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Pink publie « Trustfall », la chanson titre de son prochain album - Rolling Stone
« Trustfall », le neuvième album studio de la chanteuse Pink, sortira le 17 février.
Pink vient de publier son dernier single « Trustfall », la chanson titre de son neuvième album studio dont la sortie est prévue le 17 février. Réalisé par Georgia Hudson, le clip de cette chanson met en scène la chanteuse face à une jeune femme qui recherche le même sentiment de confiance et de libération.
« Tu as une peur bleue et ton corps tout entier tremble, lui dit Pink alors qu’elles se tiennent toutes deux au bord d’une falaise surplombant l’océan. Vas-y et fais-le. Fais-le, peu importe ce que c’est, et puis boum, c’est parti. La peur est partie. »
« C’est très, très fidèle à ce que je crois, à ce que je ressens et à ce que je pense que beaucoup de gens ressentent, a déclaré la chanteuse à Good Morning America à propos du disque l’année dernière. J’ai pris du temps. Beaucoup de choses vraiment dévastatrices sont arrivées. Mon fils et moi sommes tombés très malades à cause du COVID. Cela a en quelque sorte distillé pour moi ce qui compte vraiment. Et il faut une crise pour cela. Il faut que vos enfants tombent malades pour que vous vous disiez : “Ok, tout cela n’a pas d’importance. Je veux voir mes enfants grandir. C’est ce que je veux.” Je veux seulement mettre la vérité dans le monde. Je veux être authentique. Et je veux être plus gentille et une meilleure personne. »
« Trustfall » suit la sortie du single principal « Never Gonna Not Dance Again», une célébration similaire de l’instant présent. « J’ai juste commencé à faire de la musique et à parler en mélodie, a expliqué Pink. Et ça a pris forme… Mon album est un morceau de moi, et je pense que je suis un exemple de la façon dont vous pouvez vivre de façon authentique et sans peur, d’une certaine façon. »
STEVE EICHNER / GETTY IMAGES; SCOTT DUDELSON / GETTY IMAGES
Jakob Nowell, Bud Gaugh et Eric Wilson de Sublime nous parlent de la reprise d’un vieux freestyle de Bradley Nowell sur « Feel Like That ».
Début 1996, les trois membres de Sublime (le frontman Bradley Nowell, le bassiste Eric Wilson et le batteur Bud Gaugh) jammaient dans le studio Pedernales de Willie Nelson à Austin, au Texas, lorsqu’ils se sont lancés dans une chanson improvisée, à moitié formée, que les bootlegs appelleraient plus tard « Eireen ». Le leader Bradley Nowell, qui mourra d’une overdose en mai de la même année, ne prenait pas la chanson tout à fait au sérieux, mais il y a un moment frappant où ils atteignent ensemble un groove influencé par le dub et où Nowell tombe sur un refrain accrocheur – « let me tell you why I feel like that ».
28 ans plus tard, une chanson construite autour de ce moment, « Feel Like That (featuring Bradley Nowell) », sortira vendredi en tant que premier morceau studio original de Sublime depuis la mort de Nowell, avec des voix supplémentaires de Scott Woodruff du groupe de reggae Stick Figure et de Jakob Nowell, le fils de Bradley Nowell, qui a pris la relève en tant que chanteur de Sublime à partir d’une performance à Coachella cette année.
La chanson est officiellement créditée à Sublime x Stick Figure, puisque Woodruff a construit le morceau à partir d’échantillons de la session « Eireen ». Il a commencé à travailler dessus il y a plusieurs années, avant que le groupe ne renaisse avec Jakob, après que Michael “Miguel” Happoldt, associé du groupe, lui a apporté les multipistes d’« Eireen ». Jakob a ajouté ses voix en janvier, bien avant le concert de Coachella. « On s’est dit : “OK, maintenant que tout se met en place, pourquoi ne pas sortir cette chanson, mais en y ajoutant Jake” », raconte Gaugh.
