superbia en français - Latin-Français dictionnaire | Glosbe

Traduction de "superbia" en français

orgueil, fierté, arrogance sont les meilleures traductions de "superbia" en français. Exemple de phrase traduite : Id sane inculcat Hieronymus (Ibid., 6, 7), multumque Augustinus, qui, iusta cum querela, « Si unaquaeque disciplina, inquit, quamquam vilis et facilis, ut percipi possit, doctorem aut magistrum requirit, quid temerariae superbiae plenius, quam divinorum sacramentorum libros ab interpretibus suis nolle cognoscere (Ad Honorat., De utilit. cred., XVII, 35) ». ↔ Telle est la doctrine de saint Jérôme et de saint Augustin, qui se plaint avec juste raison en ces termes : " Si toute science, quoique peu importante et facile à acquérir, demande, comme c'est évident, à être enseignée par un homme docte, par un maître, quoi de plus orgueilleusement téméraire que de ne pas vouloir connaître les Livres sacrés d'après l'enseignement de leurs interprètes (De util. cred. XVII, 35).

superbia noun feminine grammaire
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dictionnaire latin - français

  • orgueil

    noun masculine
  • fierté

    noun feminine
  • arrogance

    noun feminine
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    • superbe
    • vanité
    • démesure
    • hauteur
    • hybris
    • morgue
    • présomption
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Superbia
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  • orgueil

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Traductions de "superbia" en français en contexte, mémoire de traduction

