Hommell Berlinette. La folle histoire (et l'essai) de la Lotus à la française !
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Hommell Berlinette. La folle histoire (et l'essai) de la Lotus à la française !

En 1991, le magazine Echappement lance un sondage à ses lecteurs : comment imaginez-vous la Berlinette des années 90 ? 2 000 réponses et beaucoup de folie plus tard, Michel Hommell décide de la fabriquer. Nous avons repris le volant des Berlinette Echappement et RS2, miraculeuses à plus d’un titre.
Publié le Mis à jour le

Une voiture de course pour la route, une voiture de route pour la course : tel était le slogan de la Berlinette Echappement, premier modèle des Automobiles Hommell !

Benjamin Brillante - L'argus

HOMMELL Berlinette Echappement

  • - Moteur : Essence
  • - Puissance: 155 ch
  • - Lancement : Août 1994
  • - A partir de 38 112 €
  • - Ni bonus ni malus

HOMMELL Berlinette RS2

  • - Moteur : Essence
  • - Puissance: 195 ch
  • - Lancement : Janvier 2000
  • - A partir de 43 000 €
  • - Ni bonus ni malus

Février 1990, Paris 7e, dans un troquet de la rue de Lille. Face aux locaux d'Échappement, le patron de presse Michel Hommell rejoint Gilles Dupré, nouveau rédacteur en chef du magazine. L’entretien démarre comme une discussion entre potes : « Quel bonheur ce serait de faire renaître la Berlinette aujourd’hui » lance Michel Hommell, encore ému de sa fraîche discussion avec Jean-Charles Rédélé, fils du fondateur d’Alpine. Sans savoir que depuis 10 ans, son rédac’chef en construit l’équivalent dans son sous-sol. « Si tu le souhaites Michel, je suis prêt ! » sourit Gilles Dupré...

La boutade prend du galon. On utilise le magazine pour lancer un sondage : « Imaginez la Berlinette des années 90 ». 2 000 réponses par courrier plus tard, Gilles Dupré souffle : un moteur central arrière, un habitacle dépouillé à deux places, pas d’assistances à la conduite, un quatre-cylindres atmosphérique 16 soupapes compris entre 160 et 200 ch, les volontés des passionnés collent à l’esprit du « monstre » de sa création. Qui déménage alors du sous-sol de son pavillon à celui d'Échappement. Journaliste le jour, Gilles Dupré devient artisan la nuit avec l’aide de son frère Jean-Sylvain.

Fort de son expérience sur ses premières monoplaces de course (qu’il conçoit déjà pièce par pièce), Gilles imagine un châssis tubulaire maison. Y implante un moteur et un berceau de Peugeot 405 Mi16 pivotés à 180°. Ajoute des jantes et des freins de 605 SV24, adapte un pare-brise et des optiques de Citroën XM, implante des feux de ZX. Et entoure ces pièces de grande série, indispensables pour contenir le prix de vente, de pièces 100% maison. Pas des moindres : suspension avant à double triangulation, carrosserie en polyester, sans oublier la boîte 6 spécifique alors réservée aux sportives très haut de gamme. En octobre 1992, la Berlinette Echappement est prête pour son premier bain de foule au Salon de Paris. Sa présentation dépasse le succès d’estime : 12 commandes fermes arrivent à 250 000 francs l’unité. Dans l’euphorie de l’instant, Michel Hommell décide de lancer sa production. « Tu es complètement fou » lui lance Gilles Dupré. Qui, au fond, n’aurait pu rêver mieux...

