Critique du film Ogre - AlloCiné
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    Ogre
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    RedArrow
    RedArrow

    1 561 abonnés 1 505 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2022
    Il était une fois une institutrice et son jeune fils partis vivre dans un village reculé de la campagne française pour y prendre un nouveau départ. Mais, en ces lieux, quelque chose semblait rôder, se repaissant des plus jeunes créatures prises au piège de son ombre funeste...

    Après "Teddy" et "La Nuée", on pourrait presque considérer "Ogre" comme le dernier volet d'un triptyque distribué sous le label "The Jokers" et dont la directive centrale serait de prendre pour base le cadre de la ruralité française en vue de donner de nouvelles perspectives au cinéma de genre national.
    Dans la continuité de ces deux longs-métrages, l'élément fantastique central de "Ogre" (et donc le monstre de conte qui lui donne son titre) est une fois de plus utilisé avant tout comme un ressort métaphorique, représentation d'une part d'ombre enfouie et grandissante chez l'un de ses personnages principaux et dont les manifestations horrifiques ont pour but de conduire à une possible (et peut-être dramatique) catharsis des maux qui l'habitent.
    Ici, le film d'Arnaud Malherbe s'appuie donc sur le mal-être de Jules, un petit garçon ostracisé par les jeunes de son âge à cause de ses problèmes d'audition et surtout déchiré entre le traumatisme d'un passé violent et l'arrivée d'une figure masculine invasive (le médecin du village) dans la nouvelle vie que sa mère et lui s'étaient choisis pour se reconstruire ensemble. Ainsi, dans une espèce d'échelle croissante et évolutive de "bulles" amenées irrémédiablement à se percuter entre elles dans le dernier acte, la forteresse de solitude entretenue par le petit garçon grâce au déclenchement de son appareil auditif va tenter de faire rempart à la dynamique familiale bouleversée par celui qui y est considéré comme un intrus, elle-même sous l'influence directe du désespoir de ce coin de campagne laissé à son sort et désormais habité par une obscurité intemporelle y ayant repris ses droits pour se nourrir de ses êtres les plus innocents...

    Toutefois, même si son récit essaie d'y mêler d'autres ingrédients comme l'imaginaire d'un manga dont Jules est fan (bon, des deux pages qu'il paraît lire à l'infini) et quelques références amusantes aux contes de fée détournées dans le quotidien de ce village, il faut hélas reconnaître que "Ogre" suit un chemin extrêmement balisé qui risque de décevoir à la fois les habitués du fantastique utilisé à des fins métaphoriques et, bien sûr, ceux venus simplement pour frissonner devant un film d'horreur... disons plus premier degré.
    Non pas que "Ogre" soit déplaisant à suivre, loin de là même, le film bénéficie d'une belle atmosphère, saisit toute la douleur émotionnelle émanant de ce fils et de cette mère pour l'exprimer visuellement (ce superbe plan fixe sur le visage d'Ana Girardot, toujours irréprochable, hésitant littéralement à embrasser une nouvelle intimité) et l'inscrit de façon cohérente à sa toile de fond où s'entremêle le mythe de l'ogre à la désertification réaliste d'un village ramené à des peurs ancestrales, mais il le fait finalement de manière un peu trop scolaire, peinant à trouver un langage inédit au-delà des canons aujourd'hui devenus familiers de l'elevated horror pour prétendre en devenir une nouvelle référence, et ce même au sein de la petite brèche entrouverte récemment par le cinéma de genre français. C'est d'ailleurs sans doute là que le bât blesse le plus: si on devait le comparer à ses aînés "Teddy" et "La Nuée", cet "Ogre" serait clairement le Petit Poucet de cette trilogie rurale fictive par son manque d'audace. Un comble à s'en perdre volontairement en forêt.
    lionelb30
    lionelb30

    394 abonnés 2 514 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Film énervant. Une chose réussie quand même , c'est la tension efficace. Pour le reste , on ne comprend pas l' histoire. Soit l'histoire est réellement fantastique , et c'est stupide , soit c'est une allégorie psychologique , et c'est incompréhensible donc dans les deux cas , c'est raté.
    Roger D
    Roger D

    66 abonnés 787 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 avril 2022
    Déjà passons la catégorie de ce film de "horreur" à "épouvante" cela évitera de penser à des effets d'hémoglobines et de bestioles en gros plan. Bon pas le genre des films français , plus dans le bruitage, les ombres etc...pas un soucis quand c'est prenant sauf que ici et bien le film l'est très peu ou trop peu pour investir un peu de sa frousse. Les apparitions sont trop brève et trop peu stressante pour nous faire un chouia peur...pourtant il y avait matière a entre cette forêt juste à côté de ce village, la baraque isolé et des secrets bien gardés (d''ailleurs pas compris l'idée de pas faire ce qu'il faut pour arrêter bref...) etc... Malheureusement pas pris dans dedans et puis la nana qui quitte une vie où son ex les maltraitaient et bim à peine arrivé s'amourache du premier venu pas trop vieux...facile à s'en remettre apparemment. spoiler: Et puis le final avec les oiseaux...plus drôle qu'autres choses.

