Bouddhanar: Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire

dimanche, mai 19, 2024

Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire




Anthropologue français, spécialisé en santé publique, Jean Dominique Michel enseigna dans de nombreuses universités.

Dans une courte vidéo sur Odyssee : "Les années Covid 19, crime contre l’humanité et déferlement totalitaire", Jean Dominique Michel nous parle de ses deux récents ouvrages :

- "Autopsie d’un désastre - Comment et pourquoi ils ont fait tout faux. A quand leur mea culpa ?" Préface du Professeur Didier Raoult.

- "La fabrication du désastre - Qui ? Comment ? Pourquoi ?" Préface du Professeur Christian Perronne.



Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire


Par Jean Dominique Michel


Nous sommes le 15 mai 2024. Il y a 6 mois paraissait « Autopsie d’un désastre », un livre dans lequel je faisais l’inventaire du bilan complet de la gestion absolument désastreuse de l’épidémie du Covid 19. Alors, ce n’est pas une surprise, ce n’est pas un scoop pour ceux qui ont fait l’effort de se renseigner.

Christian Perronne et d’autres l’ont annoncé très tôt : « Ils ont fait tout faux ».

Par contre, 4 ans après, nous devons poser le constat qu’ils ont continué à « faire tout faux » et INTENTIONNELLEMENT. Les moyens mis à disposition pour diffuser une propagande mensongère et fallacieuse quant à la réalité de l’épidémie elle-même et des réponses imposées, plus les attaques et la censure contre ceux qui parlent de rappeler quelques vérités oubliées au passage ne laisse plus de doute : c’est INTENTIONNEL.

Je suis très heureux de voir que le public et nos lecteurs ont vraiment apprécié ce premier effort disant que c’est un inventaire complet et, effectivement, j’ai essayé de résumer dans un seul ouvrage tout ce qu’il y a à savoir sur le contour réel de l’épidémie, l’inefficacité et même la destructivité des mesures qui nous ont été présentées comme essentielles et nécessaires, la mise en échec des traitements précoces, d’interdire aux médecins de soigner au profit d’une injection génique expérimentale, dangereuse et inefficace, en terminant par l’explication de « la corruption systémique qui règne désormais dans le domaine de la santé » et qui fait que de l’avis des personnes les mieux informées qu’aujourd’hui, nous ne pouvons tout simplement plus avoir confiance dans les agences de santé, dans le gouvernement, ni dans les sociétés médicales et même notre propre médecin, dès lors que lui-même est endoctriné d’une manière où il ne se rend pas compte dans le meilleur des cas où il accepte de se soumettre dans le pire, à des choses qui sont souvent nocive pour les patients.

Toutefois, une fois ce constat posé, il est une question qui est incontournable : « Si cela a été fait délibérément ? », et aujourd’hui il n’y a plus de doute raisonnable à avoir à ce sujet : « qu’est-ce qui peut expliquer cette situation ? ».

Et donc, dans "La fabrication du désastre - Qui ? Comment ? Pourquoi ?" qui parait aujourd’hui en librairie est désormais disponible en librairie ou en vente en ligne.

Je parle de ce questionnement en investiguant différente hypothèses :

L’hypothèse de la bêtise et de l’erreur qui malheureusement est un peu courte parce que on aimerait bien que nos gouvernants et nos médecins se soient trompés de bonne foi, mais 4 ans d’erreurs systématiques dans la même direction avec toute une machine de guerre et de censure, cela n’est pas de la maladresse ou de l’erreur. Il faut aller voir plus loin !

L’hypothèse suivante : c’est un « hold-up » sur les finances publiques. Il y a 150 milliards d’euros qui ont été dépensés à l’échelle planétaire pour une injection de nouveau inefficace et dangereuse. Donc, cela, évidemment que ces 150 milliards d’euros ont terminé dans certaines poches et des proches qui d’après, là encore, la littérature scientifique, aujourd’hui, ont infiltré l’ensemble des agences de santé et des ministères de nos pays ; donc, c’est une hypothèse qu’il faut au moins prendre en considération.

Mais il est encore une autre hypothèse puisqu’on l’entend dans la bouche de certaines personnes qui détiennent réellement le pouvoir aujourd’hui, qui serait que « l’épidémie a été instrumentalisée pour imposer des mesures de contraintes et au fond accoutumer les populations au fait de renoncer à des droits fondamentaux même de manière massive au motif d’urgence » et on sait aujourd’hui comment nos gouvernements et la presse ont « intentionnellement » fait paniquer la population pour lui faire croire qu’elle était en danger alors que si vous n’étiez pas en toute fin de vie et atteint de maladie grave comme un cancer au stade terminal, « vous ne risquiez rien » que n’importe quelle autre année.