« Mon père a un couplet, puis j’ai un couplet et Stick termine la chanson », explique Jakob, qui a été ému par l’opportunité de collaborer avec son défunt père. « C’est une chose magnifique. »
« Nous sommes bénis d’avoir encore tous ces vieux enregistrements et d’être tombés sur une prise qui attendait depuis toutes ces années, déclare Wilson dans un e-mail adressé à Rolling Stone.On dit que tout se joue au bon moment, et je pense qu’ils avaient raison ! C’est super génial d’entendre Brad et Jakob chanter côte à côte sur la même piste. Je suis sûr que cette chanson va mettre de l’ambiance pour l’été ».
La chanson n’est probablement qu’un début pour Sublime, qui possède toujours une vaste archive d’inédits de Bradley Nowell. « Je pense que si les fans apprécient vraiment ce morceau et que les gens aiment la direction que ça prend, alors il n’y a pas de limite », dit Jakob, qui souhaite que le groupe continue à collaborer avec d’autres groupes.
« Nous sommes prêts à explorer toutes les options en matière d’enregistrement, déclare Gaugh, qui ajoute qu’il travaille déjà en studio. Remixes, nouveaux morceaux, qui sait ? »
Le groupe Sublime renouvelé participe à des festivals tout au long de l’année. « Nous allons continuer à nous sentir plus à l’aise les uns avec les autres et à apprendre à jouer les uns avec les autres, explique Jakob. C’est époustouflant de voir à quel point Sublime est un groupe important et formateur pour tant de gens. »
Wilson ajoute : « Après avoir joué quelques concerts avec Jakob, j’ai réalisé qu’il manquait quelque chose dans mon cœur, et Jakob a comblé ce vide. L’alchimie est parfaite… tout comme elle l’était avec son père. Je suis également très reconnaissant d’avoir retrouvé mon frère Bud dans ma vie ! Après des années passées à jouer avec d’autres grands batteurs, je peux voir que ce que nous avions était spécial et j’ai réalisé à quel point Bud était un dur…. Je suis très enthousiaste pour l’avenir ».
« J’ai retrouvé mon ami, dit Gaugh. Ma relation avec Eric semble toute neuve, comme à l’époque où nous étions gamins. »
Wilson sort de 14 années passées au sein de Sublime with Rome, le projet du chanteur/guitariste Rome Ramirez. Ce groupe termine actuellement ses dernières tournées sans le bassiste et vient de sortir son dernier album studio. Jakob, qui avait déjà déclaré à Rolling Stone qu’il n’était pas ravi de l’existence de ce groupe, dit maintenant qu’il aimerait que Rome Ramirez vienne faire un concert. « C’est un type génial. C’est un guitariste qui déchire. »
Notre hors série metal collector passe en revue le meilleur de la scène sur 100 pages. Retrouvez en bonus un 45 tours Judas Priest exclusif !
Le Metal, genre musical souvent décrié, a su au fil du temps conquérir de nouveaux publics et s’imposer comme une figure majeure de l’histoire du rock.
Pour ce numéro Collector en partenariat avec le Heavy Week-end, Rolling Stone a rencontré ses héros de toujours (Rob Halford de Judas Priest, Scorpions, Megadeth, Tom Morello ou Ozzy Osbourne pour des entretiens exclusifs), ceux qu’on aime retrouver en tête d’affiche des festivals consacrés aux amateurs de décibels, de riffs sanglants et de shows imparables, mais aussi les nouveaux talents de cette scène vivace comme Ghost ou Theraphosa qui continuent de gravir les échelons du stairway to hell et qui s’empare des nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle.
UNE ÉDITION LIMITÉE
BONUS : Un numéro accompagné d’un vinyle 45 tours exclusif et inédit de Judas Priest, avec « Crown of Horns« , tiré de l’album Invincible Shield, et le grand classique « Painkiller » dans une version live incandescente enregistrée à Wacken.
100 pages entièrement dédiées aux musiques saturées vous attendent dans ce numéro collector disponible dès le 17 juin à la FNAC.