Id sane inculcat Hieronymus (Ibid., 6, 7), multumque Augustinus, qui, iusta cum querela, « Si unaquaeque disciplina, inquit, quamquam vilis et facilis, ut percipi possit, doctorem aut magistrum requirit, quid temerariae superbiae plenius, quam divinorum sacramentorum libros ab interpretibus suis nolle cognoscere (Ad Honorat., De utilit. cred., XVII, 35) ».
Telle est la doctrine de saint Jérôme et de saint Augustin, qui se plaint avec juste raison en ces termes : " Si toute science, quoique peu importante et facile à acquérir, demande, comme c'est évident, à être enseignée par un homme docte, par un maître, quoi de plus orgueilleusement téméraire que de ne pas vouloir connaître les Livres sacrés d'après l'enseignement de leurs interprètes (De util. cred. XVII, 35).
Oportet insuper omnibus apte inculcentur tradita a Christo morum documenta, ut discant sui imperium exercere, motus animi appetentes regere, tumentem superbiam deprimere, parere auctoritati, iustitiam colere, omnes caritate complecti, disparis in civili convictu fortunae acerbitatem christiana dilectione temperare, a terrenis bonis avocare mentem, quam Providentia dederit sortem ea esse contentos, suisque tuendis officiis benigniorem efficere, ad futuram vitam contendere spe sempiternae mercedis.
Le pasteur des peuples doit, de plus, leur inculquer comme il convient les leçons morales enseignées par le Christ, leur apprendre à tenir les rênes de leur raison, à maîtriser les mouvements passionnés du cœur, à endiguer les débordements de l'orgueil, à respecter l'autorité, à pratiquer la justice, à embrasser tous les hommes dans un même amour, à adoucir par la charité chrétienne les aigreurs qui naissent des inégalités de fortune dans la vie sociale, à élever les âmes au-dessus des biens terrestres, à se contenter de la condition accordée par la Providence, à modérer la fougue des revendications, à tendre enfin vers la vie future dans l'attente confiante de la récompense éternelle.
Superbiae caecitas protoparentes nostros ita fefellit ut se supremos esse crederent suique plane iuris et posse idcirco excludere cognitionem a Deo profectam.
L'aveuglement de l'orgueil donna à nos premiers parents l'illusion d'être souverains et autonomes, et de pouvoir faire abstraction de la connaissance qui vient de Dieu.
« Concupiscentia carnis, concupiscentia oculorum ac superbia vitae » haerent in homine intimo quasi hereditas peccati originalis, ex quo necessitudo cum mundo, a Deo condito hominisque dominationi tradito [49], in corde hominis multipliciter est deformata.
«La convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie» se trouvent à l'intérieur de l'homme comme un héritage du péché originel, à cause duquel le rapport avec le monde créé par Dieu et donné à l'homme pour qu'il le soumette(49) a été déformé de diverses façons dans le cœur humain.
Quin etiam censemus, interiore hac animi libertate, quam parit evangelicae paupertatis studium, acriores nos reddi aptioresque ad intellegendos humanos eventus, qui cum re oeconomica conectantur; nempe ubi aequum ac saepe severum iudicium a nobis est ferendum de divitiis ac de vitae commodis, ubi quam promptissime ac largissime est egentibus subveniendum; ubi denique enitendum, ut opes non contentionum, cupiditatis vel superbiae inter homines causa exsistant, verum ut, duce iustitia et aequitate, communi utilitati inserviant, atque adeo diligentiore providentia distribuantur.
Nous pensons même que la libération intérieure produite par l'esprit de la pauvreté évangélique rend plus sensible et plus capable de comprendre les phénomènes humains liés aux facteurs économiques, quand il s'agit, soit de porter sur la richesse et sur le progrès dont elle peut être l'origine l'appréciation juste et souvent sévère qu'elle mérite, soit d'accorder à l'indigence l'intérêt le plus attentif et le plus généreux ; soit, enfin, de désirer que les biens économiques ne soient pas source de luttes, d'égoïsme, d'orgueil parmi les hommes, mais soient appliqués par les voies de la justice et de l'équité au bien commun et, par le fait, plus providentiellement distribués.
Re quidem vera in sacris Bibliis urbs saepe perhibetur locus peccati et superbiae, qua elatus homo sibi fidit vitam sine Deo se instituere posse, quin immo potentem adversus cum sese estendere.
Dans la Bible, la ville est souvent le lieu du péché et de l’orgueil, orgueil d’un homme qui se sent assez assuré pour bâtir sa vie sans Dieu et même s’affirmer puissant contre lui.
Cum venit, aulaeis jam se regina superbis / aurea composuit sponda mediamque locavit.
Il arrive : déjà la superbe Didon, / au milieu de ses grands, dont la cour l'environne, / presse un lit somptueux qu'un dais pompeux couronne.
Cum venit, aulæis jam se regina superbis / aurea composuit sponda mediamque locavit.
Il arrive : déjà la superbe Didon, / au milieu de ses grands, dont la cour l'environne, / presse un lit somptueux qu'un dais pompeux couronne.
In maximis enim rebus tota errare via audacter ingressi, praecipiti cursu ad extrema delabuntur, sive humanae imbecillitate naturae, sive consilio iustas superbiae poenas repetentis Dei.
