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Stade Brestois. Steeve Elana : «Je retiens la joie du vestiaire» | Le Télégramme
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Stade Brestois. Steeve Elana : «Je retiens la joie du vestiaire»
Sept matchs sans prendre de but! Steeve Elana, en pleine confiance, aligne les prestations de haut niveau, «Mais je préfère garder l'image des dix mecs devant qui ne lâchent rien», dit-il sans fausse modestie, après une nouvelle grande prestation face à Bordeaux.
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«Vous me l'apprenez. Mais je vous mentirais si je vous disais que c'était ma priorité. Maintenant, c'est sûr que plus ça va, moins j'ai envie d'en prendre. C'est notre pain quotidien à nous, gardiens ou défenseurs, de ne pas prendre des buts. Mais, oui, je suis obligé d'y penser puisque tout le monde m'en parle». Comment expliquez-vous la série de quatre victoires à l'extérieur du Stade Brestois?
«Ça me parle plus déjà. On le vit paisiblement, on joue comme on sait jouer, on ne se prend pas pour d'autres et on profite des bons moments que la Ligue 1 nous offre. Après Arles (0-0), certains ont peut-être pensé qu'on allait se refermer sur nous-mêmes mais ça n'a fait que décupler notre envie. On compte 18 points après 10 journées, on avance vers un maintien rapide. De cette série, je garde l'image de 10 mecs devant moi qui ne lâchent rien et qui font des efforts colossaux, voilà ce que ça me fait dire». Comment analysez-vous cette victoire à Bordeaux?
«On s'est très bien adapté à tout ce que Bordeaux nous a proposé. On a su faire face lors du sursaut bordelais après le penalty raté de Nolan (Roux). On a su resserrer les lignes et on sait jouer plus bas quand il le faut. Le premier but change tout car il ouvre le match. Forcément, quand on joue à Bordeaux, il y a une surconcentration, une surmotivation de la part des joueurs. Le symbole de notre victoire et de notre état d'esprit, c'est Nolan, qui, après son penalty raté, a trouvé les ressources pour faire la différence sur le côté». Comment peut-on expliquer la force qui se dégage de l'équipe?
«On joue sans pression. Quand le coach est arrivé il y a un an et demi, il a trouvé des joueurs au fond du trou et psychologiquement usés. Nous n'étions pas loin de descendre mais il nous a dit: vous avez le droit de perdre mais pas de venir vous entraîner sans le sourire. C'est la première fois de ma carrière qu'un entraîneur me dit ça, que j'ai le droit de perdre. Il ne nous a jamais interdit la contre-performance tant que l'on joue avec nos convictions. C'est une grosse marque de confiance, alors on a pris nos responsabilités». On va parler de plus en plus de Brest maintenant...
«Oui, oh ça... Bon, un retour médiatique, ça serait bien car le club le mérite. Mais je préfère retenir la joie du vestiaire».
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