    NOTE : 3/10
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    704 abonnés 1 436 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2022
    La bande-annonce de ce thriller fantastique français m'avait un peu mis l'eau à la bouche, je l'avoue, surtout que j'apprécie énormément la fraîcheur et le charme de l'actrice Ana Girardot.
    Mais une fois plongé dans ce drame aux frontières du surnaturel, la déception pointe rapidement le bout de son nez...
    Le personnage central de cette histoire est un enfant de 8 ans (Jules, souffrant de surdité et portant un appareillage auditif), sa maman fait ce qu'elle peut pour l'aider à s'acclimater à cette nouvelle vie qui démarre pour eux deux dans un village perdu au fin fond du Morvan.
    On pourrait penser que le rythme volontairement mollasson n'est qu'un effet de style afin de faire monter le suspens à son paroxysme, mais plus le film avance, et plus les situations et les personnages sonnent creux, et quand le final (qu'on sentait venir) arrive enfin, c'est le soulagement de pouvoir bientôt quitter la salle qui prédomine malheureusement.
    Ce conte fantasmagorique méritait mieux que cette réalisation plate et bourrée de défauts.
    Ennuyeux et manquant de pas mal d'épaisseur.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Guiciné
    Guiciné

    135 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2022
    Un film plutôt contemplatif et lent, mais qui arrive à attirer l'attention grâce à une belle interprétation tout en retenue et sensible des acteurs.
    Un joli film avec ses qualité et ses défauts qui mérite l'attention.
    Aude Charlotte E
    Aude Charlotte E

    34 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2022
    Au rythme d'un conte et sur fond de drame social de désertification des campagnes, nous voilà plongés dans le quotidien de Jules et sa mère, récemment installés dans un petit village de campagne pour fuir les démons du passé. À travers les yeux de l'enfant nous tâtonnons entre rêves, cauchemars et réalité dans ce nouveau monde qui s'offre à eux. "Ogre" est sublime, esthétiquement, mais aussi dans la subtilité de son propos sur les névroses de l'enfance et les traumatismes du passé. Une métaphore onirique dont on ressort bercé, comme si une fable nous avait été contée. La maitrise du son est d'une très grande justesse.
    traversay1
    traversay1

    3 184 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2022
    Quand Ogre se place à hauteur d'enfant, assez souvent heureusement, le film d'Arnaud Malherbe fonctionne bien, à partir du moment où l'on en accepte l'aspect onirique et les impressions et visions nocturnes. En revanche, du côté du réalisme rural et du monde des adultes,, c'est moins accompli, voire pataud. Le film est efficace quand il chuchote et suggère, saluons d'ailleurs sa parfaite maîtrise sonore, dégageant si ce n'est une franche terreur, tout du moins un stress oppressant. En revanche, dans ce qui devrait être la grande scène finale, Ogre dévoile maladroitement la figure de l'horreur et la subtilité du film en prend un grand coup. Nourri de thématiques croisées : la violence domestique, le handicap et la cruauté enfantine, l'abandon des campagnes et sa déshérence sociale, la permanence des légendes du type Bête du Gévaudan (le Morvan et ses forêts constitue un beau terrain de jeu), le film ne les incarne pas suffisamment dans des personnages secondaires seulement esquissés à grands traits. Ogre ne se situe pas au même niveau que La Nuée dont l'enchevêtrement réussi entre réalisme et fantastique débouchait sur une œuvre organique et épidermique bien plus cauchemardesque et en même temps excitante. En dépit d'un scénario frustrant, Ogre bénéficie cependant d'une mise en scène léchée et d'une interprétation impeccable de Ana Girardot et du petit Giovanni Pucci. Pas suffisant pour nous faire frissonner dans l'obscurité d'une salle de cinéma.
    ffred
    ffred