Audacieusement engagés dans la voie de l'erreur sur les plus importantes questions, ils sont entraînés et comme précipités par la logique jusqu'aux conséquences les plus extrêmes de leurs principes, soit à cause de la faiblesse de la nature humaine, soit par le juste châtiment dont Dieu frappe leur orgueil.
In hoc « loco » versantur cum omnibus vitiosis suae naturae humanae radicibus, cum omnibus effectibus « superbiae vitae », tota illa proclivitate — e nimio sui amore manante — ad dominandum ac servitium detrectandum, sed per ipsum oboedientiae votum constituunt se ipsos transformare ad Christi similitudinem, qui « per oboedientiam homines redemit et sanctificavit ».
Ils se trouvent en ce «lieu», avec tout l'arrière-plan pécheur de leur nature humaine, avec tout cet héritage «de l'orgueil de la vie», avec cette tendance égoïste à dominer et non à servir; et précisément par le vœu d'obéissance, ils décident de changer pour devenir semblables au Christ qui, «par son obéissance..., a racheté les hommes et les a sanctifiés».
Superbiam fuge, neque eam in animum aut in sermonem sinas obrepere.
Évite l'orgueil, et ne le laisse se glisser ni dans ton âme ni dans tes discours.
Nam concupiscentia carnis, idest voluptatum cupiditatibus, nullam capitaliorem pestem dixeris cogitari posse, non solum ad domus sed ad ipsas civitates perturbandas; ex concupiscentia oculorum, idest habendi cupiditate, acerbae illae nascuntur contentiones civilium ordinum, suis cuiusque commodis plus nimio inservientium; superbia vitae autem, idest studio ceteris omnibus dominandi, adductae partes politicae sic inter se digladiari consueverunt, ut nec crimine maiestatis, nec perduellione, nec ipso patriae parricidio abstineant.
On ne saurait, en effet, imaginer peste plus mortelle que la concupiscence de la chair, c'est-à-dire la recherche effrénée du plaisir, pour bouleverser non seulement la famille, mais les États mêmes ; la concupiscence des yeux, c'est-à-dire la soif des richesses, donne naissance à cette lutte acharnée des classes, attachées chacune outre mesure à ses avantages particuliers ; quant à l'orgueil de la vie, c'est-à-dire la passion de dominer tous les autres, il a en propre d'inciter les partis politiques à des guerres civiles si âpres qu'ils ne reculent ni devant les attentats de lèse majesté, ni devant le crime de haute trahison, ni jusqu'au meurtre même de la patrie.
Demum, quod fere medicinae fiduciam tollit, disciplinis ipsi suis sic animo sunt comparati, ut dominationem omnem spernant nullaque recipiant frena; et freti mendaci quadam conscientia animi, nituntur veritatis studio tribuere quod uni reapse superbiae ac pervicaciae tribuendum est.
Enfin, et ceci parait ôter tout espoir de remède, leurs doctrines leur ont tellement perverti l'âme qu'ils en sont devenus contempteurs de toute autorité, impatients de tout frein : prenant assiette sur une conscience faussée, ils font tout pour qu'on attribue au pur zèle de la vérité ce qui est oeuvre uniquement d'opiniâtreté et d'orgueil.
Deinde colloquium nostrum necesse est ea lenitas comitetur, quam Christus ut a se ipso disceremus hortatus est: discite a me, quia mitis sum et humilis corde (56); quandoquidem indecorum est colloquium nostrum superbia tumere, aculeata usurpare verba, alios acerbe laedere.
2. - Un autre caractère est la douceur, celle que le Christ nous propose d'apprendre de lui-même : « Mettez. vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur » (Mt., 11, 29) ; le dialogue n'est pas orgueilleux ; il n'est pas piquant ; il n'est pas offensant.
Silvestris agrorum partitio redditur fertilis – tunc omnino cum eodem tempore superbiae arbores succiduntur, cum id omne evellitur silvestris generis quod in animabus crescit et sic terra paratur in qua panis pro corpore animaque prosperari potest[13].
Un terrain sauvage est rendu fertile – précisément tandis que sont en même temps abattus les arbres de l'orgueil, qu'est enlevé ce qui pousse de sauvage dans les âmes et qu'est préparé ainsi le terrain sur lequel peut prospérer le pain pour le corps et pour l'âme.[
Quem divinae Sapientiae ordinem ipse beatissimus Doctor Gentium, amante Spiritu Sancto, testatur; cum enim veterum sapientum meminisset, qui cognitum a se et exploratum omnium rerum Conditorem adorare et revereri renuissent: «Propterea, inquit, tradidit illos Deus in desideria cordis eorum, in immunditiam, ut contumeliis afficiant corpora sua in semetipsis»; et iterum: «propterea tradidit illos Deus in passiones ignominiae» (77). «Deus (enim) superbis resistit, humilibus autem dat gratiam» (78), sine qua, quemadmodum idem Doctor Gentium monet, homo nequit rebellem coercere concupiscentiam (79).
» (76) Le bienheureux Docteur des nations lui-même, sous le souffle de l’Esprit-Saint, atteste cet ordre établi par la divine Sagesse ; après avoir rappelé les sages de l'antiquité qui, ayant connu avec certitude l'existence du Créateur de toutes choses, avaient cependant refusé de l'adorer et de lui rendre un culte, il poursuit en ces termes : « C'est pourquoi Dieu les a livrés aux désirs de leur cœur, à l'impureté, en sorte qu'ils déshonorent leurs corps » il dit encore : « C'est pourquoi Dieu les a livrés aux passions honteuses » (77), car « Dieu résiste aux superbes, et il donne aux humbles sa grâce » (78), sans laquelle, comme l'enseigne le même Docteur des nations, l'homme ne peut dompter la concupiscence rebelle (79).
