L’auteure de l’homme qui m’offrait le ciel donne au passage quelques conseils pour vivre en harmonie avec soi-même.

Vivre dans un pays endetté et un pays non endetté, l’écrivaine panafricaniste Calixthe Beyala a déjà fait son choix. « Je préfère un pays endetté où le peuple vit bien qu’un pays non endetté et où l’on crève de faim. La dette ? Juste des chiffres sur des chiffres sur un bout de papier avec des colonnes avec des balances », a-t-elle indiqué dans une récente sortie sur les réseaux sociaux.

Dans la foulée, elle donne quelques conseils pour vivre en harmonie avec soi-même.  « Vivre en harmonie : la règle de 10%. Elle vous invite à ne jamais dépenser plus de 10% de ce que vous possédez sur votre compte, sinon, vous courez des risques d’endettement ou d’appauvrissement. Ainsi, n’achetez jamais un sac à dix mille francs, si vous n’avez pas cent mille francs sur votre compte », explique-t-elle.

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 « Beaucoup de personnes vivent en disharmonie et sont souvent stressées parce qu’elles sont endettées ou n’ont pas d’argent. Elles s’empressent d’acheter des voitures à 50 millions alors qu’elles n’ont pas 500 millions sur leur compte. Elles portent des Dior et voyagent en classe économique. Autant de choses qui dénotent d’une mauvaise gestion de leur argent. L’important est d’être bien dans sa peau et non de plaire aux autres », ajoute l’auteure de l’homme qui m’offrait le ciel.