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Biographie Julie Ferrier

L'humour dans l'âme

En suivant régulièrement « Deschiens » sur le petit écran, une série aux tons comiques à l'initiati ve de Macha Makeïeff et Jérôme Deschamps, émise pour la première fois en 1993, Julie Ferrier découvre ses penchants pour les situations cocasses et qu'en elle-même sommeille une future valeur de la comédie française.

Toutefois, ses talents professionnels, elles les a acquis en marchant sur les traces de Kenneth Loach, puis de Jacques Tatischeff, alias Jacques Tati, acteur et réalisateur de référence dans le monde du cinéma français qui s'est éteint en 1982.

Mais le monde de la comédie, c’est aussi une histoire de famille pour elle et ce, depuis des générations. Huitième lignée d’une famil le de comédiens, les premiers pas de Julie Ferrier dans le milieu artistique se font cependant dans la danse.


Les premiers pas sur scène

Danseuse professionnelle jusqu’au milieu des années 1990, Julie Ferrier travaillera aux côtés des grands chorégraphes comme Kamel Ouali , Rick Odums ou encore Philippe Découflé.

Elle énonce ses premières répliques sur les scènes du théâtre en travaillant avec d'autres humoristes talentueux comme Jean-Marie Maddeddu. C'est grâce à l'incitation d'Alain Mollot – avec qui elle entame ses premières leçons de comédie en 1996 –, qu'en 2001 elle intègre le théâtre de La Jacquerie.

Il la propulsera alors sur la scène des humoristes professionnels en lui permettant de jouer ses premiers sketches.

L'année 2005 est celle où cette comédienne aux frappes uniques réalise son premier show en solo, qu'elle intitule « Aujourd'hui, c'est Ferrier ». Ce tout premier one-woman-show lui rapporte un premier succès critique lui ouvrant d’autres portes dont celles du cinéma.

Toujours en 2005, Didier Bourdon lui offre en effet, le rôle d’une voyante dans le long-métrage « Madame Irma ». Cette même année, on la voit également dans « Le bruit des papillons », une réalisation de Frédéric Comtet.


Une suite au cinéma

Depuis ses premiers pas au cinéma, Julie Ferrier poursuit une carrière prolifique sur le grand écran. Après « Les vacances de Mr Bean » en 2006 et « Didine » dans les salles l’année suivante, elle sera sur de nombreux longs-métrages en 2008.

Actrice du petit écran, elle est encore à l’affiche de la série télé comique « Mademoiselle » en 2008.

Mais pour en revenir au cinéma, Julie Ferrier entame cette année 2008 en travaillant avec Léa Fazer sur « Notre univers impitoyable ». Tournant par la suite aux côtés de Thierry Lhermitte dans « Ça se soigne ? », c’est dans le rô le de Caroline que dric Klapisch lui offre dans « Paris », que l’actrice se retrouve dans de plus grandes réalisations cinématographiques.

Contorsionniste dans « Micmacs à tire-larigot » en 2009, le rô le de la Môme caoutchouc n’est pas sans rappeler sa formation auprès du cirque Fratellini près d’une dizaine d’années auparavant.

L’année 2010, Julie Ferrier se retrouve encore sur grand écran dans « L’arnacoeur » ainsi que la réalisation de Mathieu Amalric, « Tournée ».

En 2017, elle revient sur scène avec un nouveau spectacle "A ma place, vous FERRIER quoi ?" au Théâtre de La Madeleine à Paris.
 

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