Retrouvez dans ce hors-série collector les entretiens avec les groupes et artistes suivants :
Judas Priest
Extreme
Deep Purple
Alice Cooper
Ayron Jones
Tom Morello
Megadeth
Sortilège
Theraphosa
Bruce Dickinson
Ozzy Osbourne
Mick Mars
Mötley Crüe
Ghost
Scorpions
Sonata Arctica
Saxon
Within Temptation
Kerry King
Sans oublier le top Rolling Stone des plus grands albums du genre et une analyse de l’intelligence artificielle dans le metal.
Prenez vos places pour le Heavy Week-end, du 21 au 23 juin. Judas Priest, Extreme, Deep Purple, Megadeth, Alice Cooper et Scorpions vous y attendent, ainsi que Tom Morello, Ayron Jones, ou encore Sortilège !
Le nouvel Hebdo de Rolling Stone est disponible. En couverture, Richard Hawley vous raconte absolument tout sur son nouvel album studio, In this City they Call you Love. L’ex-chanteur de Pulp retrace le processus créatif du disque et revient sur ses inspirations. Autre rencontre : Tony Martin de Black Sabbath. A l’occasion de la réédition de quatre albums qu’il a enregistrés longtemps introuvables, l’ancien chanteur du groupe de metal britannique revient sur une période méconnue de leur histoire. Côté disque de la semaine, la rédaction s’est penchée sur I AM, le nouvel album de Pain, avec des extraits d’interview du leader Peter Tägtgren, musicien et producteur prolifique.
Côté festival, la rédaction s’est également entretenue avec Louis Bellavance, du Festival d’été de Québec, qui évoque la programmation de l’événement Canadien. Ne manquez pas non plus notre critique du film d’horreur Abigail de Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett, en salle depuis ce mercredi 29 mai. Retrouvez ces nombreux papiers sur l’actualité de la culture rock et bien d’autres dans Rolling Stone l’Hebdo n°161.
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Les candidatures sont ouvertes pour le concours des studios Abbey Road célébrant l’art de la photographie musicale.
La troisième édition des Abbey Road Music Photography Awards, qui récompense l’art de la photographie musicale et met en lumière les talents du monde entier, aura lieu le 3 octobre dans le légendaire studio londonien, et les candidatures sont désormais ouvertes dans plusieurs catégories.
Les photographes peuvent soumettre leur candidature sur le site web des MPA dans six catégories ouvertes : Photographe inconnu de l’année, Moment musical de l’année, Prix de la musique live, Prix des scènes underground, Prix de la création musicale et Jazz : la renaissance du cool. Le jury déterminera les nominations dans trois autres catégories sur invitation : Portrait, Editorial et ICON.
« Les studios Abbey Road se consacrent à l’art et à l’impact de la photographie musicale, a déclaré Sally Davies, directrice générale des studios Abbey Road, dans un communiqué. En organisant chaque année les Music Photography Awards, nous célébrons cette forme d’art dynamique et les personnes talentueuses qui se cachent derrière l’objectif. Notre mission n’est pas seulement de présenter leur incroyable travail, mais aussi d’encourager et de créer des opportunités significatives pour les photographes émergents. Nous sommes fiers de soutenir cette communauté créative, en aidant à mettre en avant leurs visions et leurs voix uniques au sein de l’industrie musicale ».
Le jury de cette année comprend le photographe fondateur des MPA, Rankin, le tout premier artiste en résidence d’Abbey Road, Jordan Rakei, des musiciens comme Beth Ditto de Gossip, Jason Williamson, Moses Boyd et Bimini de Sleaford Mods, les photographes Raven B Varona, Pooneh Ghana Ashley Verse et Sam Rockman, et bien d’autres encore.