La terre bretonne sera retenue pour l’aventure : Lohéac où Michel Hommell possède déjà son musée. On construit un circuit de développement attenant, on rachète l’ancienne laiterie du village qui deviendra l’usine d’assemblage. La passion des deux hommes réveille celle d’autres passionnés, « bridés » chez leurs grands industriels d’employeurs. Michelin fera les pneus (et la géométrie de suspensions adaptée), Peugeot produira la boîte spécifique à Valenciennes, Citroën assemblera le châssis à Rennes, Matra (pourtant associé à Renault à l’époque !) aidera au refroidissement et à une poignée d’homologations. Car oui : cette auto ne se limitera pas au circuit, au rallye ou à la course de côte. Comme à l’époque des coupes R8 Gordini, la Berlinette devra se rendre aux épreuves par la route… et donc être immatriculée, avec tout le respect des normes anti-pollution et de crash-test que cela suppose.

Berlinette Echappement, Barquette, RS, RS2 : pas une mais quatre Hommell !

Avant même la commercialisation, les normes anti-pollution se durcissent. La Berlinette doit troquer l’initial 1.9 160 ch des 309 GTi 16 et 405 Mi16 pour le 2.0 ACAV 155 ch des premières 306 S16. Mais elle garde la boîte 6 maison, extrapolée de la boîte 5 PSA avec carter, étagement, et pignons spécifiques pour la faire tourner à l’envers. Une boîte assemblée chez SMAN à Valenciennes dans une unité « prototypes » avant de filer à Sochaux, et qui aurait fait « partir une 405 Mi16 en marche arrière si elle y avait été montée par erreur » sourit Gilles. Comme nous le verrons plus bas, l’étagement resserré de la boîte et le poids-plume, 980 kg, transfigurent les performances d’un moteur jugé timide dans les Peugeot et Citroën de grande série.

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Voici la « grand-mère », première Berlinette construite. Elle est révélée au Salon de Paris 92 en Bleu de France, clin d’œil à son inspiratrice Alpine A110 !

Automobiles Hommell

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La version de série changera de moteur et de jantes. La première Berlinette Echappement sort de l'usine de Lohéac en août 1994, voilà près de 30 ans.

Benjamin Brillante - L'argus

Face aux fluettes Caterham contemporaines, certains la jugent trop lourde. Pas Gilles, obsédé par une certaine idée de polyvalence : « Nous n’avons pas développé la Berlinette uniquement sur piste car c’est le meilleur moyen de se tromper ». L’auto doit pouvoir traverser la France, de nuit, par les départementales. Les longues étapes parcourues en développement débouchent sur un gros réservoir d'essence (64 l via deux cuves de 37 l), une belle réserve de lave-glace (pratique), une vraie roue de secours (salvateur), un siège passager réglable en longueur (absent en Caterham Seven et Lotus Elise) qui permettra au passager, au-delà des espaces pour trois valises cabine derrière les sièges, d’atteindre le cale-pied pour ménager son dos. La sportive au long cours était née… et appellera vite une déclinaison plus radicale encore : la Barquette.

Cette fois, le pare-brise et la ventilation restent sur l’établi et allègent l'ensemble de 40 kg. Suffisant pour compenser les 5 chevaux perdus dans la dernière évolution du 2.0 ACAV et abaisser encore le centre de gravité sans rien perdre de la rigidité structurelle de l’auto (issue du châssis tubulaire et non de la simple « peau » en polyester). Michel Hommell y croit moins et lance à Gille Dupré : « TA barquette, tu en vendras deux : une à toi-même, et la deuxième à un autre cinglé ». 52 exemplaires sortiront finalement de l’usine bretonne, dont beaucoup brilleront en compétition munis d’un arceau-cage spécifique.

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La Barquette, une version radicale dénuée de toit et de pare-brise, rejoint rapidement la gamme... et reste homologuée route !

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Encore allégée de 40 kg et tout aussi rigide grâce au châssis tubulaire, elle sera appréciée des pilotes amateurs en compétition.

