Mario Puzo (auteur de Le Parrain) - Babelio
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4.11/5 (sur 771 notes)

Nationalit� : �tats-Unis
N�(e) � : New York , le 15/10/1920
Mort(e) � : Bay Shore (Long Island) , le 2/07/1999
Biographie :

Mario Puzo est un �crivain et sc�nariste am�ricain.

Mario Puzo est n� dans une famille pauvre d�immigrants napolitains habitant dans le quartier de Hell's Kitchen, � New York. Cet h�ritage se retrouve dans beaucoup de ses livres.

Apr�s �tre sorti dipl�m� de l'universit� de New York, il s'engage dans l'arm�e de l'air am�ricaine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il n'a pu combattre en raison de sa mauvaise vue et fut envoy� comme officier des relations publiques en Europe et stationn� en Allemagne. Son premier livre, The Dark Arena, para�t en 1955.

Son �uvre la plus c�l�bre, "Le Parrain", publi� en 1969, est fond�e sur des anecdotes amass�es lorsqu�il �tait journaliste � sensation. "Le Parrain" a �t� plus tard adapt� au cin�ma dans une trilogie r�alis�e par Francis Ford Coppola, dont les trois volets successifs sont sortis en 1972, 1974 et 1990.

En plus de co-�crire le sc�nario avec Coppola, Puzo a aussi �crit le premier brouillon du sc�nario du film-catastrophe, Tremblement de terre, en 1974, qu�il fut incapable de continuer en raison de son engagement dans l'adaptation cin�matographique du deuxi�me �pisode du Parrain. Puzo a �galement co-�crit Superman: Le Film en 1978 et Superman II en 1980.

Puzo n�aura jamais vu la publication de son avant-dernier livre, Omerta, mais le dernier manuscrit a �t� termin� et est devenu sa derni�re �uvre. C'est �galement le cas pour son dernier roman, Le Sang des Borgia, sorti � l'automne 2001 et termin� par Carol Gino. Dans une revue[1] publi�e dans le San Francisco Chronicle, Jules Siegel, qui avait travaill� avec Puzo au Magazine Management Company, a dout� que Puzo ait pu finir Omerta et a soulev� l'hypoth�se qu�il pourrait avoir �t� compl�t� par quelques "sp�cialistes".

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La Famille Corleone - Mario Puzo et Ed Falco - Trailer US Comment Vito Corleone est-il devenu Le Parrain ? Toutes les grandes histoires ont un commencement.


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Garde tes amis pres de toi et tes ennemis encore plus pres.
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Le pass� est le pass�. Ne regarde jamais en arri�re. Ni pour chercher des explications, ni pour trouver le bonheur. On ne change ni le monde, ni les hommes.
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Ne me raconte plus que tu es innocent parce que c�est une insulte � mon intelligence et �a me rend de mauvaise humeur.
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Les grands hommes ne naissent pas dans la grandeur, ils grandissent.
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L'homme qui n'est pas un p�re pour ses enfants ne peut pas �tre vraiment un homme.
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��Le malheur, c�est toutes les sottises du cin�ma et des journaux, dit Michael. Tu te fais des id�es fausses au sujet de mon p�re et de la famille Corleone. Je vais te donner une derni�re explication. Mais ce sera vraiment la derni�re. Mon p�re est un homme d�affaires qui s�ing�nie � pourvoir aux besoins de sa femme, de ses enfants et des amis dont il pourrait avoir besoin un jour, en cas de malheur. Il ne se plie pas aux r�gles de la soci�t� dans laquelle nous vivons parce qu�elles l�auraient condamn� � mener une vie indigne d�un homme dou� d�une puissance et d�un caract�re aussi extraordinaires que les siens. Il te faut comprendre qu�il se consid�re l��gal des grands hommes comme les pr�sidents, les premiers ministres, les magistrats de la Cour supr�me et les gouverneurs d��tat. Il n�admet pas que leur volont� prime la sienne. Il refuse d�ob�ir � des r�gles �tablies par d�autres et qui le condamneraient � une vie de vaincu. Mais son but ultime, c�est d�entrer dans cette soci�t� avec un certain pouvoir, car la soci�t� ne prot�ge pas, en r�alit�, ses membres s�ils ne disposent pas eux-m�mes d�une puissance suffisante. En attendant il ob�it � une �thique qu�il juge tr�s sup�rieure aux structures l�gales de la soci�t�.��
Don Corleone posa la main sur l'�paule de son nouveau vassal et lui dit : "C'est bien. Vous l'aurez, votre justice. Un jour (et il se peut fort bien que se jour n'arrive jamais) je ferai appel � vous et je vous demanderai de me rendre, � votre tour, un petit service. Jusque-l�, consid�rez ce qui sera fait pour vous comme un pr�sent de ma femme, la marraine de votre fille."
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"L'amiti�, reprit Don Corleone, l'amiti� prime tout. L'amiti�, c'est plus que le talent, c'est plus que la puissance des gouvernements, �a compte presque autant que la famille. N'oublie jamais ce que je te dis. Si tu avais �lev� autour de toi un rempart d'amiti�s, aujourd'hui tu te passerais de mes services.."
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Il avait appris depuis longtemps que la soci�t� inflige des affronts qu'on doit supporter d'autant mieux qu'on sait avec certitude que l'heure vient toujours o� le plus humble, s'il ouvre un oeil vigilant, trouve l'occasion de tirer vengeance du plus puissant.
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Il est toujours dangereux de se montrer raisonnable avec des gens stupides, commen�a Don Domenico, en avalant une une lamp�e de vin.
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