    1 541 abonnés 3 981 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mai 2022
    Les incursions du cinéma français dans le fantastique n’ont jamais donné de grandes choses. Ce premier film confirme une fois de plus la règle. Tout est poussif ici. Une mise en scène mollassonne pour un scénario ennuyeux au possible. Cela ne décolle jamais, on ne s’attache pas aux personnages, et surtout cela ne fait absolument pas peur, même pas frissonner. Il y avait pourtant matière à quelque chose, entre violences conjugales, migration des citadins à la campagne et peurs d’enfance. Même la direction d’acteur est à peine convaincante, et pourtant j’aime beaucoup Ana Girardot (qui fait ce qu’elle peut). Le tout reste en surface et sonne totalement creux. Bref, pour moi c’est complètement raté, dommage.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    163 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 avril 2022
    c est le premier film du realisateur qui a puisser dans son enfance avec la peur du noir
    l ogre a ete conçu avec digital district et l atelier 69
    la musique est compose par flemming nordkrog
    un bon film fantastique francais il y en atrés peut en france vive le fantastique français
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    602 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 mai 2022
    Ogre échoue à être deux choses : un film de genre inventif qui impose sa vision du fantastique, un film social sur les violences conjugales, puisque le monstre en question opère dans un cadre familial marqué par une mère isolée qui va peu à peu laisser entrer un homme dans sa vie et celle de son fils, doublé d’un regard porté sur les campagnes françaises comme réservoir de contes et d’autarcie sauvage. Le récit s’avère convenu et se laisse deviner, la faute à une linéarité naïve que dessert une tendance à l’emprunt – l’appareil auditif de Jules est emprunté à A Quiet Place (John Krasinski, 2018), qui mettait en scène une fille sourde.

    La direction d’acteurs, hasardeuse, ne nous permet pas de nous attacher à des personnages qui manquent d’incarnation et d’authenticité, enfermés dans une caractérisation simpliste. En outre, le fantastique ressemble au tout-venant des productions actuelles ; sa platitude empêche notre immersion et ne participe alors pas à la transmission d’un enseignement, bien trop saillant. N’oublions pas qu’avant d’offrir une réflexion sur l’enfance et ses dangers à l’épreuve du monde, les contes exploitaient un univers merveilleux – puisque la magie en faisait partie intégrante, alors qu’ici le surnaturel se révèle par petites touches dans l’hésitation permanente entre cauchemars d’enfants et réalité – qu’ils devaient rendre crédibles et palpables.

    Rien de tel avec ce premier film aux airs de déjà-vu qui aborde la ruralité avec les gros sabots et un ancrage politique superficiel – entendre les enfants du village dire en cœur « on est chez nous » n’est pas sans évoquer un certain refrain de rassemblement.
    miouze
    miouze

    48 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Oulà ! Je me sens seule avec ma note 4 étoiles ! Je savais que je n'allais pas voir un film d'horreur gore. C'est plus subtil et j'ai trouvé l'intrigue et le suspense vraiment à la hauteur.
    Sans doute parce que je dois être la seule spectatrice à penser que ce ne sont pas des vues de son esprit à ce gosse mais bien la réalité, faisant de ce film un conte pas si conte que ça ;-)
    Audrey L
    Audrey L