Et donc, voilà ce que j’explore dans ce livre avec un certain nombre de méthodes. 

La première méthode est de faire ce que l’on appelle un post-mortem. En février 2020 on sait, pertinemment, qu’il ne faut surtout pas imposer des confinements, des fermetures d’écoles, de commerces et de restaurants, le port du masque, des systèmes de traçages, des couvre-feux, des fermetures de frontières. Tout cela est parfaitement clair dans la littérature scientifique.

Même le plan OMS pandémie de 2019 le dit : « Il ne faut rien faire de tout cela qui n'a aucune utilité et qui est gravement destructeur ».

Qu’est-ce qui fait que cette bonne science et cette bonne pratique se sont retournées comme une crêpe en l’espace de quelques jours, mais qu’en plus des experts accrédités et des agences gouvernementales commencent à dire « oui, oui, c’est cela qu’il faut faire ! » … pour des mesures moyenâgeuses qu’on savait devoir éviter ?

C’est comme si demain on disait « on va soigner désormais toutes les maladies avec des saignées et des purges, des lavements pour parler français, parce que c’est ce qu’il faut faire et que tous les scientifiques, enfin ceux qui ont le droit de s’exprimer, unanimement disaient : « oui, oui, jetons aux orties tous les médicaments et les autres traitements, et il faut imposer des saignées et des purges ». Voilà le degré d’absurdité dans lequel nous avons été.

Et donc, j’ai retracé dans le livre « la fabrication du désastre » ce moment où cela bascule, ce moment où l’on remplace une science solide par des mesures complètement délirantes et bien sûr en me posant la question : « Qui ont été les personnes aux commandes ? ».

Et, je me permets de préciser une fois de plus que je documente tout très soigneusement et il y a de nouveau plus de 1000 références dans ce livre et pas pour le plaisir de l’accumulation mais parce que je tiens à ce que tout lecteur qui se pose des questions et qui dise « bon ! là il dit cela, mais comment savoir si c’est vrai ? » de lui donner la référence pour aller vérifier par lui-même.

Une fois ceci posé, il faut effectivement comprendre qu’un tel désastre aura été possible à un moment très particulier dans l’histoire de notre civilisation. On peut observer simplement en regardant autour de nous le dernier concours de l’Eurovision, par exemple, et l’on voit d’innombrables exemples que notre époque est profondément décadente, c’est-à-dire que tous les systèmes sociaux qui sont sensés garantir le vivre ensemble, l’équité, la justice, la démocratie, sont en plein effondrement. Donc, il y a un moment évidemment très particulier de l’évolution de nos sociétés dans lequel cela se produit.

Ensuite, j’analyse comment cela a été rendu possible en rappelant une phrase de Corinne Lalo, admirable journaliste et grand reporter, qui a dit très clairement : 

« Si les journalistes avaient fait leur métier honnêtement, rien de tout cela n’aurait été possible ».

Pourquoi ? Parce que le fait de pouvoir imposer des mesures aussi absurdes et dommageables à la population aura dépendu du fait que la population soit systématiquement et massivement désinformée pour en venir à croire par exemple que le port du masque protégeait, ce qui n’est évidemment pas vrai. Les masques n’ont jamais protégé des virus ni même des bactéries, même en salle d’opération chirurgicale, pour ceux qui connaissent un peu le sujet en détail.

Et donc, j’aborde cette question des « médias, arme de destructions massives ». Alors, heureusement, ils sont en plein effondrement économique et, heureusement, la population n’a plus confiance en eux et elle a bien raison.

Mais, voilà, je décortique la manière dont la presse a agi d’une manière profondément nocive, profondément scandaleuse sur le plan déontologique, mais également profondément illégale. Bien évidemment, je souhaite qu’il y ait rapidement des poursuites pour que les gens qui ont participé à terroriser la population et l’induire en erreur, en mettant sa santé en danger, rendent des comptes devant les tribunaux. Pour cela, encore faudrait-il que les tribunaux fonctionnent, que nous soyons encore dans un Etat de droit. Et malheureusement ce n'est pas exactement ce que l’on observe.

Une fois passé en revue le rôle désastreux de la presse, je m’intéresse aux procédés « d’ingénierie sociale » qui ont été mis en œuvre, c’est-à-dire qu’il y a un ensemble de manipulations psychologiques à grande échelle qui ont été mis en avant par des boîtes de communication et des cabinets de conseil spécialisés dans ce registre, d’une manière dont on a pu voir l’efficacité sur l’impact que cela a eu sur l’opinion publique mais aussi sur les opinions des gens autour de nous. Les gens ont sincèrement cru qu’il fallait absolument éviter de se faire soigner en attendant une injection douteuse. Et si les gens ont été convaincus, c’est parce qu’il y a tout un savoir-faire extrêmement puissant qui a été mis en œuvre que je détaille.