Sic cupitum superbiae intervallum efficitur brevius, nec difficulter impetrabitur ut ordinis utriusque, iunctis amice dextris, copulentur voluntates.
Avec elle, se trouverait diminuée cette distance que l'orgueil se plaît à maintenir; on obtiendrait sans peine que des deux côtés on se donnât la main et que les volontés s'unissent dans une même amitié.
Nam et iurgia serent, et plus minus latentes ciebunt rebelliones, triste sane spectaculum populo exhibentes quasi discrepantium in coetu nostro voluntatum, quum deploranda haec paucorum superbiae et contumaciae sint adscribenda.
Ils sèmeront des divisions, ils fomenteront des rebellions plus ou moins latentes, et le peuple fidèle, étonné de ce spectacle bien triste certes, pourra croire à un discord des volontés dans la société chrétienne ; et toute la faute de ce malheur retombe sur l'orgueilleuse opiniâtreté de quelques-uns.
Id etiam monere volumus, hunc praecipuum veluti cardinem sanctae Ecclesiae non esse supremam auctoritatem superbia spirituali tumentem vel humanae dominationi inhiantem, sed primatum famulatus, ministerii, amoris.
Et il faut aussi considérer que ce pivot central de la sainte Eglise ne veut pas constituer une suprématie d'orgueil spirituel et de domination humaine, mais une supériorité de service, de ministère et d'amour.
"Non nos aut ferro Lybicos populare Penates / venimus, aut raptas ad litora vertere praedas: / non ea vis animo, nec tanta superbia victis".
" Venons-nous, violant les droits sacrés des hommes, / porter ici le fer et le feu destructeur ? / Non : tant d'audace, hélas ! ne sied pas au malheur. "
Constat vero, his in casibus, certam quandam exsistere « superbiam philosophicam » quae suos attollere audeat oculos longe prospicientes at imperfectos ad interpretationem aliquam universalem.
Il est cependant évident qu'entre en jeu, dans ces cas, une certaine « superbe philosophique » qui prétend ériger sa propre perspective imparfaite en lecture universelle.
At si rerum ordinem providentissime constitutum immutare et perturbare hominum temeritas aut improbitas velit, tum vero etiam sapientissime atque utilissime instituta aut obesse incipiunt, aut prodesse desinunt, vel quod vim iuvandi mutatione amiserint, vel quod tales Deus ipse poenas malit de mortalium superbia atque audacia sumere.
Mais si la témérité ou la malice des hommes veut changer et troubler l'ordre des choses établi avec la plus admirable providence, les institutions les plus sagement et les plus utilement disposées deviennent nuisibles ou cessent d'être utiles, soit qu'elles aient en se modifiant perdu leur efficacité pour le bien, soit que Dieu lui-même veuille tirer ce châtiment de l'orgueil et de l'audace des hommes.
His in rerum adiunctis, viva cum Christo coniunctio decretorium rectam semitam tenendi praebet adiumentum: non in superbiam incidere, quae hominem spernit ac nihil reapse aedificat, sed potius destruit, neque animi dimissioni concedere necesse est, quae impedit quominus dirigat nos amor et ita homini inserviamus.
Dans cette situation, le contact vivant avec le Christ est le soutien déterminant pour rester sur la voie droite : ni tomber dans un orgueil qui méprise l’homme, qui en réalité n’est pas constructif mais plutôt détruit, ni s’abandonner à la résignation, qui empêcherait de se laisser guider par l’amour et, ainsi, de servir l’homme.
Ob congruentiam, paenitentiae necessitas et ipsa amplificata est; sicut etiam quarundam exclusionum conscientia, quae caritatem fraternam vulnerant; quarundam ignoscendi recusationum; cuiusdam superbiae, illius non evangelici se claudendi in “reliquorum” condemnatione; alicuius contemptus, qui oritur ex prava arrogantia.
Corrélativement, la nécessité de la pénitence a été aussi plus largement ressentie: on prend conscience de certaines exclusions qui blessent la charité fraternelle, de certains refus de pardonner, d'un certain orgueil, de l'enfermement dans la condamnation des « autres » de manière non évangélique, d'un mépris qui découle de présomptions malsaines.
Deus aeterno stat consilio suo, etiam cum homo, a diabolo impulsus (43) et superbia abreptus, male utitur libertate, sibi data ut amaret bonumque magnanimiter persequeretur, oboedientiam Domino ac Patri suo debitam renuendo; etiam cum homo, nedum amore respondeat Dei amori, ei quasi aemulo repugnat, dum fallitur nimis suis viribus fidens; unde efficitur ut necessitudo inter ipsum atque illum, qui eum creavit, dirimatur.
Dieu est fidèle à son dessein éternel même quand l'homme, poussé par le Mauvais(43) et entraîné par son orgueil, abuse de la liberté qui lui a été donnée pour aimer et rechercher généreusement le bien, refusant ainsi d'obéir à son Seigneur et Père; et aussi quand l'homme, au lieu de répondre par l'amour à l'amour de Dieu, s'oppose à lui comme à un rival, se leurrant lui-même et présumant de ses forces, pour en arriver à la rupture des rapports avec celui qui l'a créé.