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Nouvelles normes, encore, et l’arrivée de la Berlinette « RS » en 1997. Les traits évoluent avec des optiques désormais spécifiques et, sous le capot arrière revu en soufflerie, c’est le dernier 2.0 167 ch des 306 S16 boite 6 qui officie. 17 chevaux de plus, 30 kg de moins : le 1 000 mètres départ arrêté chute de 28,1 s à 26,9 s, et la vitesse de pointe stagne à 230 km/h car elle est atteinte au rupteur de sixième… Ultime folie, à peine trois ans plus tard ? L’arrivée d’un moteur maison, développé avec Danielson Engineering. Sur la base du même 2.0 « XU10J4RS », le célèbre motoriste arrivera à sortir 195 ch sans augmenter le régime maxi, ni renoncer à l'homologation routière qui, de plus en plus sévère, fera quasiment finir Gilles « dans un asile de fou » de son propre aveu… La RS2 voit le jour et claque le 1 000 m départ arrêté en 26,1 s. Encore un pari réussi, que nous aurons la chance de tester sur sa propre piste de développement : le circuit de Lohéac. Débutons tout de même avec la Berlinette Echappement, celle par qui tout a commencé.

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En 1997, la Berlinette RS remplace l'Echappement. La ligne évolue, le moteur et l'habitacle aussi : 12 ch de plus, 30 kg de moins !

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Les feux ne sont plus empruntés à la Citroën ZX à l'arrière et à la XM à l'avant. Les jantes deviennent spécifiques elles aussi.

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Le test de la Berlinette Echappement à Lohéac

Index cherchant sous la prise d’air latérale, je pousse le petit bouton déverrouillant la fluette portière façon feuille de bananier. J’enjambe le ponton, pas trop large, et me jette dans un baquet à l’assise longue, au dossier enveloppant. Volant fixe en profondeur mais placé près du corps, levier de vitesse surélevé tombant parfaitement sous la main, jambes tendues sur la tôle rivetée façon avion militaire, la position de conduite apparaît bien meilleure qu’à bord d’une Lotus Elise (aux dossiers de sièges peu creusés et inclinés vers l’arrière) ou d’une Caterham (où est-ce qu’on met les coudes ?).

Contact mis, j’actionne le bouton poussoir séparé qui réveille le 2.0 ACAV. Premiers contacts avec l’embrayage et la commande de boîte, assez fermes, l’auto décolle sans inertie à la sortie des stands. Le temps de faire chauffer l’huile moteur (et celle de boîte, qui fluidifiera ensuite les passages de rapports), je suis déjà surpris par le couple d’un bloc jugé mollasson à l’époque dans les 306 S16, 300 kg plus lourdes. Le poids-plume et la première longue, suivie de rapports rapprochés, transcendent le caractère du 2.0 devenu alerte à bas régime, costaud à mi-régime, volontaire en haut d’un compte-tours pivoté d’un quart de tours. Le régime maxi apparaît ainsi dans le champ de vision, dans l'esprit d’une Lancia Delta Integrale que Gilles affectionne aussi (mais c’est une autre histoire).

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Sonore, dépouillé et grimpant vite en température, l'habitacle n'oublie pas de soigner sa position de conduite, idéale.

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Réactive aux transferts de masse mais progressive aux limites d'adhérence, l'Hommell est une formidable école de pilotage.

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L’absence d’assistance de direction ou de freinage (alors n’imaginez pas d’ABS et encore moins d’ESP) n’apparaît pas comme une corvée car la masse réduite n’impose pas d’immense efforts, ni au volant ni dans la pédale de frein. Cette authenticité décuple en revanche les sensations de conduite puisque l’apprenti-pilote sent précisément l’adhérence disponible, du bout des doigts en virages et du bout des orteils au freinage. Tant mieux : il pleuviotte et notre Berlinette Echappement embarque quatre Michelin quasi-d’origine, durs et secs comme une motte de beurre salé laissée au congel’. De quoi maintenir facilement les dérives dans la longue parabolique gauche, mais pas de juger de l’efficacité réelle du châssis… Le passage à la Berlinette RS2 et ses quatre Michelin Pilot Sport 5 flambant neufs permettront de mieux cerner les limites d'adhérence de cette petite teigne.