« Pour cette troisième année, je suis très impatient de voir ce que nous pouvons attendre des participants de 2024, a déclaré M. Rankin dans un communiqué. La qualité des photographies des participants de l’année dernière était extrêmement impressionnante, et je suis sûr que cette année, la barre sera encore plus haute. Nous voulons trouver et reconnaître les talents émergents, non découverts et établis qui existent dans le domaine de la photographie musicale, et mettre en lumière des photographes de tous horizons. Une fois de plus, je donnerai à un photographe la possibilité de gagner une journée de mentorat avec moi sur un shooting ».
Avant le jour du jugement, une liste de présélection est établie par un comité d’experts en photographie, dont Sacha Lecca, rédacteur en chef adjoint de Rolling Stone, les photographes Charlotte Patmore, Katy Cummings, Phoebe Fox et Anthony Pham, lauréat du Music Moment Of The Year Award lors des MPA de 2023.
Le concours des MPA est gratuit et les candidatures sont ouvertes jusqu’au 18 juillet sur le site web des MPA. Les prix comprennent un mentorat avec des experts du secteur, dont Rankin et Lecca, des expositions et des séances de photos pratiques. Les MPA 2023 ont attiré plus de 16 000 candidatures provenant de 30 pays, et une exposition présentant certains des travaux a attiré 1,5 million de visiteurs à l’Outernet de Londres.
Pas besoin de traverser l’Atlantique pour sonner comme aux grandes heures du blues-soul-R’n’B made in Tennessee ou orienté Northern Sound. Depuis un quart de siècle, Arnaud Fradin aime à visiter et revisiter la musique noire américaine. Avec ses six compagnons de Malted Milk, le guitariste chanteur et meneur continue de creuser le sillon de ce son si caractéristique, cuivres à l’appui : preuve en est avec leur nouvel opus, 1975, fait maison ou presque : “Après les EP sortis pendant la période du confinement, on a construit cet album en résidence à Nantes, où la majorité du groupe est basée à l’année.” Le disque en question est arrivé après quelques singles, dont le dernier sorti à l’automne 2023, “Better Now”, une chanson à l’ambiance groovy en diable mais traitant de rupture amoureuse : “On voulait jouer sur le contraste entre une musique qui te donne envie de bouger et un sujet plutôt grave et triste, explique Arnaud Fradin. On a surtout joué sur les effets sonores, mais qui s’adaptent plutôt de façon cohérente au texte.”
La production est une passion de plus en plus grandissante chez Arnaud, au point de pousser encore plus loin en créant son propre label pour éditer ses disques. Mieux encore, il reconnaît adorer la réalisation en studio, attaché à sa console, à affiner les prises de son et les premiers mix. Production maison, comme on dit ? “Presque, s’amuse le musicien. Les captations me passionnent autant que la composition. L’arrangement, c’est vraiment devenu mon truc, j’ai passé beaucoup de temps à apprendre comment travailler avec tout cela, et je dois dire que c’est vraiment gratifiant de voir le morceau se réaliser sous ses yeux, et prendre sa forme définitive. C’est fascinant.”
Et surtout, pour ne pas sombrer dans l’autarcie et rester à l’écoute du monde, Arnaud a fait appel au musicien italien Marco Cinelli, lequel garde toujours une oreille ouverte. “Ce disque a été réalisé en collaboration avec Marco, guitariste et chanteur membre du groupe The Cinelli Brothers. Il est super leur nouvel album, vous l’avez écouté ? C’est un musicien génial, un multi-instrumentiste impressionnant et avec une culture blues et R’n’B incroyable, s’enthousiasme Arnaud Fradin. Je lui ai envoyé du son et il s’est mis au boulot directement. Il vit à Londres depuis pas mal d’années maintenant. Nous avons bien travaillé ensemble et, du coup, il a participé aux arrangements et m’a beaucoup aidé, notamment pour l’écriture des textes.”
Belkacem Bahlouli
Retrouvez cette interview avec Arnaud Fradin de Malted Milk en entier dans notre numéro 160. Il est disponible en kiosque et via notre boutique en ligne. Commandez-le dès maintenant avec la couverture que vous préférez. Choisissez entre Eric Clapton et Bruce Dickinson.