’ordre à Plum, non loin de Nouméa. 

«Douleur et vive émotion à la suite du décès de notre camarade de l'escadron de Melun dans l'exercice de ses fonctions. Nos sincères condoléances et tout notre soutien à sa famille, à ses proches et à ses camarades», avait écrit la Gendarmerie nationale sur X. 

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