L'essai de la Berlinette RS2

Totalement redessinée dehors, la Berlinette « RS » conserve son agréable dénuement à bord. Attendu plus pointu, le 2.0 poussé à 195 ch surprend d’emblée par sa force à mi-régime, ce que confirme sa valeur de couple : 22 mkg à 5 500 tr/min et déjà 20 mkg, la valeur maxi du 2.0 167 ch, à 3 500 tr/min. Une sacrée prouesse pour un moteur atmosphérique homologué, dont le charme croît encore au fil des montées en régime. A 5 000 tr/min précis, il rappelle un V-TEC Honda et expédie l’aiguille du compte-tours à 7 300 tr/min dans un vacarme rauque et réjouissant. Passage de rapport éclair, faible chute de régime, le 2.0 Danielson reste dans sa plage favorite et accélère encore notre palpitant. Seulement deux rapports poussés à fond et 100 fois plus de sensations ressenties que la veille, dans une Mercedes-AMG C 63 S de 2,2 tonnes et 680 ch cumulés... Mais revenons à nos bretons.

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La suspension souple ne nuit pas à l'efficacité et sert la motricité de cette propulsion privée d'autobloquant.

Benjamin Brillante - L'argus

Malgré la pluie persistante, le grip n’a plus rien à voir et les gommes neuves dévoilent l’équilibre d’un châssis extra. On tourne, ça tourne, on tarde sur les freins, l’arrière accompagne, on écrase le champignon, l’auto motrice parfaitement malgré l’absence d'autobloquant. La progressivité des réactions ne fait jamais regretter l’absence d’assistances et apparaît sans commune mesure avec celle des Lotus et Caterham, plus légères mais bien plus brutales à leur limite d’adhérence. 

Le bassin devient le point central de l’auto qui pivote autour comme dans les manuels de pilotage. L’amortissement aussi confortable qu’efficace est une autre excuse pour hausser le rythme sans arrière-pensée et, à l’attaque dans un habitacle vite surchauffé (il n’est pas de clim’, évidemment !), j’oublie totalement que « ma » RS2 appartient à Gilles Dupré en personne et qu'elle frôle les 300 000 km ! Et dire qu’il y a quinze ans, j’avais préféré acquérir une Lotus Elise au lieu d’une Hommell Berlinette que je craignais trop radicale et peu fiable… Quelle erreur à l’époque. Et quelle révélation aujourd’hui.

Quel prix pour une voiture Hommell d'occasion ?

Avec 242 exemplaires produits en un peu plus de dix ans de commercialisation, les Hommell Berlinette et Barquette sont évidemment rares sur le marché de l’occasion. A fortiori car ses passionnés propriétaires les conservent fidèlement et possèdent parfois plusieurs modèles. Selon Gilles Dupré, certains exemplaires sont affichés dès 30 000 €, « un prix encore trop élevé pour des modèles passant de vendeurs multimarque en vendeurs multimarque, incapable de retracer l'historique ou justifier l'entretien ». Les exemplaires bichonnés par les passionnés s’échangent souvent de bouche à oreille, sans passer par un quelconque réseau d’annonces, et peuvent alors culminer à 50 000 €. 

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30 exemplaires d'Hommell se sont retrouvées à Lohéac pour célébrer les trente ans du premier modèle de série sorti d'usine.

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Leurs propriétaires ne ménageaient pas leur monture, prouvant la robustesse de modèles frisant parfois les 300 000 km !

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Grâce aux sympathiques membres de Automobiles club Hommell, certaines pièces devenues indisponibles chez PSA (Stellantis aujourd’hui) sont refabriquées chez de petits artisans et permettent de faire durer des autos par ailleurs jugées très fiables. Les forts kilométrages atteints par les exemplaires rassemblés à Lohéac pour les trente ans du modèle le prouvent. Certains ont roulé (ou roulent toujours) en compétition, d'autres enchaînaient encore des tours rapides sur le circuit sans la moindre alerte mécanique. D'autres fluettes anglaises aimeraient en dire autant... 

