À Quimper, la Hip Hop New School « prise dans un étau » économique et financier | Le Télégramme

À Quimper, la Hip Hop New School « prise dans un étau » économique et financier

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Johanne Bouchet

Par Johanne Bouchet

Touchée mais pas coulée. La Hip Hop New School manque de souffle pour la première fois depuis sa création il y a 23 ans. Des charges en augmentation, des cours qui ferment, un manque de bénévoles, l’association, qui rayonne dans toute la Cornouaille, est en quête de nouveaux soutiens.

Ophélie Faucon, présidente, et Ali Ahamed, directeur artistique et fondateur de la Hip Hop New School dressent le portrait d’une association qui peine à maintenir la tête hors de l’eau, dans un contexte économique morose.
Ophélie Faucon, présidente, et Ali Ahamed, directeur artistique et fondateur de la Hip Hop New School dressent le portrait d’une association qui peine à maintenir la tête hors de l’eau, dans un contexte économique morose. (Le Télégramme/J. B.)

« Nous avons une actualité compliquée. Nous sommes aujourd’hui pris dans un étau », lâche Ali Ahamed, directeur artistique de la Hip Hop New School. Cela fait 23 ans que cette association promeut la culture hip-hop en Cornouaille. Née à Quimper, elle n’a jamais cessé de multiplier les portes d’entrée dans cet art qui a éclos dans la rue, jusqu’à s’ériger au même rang que les autres grosses associations culturelles quimpéroises. Mais aujourd’hui, l’heure n’est plus à l’autosatisfecit, la New School doit faire face à une nouvelle réalité.

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