    568 abonnés 2 443 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Séance du soir à Deauville, la présentation de l'avant-première nous a instantanément fait fondre : [attention, petit spoiler] quand on donne la parole au très jeune Giovanni Pucci pour lui demander si le film ne lui avait pas trop fait peur, il répond en souriant : "Non, ça va, parce que l'ogre il est gentil en vrai", et regard à Samuel Jouy... Qui rigole : "Chut, il fallait pas le dire ça !", et le garçon de dire "Oups.", et toute la salle de comprendre, et de s'amuser de ce genre de petits couacs qu'on adore avec les jeunes acteurs. Surtout que celui-ci se défend vaillamment dans ce film d'Arnaud Malherbe, il vaut à lui seul le détour en parvenant à nous faire partager son angoisse dans un décor stressant à souhait. Voici en plus que vient la fine psychologie du personnage, dont on comprend vite qu'il est traumatisé par un abandon du père (violent à ses heures), et que le fameux "ogre" peut aussi se lire comme un pur délire de persécution, l'impossible remplacement du père par un autre potentiellement encore plus dangereux... Vous avez carte blanche pour la lecture de l’œuvre, la fin étant assez ouverte à toutes les interprétations. Ce que l'on a le plus aimé (en plus du jeune Giovanni) est tout le travail sur le son, sur la surdité du jeune garçon (un peu à la Sans un bruit) qui n'entend jamais l'ogre arriver, sur les bruitages gutturaux de la créature qui se mêlent aux craquements de la forêt... On stresse devant des sapinettes, sans même savoir pourquoi, chapeau à l'équipe son. Chapeau également au scénariste, qui a l'intelligence de ne pas nous faire l'éternel coup du "je coupe le son, et je met un coup de klaxon au premier chat qui passe" pour nous faire sursauter bêtement, ici on voit arriver la créature, on subit son approche lente du jeune garçon, et on en transpire d'autant plus... Un sursaut tout de même, auquel on ne s'attendait pas (il y avait encore de la musique... On sent qu'on est vraiment trop habitué aux autres jumpscares silencieux) : "le mec à la fenêtre", qui a fait bondir la salle entière, s'étouffer en criant quelques vieilles dames, et m'a subjectivement fait secouer les mains spasmodiquement. Un grand moment de communion dans la salle. En revanche, on a été franchement déçu par la facilité de la fin, qui laisse tomber tout le mystère pour plonger dans le film de super-héros à hauteur d'enfant "au pouvoir bébête", qui dénote avec le reste. Les effets spéciaux de cette scène ne suivent pas, la résolution facile n'apporte aucune explication, et on ne sait rien de l'avenir du petit garçon et de sa mère... Dommage, car jusque-là Ogre nous avait vraiment plu, mais la fin très simple nous a laissé un goût d'inachevé. Ce qui ne nous a pas empêché d'adorer le casting, les effets sonores, et la mise en scène terrifique à l'ancienne très réussie.
    Ciné-13
    Ciné-13

    96 abonnés 903 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2022
    L'impression globale relève du gâchis, de l'invraisemblance et de la frustration.
    La réalisation est banale avec des longueurs censées créer le climat fantasmagorique. Les "apparitions" de la "créature" à la fenêtre de la chambre, ou dans la forêt sont ridicules. Les villageois sont artificiellement peu accueillants vis-à-vis de cette institutrice candide; ce maire tenancier de troquet si peu clairvoyant et dépité, ces enfants si méchants face au handicap mineur... La course-poursuite dans la forêt est tellement mal filmée!
    A éviter!
    HomoLibris
    HomoLibris

    23 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Un film atypique et original dans le paysage cinématographique français actuel, qui renouerait presqu'avec Mélies ! Une lecture à plusieurs niveaux, entre onirisme et fantastique : le spectateur ne saura jamais vraiment si l'enfant dit la vérité ou s'il est psychologiquement perturbé par un passé violent, par l'irruption soudaine d'un homme dans la vie de sa mère, et par les moqueries des jeunes du village.
    "Ogre" aurait mérité une meilleure note car, outre l'idée de base, le film est servi par une mise en scène soignée, une interprétation maîtrisée, une bande son incroyable s'appuyant sur un ensemble de bruitages subtils, et de magnifiques prises de vue utilisant magistralement les décors naturels du Morvan, région d'altitude, de forêt et d'eau. Le scénario croise plusieurs autres thématiques intéressantes : la violence conjugale, le handicap, la cruauté enfantine, l'abandon des campagnes et sa détresse sociale, la méfiance villageoise, la persistance des légendes type grand méchant loup (et un petit clin à la guerre des boutons). Dommage que certains thèmes ne soient parfois pas davantage fouillés, notamment en développant plus les personnages secondaires. On pourra également regretter que le climat d'insécurité dans le village ne soit pas plus souligné.
    Mais le principal défaut de ce film, ce sont les dernières scènes. "Ogre dévoile maladroitement la figure de l'horreur et la subtilité du film en prend un grand coup", tout à fait d'accord ; il aurait mieux valu rester dans le flou… spoiler: De plus, à quoi rime cette scène où l'enfant trouve sa mère dormant paisiblement dans la forêt, baignée de soleil, et la suivante où la gamine les attend benoitement dans un champ d'herbes hautes ?!
    Treadstone2
    Treadstone2

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 avril 2022
    Le film commençait bien avec une atmosphère assez angoissante, une jolie musique semblant inspirée de "Desert Suite" de Terminator 2, et de celle de l'intro de Prometheus. Et puis le film s'oriente sur l'incohérence pour finir dans le n'importe quoi. À croire qu'à la fin plus personne n'en avait quoi que ce soit à faire. Je spoile rien pour ceux qui seront tentés d'aller le voir, mais honnêtement vous pouvez économiser votre temps et votre argent.
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