Bilan et avis Berlinette Hommell

  • Des automobiles Hommell, on connaissait l’histoire un peu folle, sans force détails. On sait maintenant que sa commercialisation a confiné au miracle… et là n’est même pas LA révélation de notre reportage. Les sensations authentiques du duo moteur/boîte, l’équilibre parfait du châssis, la justesse d’amortissement et la rigueur du freinage ont révélé toute la finesse de mise au point d’une auto artisanale que peuvent envier, encore aujourd’hui, certains grands constructeurs et leurs batteries d’ingénieurs. A Gilles Dupré, Michel Hommell, et tous les joyeux inconscients qui ont permis la naissance de cette merveille, un seul mot s’impose : mer-ci !
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Gilles Dupré, à gauche, et Michel Hommell, à droite, deux hommes de presse devenus constructeur automobile. Unique.

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L'aventure des Automobiles Hommell s'achève en 2003, trop tôt... mais bien plus tard qu'imaginé au départ !

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Fiche technique Berlinette et Barquette Hommell

Berlinette EchappementBarquetteBerlinette RSBerlinette RS2
Moteur
Puissance (ch à tr/mn)155 à 6 500150 à 6 500167 à 6 500195 à 6 750
Couple maxi (mkg à tr/mn)19 à 3 50020 à 5 50022 à 5 500
Régime maxi (tr/mn)7 0007 300
Cylindrée (cm3)1998
Alésage x course (mm)86 x 86
Bloc-cylindresfonte
Cylindres4 en ligne
Emplacement/dispositionarrière, transversal
Soupapes par cylindre4
Capacité des 2 réservoirs d'essence (litres)64
Transmission
Typepropulsion
Boîte de vitessesmanuelle à 6 rapports + marche arrière Hommell/Peugeot
Vitesses maxi sur intermédiaires (km/h)57 – 92 – 120 – 146 – 17258 – 91 – 121 – 149 – 18060 – 94 – 125 – 153 – 185
Autobloquant – Antipatinagenon – non
Châssis
Typetubulaire, renforcé par tôles d'aluminium
Carrosserietype « berlinette » ou « barquette », 2 places, polyester, non porteuse
StylisteErick de PauwSylvain Crosnier (Sera)
Suspension avanttriangles superposés, combinés ressort/amortisseur, barre antiroulis
Suspension arrièreMcPherson (triangles)
Freins à disques ventilésBendixBrembo (étriers AV 4 pistons)
Assistance – Antiblocagenon – non
Pneumatiques (marque homologuée)Michelin
Dimension avant205/45 ZR 16205/50 ZR 16
Dimension arrière225/45 ZR 16245/45 ZR 16
Jantes alu avant - arrière7 ½ J16 Peugeot7 ½ J16 Hommell – Speedline7 ½ – 8 ½ J16 Hommell – Delta Mics
Dimensions et poids
Poids à vide (kg)980940950
Longueur – largeur – hauteur (m)4,120 – 1,78 – 1,15
Empattement (m)2,45
Voies avant – arrière (m)1,49 – 1,521,50 – 1,53
Performances
Vitesse maxi (km/h)230 à 7 000 tr/mn en 6e au rupteur230 à 7 300 tr/mn en 6e au rupteur
1 000 m départ arrêté (s)28,127,126,926,1
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Implanté à l'arrière, le 2.0 16v PSA reste en position transversale pour limiter l'utilisation de pièces spécifiques... et le coût de production.

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Le capot avant bascule pour découvrir la partie avant du châssis tubulaire et la suspension à triangles superposés. Comme une vraie voiture de course !

Benjamin Brillante - L'argus

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