Ensuite, j’ouvre sur une dimension vertigineuse que la plupart des gens ignorent et que l’on appellera « le complexe industriel de la censure ». En fait, ce qui a permis la substitution de réponses absurdes à la bonne science et à la bonne pratique médicale, c’est « une militarisation de la santé publique ». Il y a depuis 20 ans un courant par lequel les départements de la défense et les agences de sécurité, notamment des USA, ont pris le pouvoir sur la santé publique mondiale et, en fait, il y a un phénomène parfaitement comparable dans le domaine de l’information. Il faut savoir que « tous les médias » en Occident aujourd’hui, je dis bien tous les médias, et j’en donne les preuves dans le livre, sont aujourd’hui massivement infiltrés par l’OTAN, par la CIA, et par les agences de sécurité de ce que l’on appelle « l’Etat profond » dans les différents pays. Et donc, leur but n’est évidemment pas d’informer la population mais de veiller à ce que la population croit des choses qui sont fausses pour, soit « vendre des guerres », et cela Julien Assange l’avait annoncé, soit contraindre ou pousser la population à se faire injecter dans le cadre d’une expérimentation médicale qui est interdite par le droit de la santé, croyant bien faire.

Et donc, il y a un complexe industriel qui a pris une censure féroce, on l’a vu, des contenus circulants sur internet, sur les réseaux sociaux, y compris de la bonne science, la meilleure science produite par les meilleurs experts.

Vous savez que les plateformes des réseaux sociaux prétendent ne pas avoir les moyens de lutter contre la pédo-criminalité et que cela serait trop compliqué de bloquer tous les comptes qui s’activent dans ce registre, mais en attendant ils n’ont eu aucune difficulté à bloquer tous les comptes qui cherchaient à faire vivre de la vraie science, et tout cela a été prévu depuis des années et des années.

Donc, j’ai envie de dire que, quand Emmanuel Macron est venu nous raconter « nous sommes en guerre », c’est une absurdité totale ; tout ce système industriel de la censure était prêt et actionné du jour au lendemain d’une manière dont on a vu l’efficacité et les dégâts que cela a commis.

Une fois tout ceci posé, « nous ne pouvons pas éviter le constat que nous sommes bel et bien dans un déferlement totalitaire », nous avons basculé dans un système totalitaire ici et maintenant. Donc, bien sûr, cela n’a pas la même forme qu’en Union Soviétique ou sous Hitler ou sous Mussolini, mais nous trouvons philosophiquement, politiquement, et au niveau de la société dans son ensemble, exactement les ressorts caractéristiques du « totalitarisme ».

Donc, je fais un tour d’horizon de cette question avant d’arriver à la question de fond : « Il y a un coup d’état totalitaire qui est en cours ». Quel constat pouvons-nous poser sur l’état d’avancement de ce projet ? Je ne donnerai pas le fin mot de l’histoire, simplement que je m’appuie évidemment sur des sources absolument magnifiques pour aider à mieux comprendre le moment réel dans lequel nous sommes et quels sont les enjeux. Donc, une fois que l’on a compris que toute cette crise, la gestion de cette crise, a été une catastrophe, un désastre minable, lamentable, toxique, perpétré par des gens qui ont menti systématiquement depuis 4 ans, ce deuxième livre, lui, va vous amener dans toutes les coulisses de cette affaire et notamment en montrant que « tout était prévu depuis 20 ans », tout était préparé depuis 20 ans, et que « NON, ce n’est pas une erreur ou une somme de maladresses, c’est un projet intentionnel et délibéré » ; et la fin du livre vous montre dans quelle direction cela va et quels intérêts cela sert.

Je terminerai en disant que j’ai eu le bonheur et le privilège de bénéficier d’une préface absolument somptueuse du Professeur Christian Perronne, et à elle-même elle vaudrait l’achat du livre ; franchement c’est un texte qui est remarquable et que je partagerai publiquement dans les jours qui viennent, puis d’une postface de Hélène Strohl et Michel Maffesoli. Michel Maffesoli est un des plus grands sociologues, anthropologue et philosophe de notre époque, et cela fait des décennies qu’il montre le changement du monde dans lequel nous sommes. Donc, c’est une contribution vraiment passionnante pour bien apprécier le mouvement d’ensemble dans lequel ces crises s’inscrivent. Hélène Strohl est une ancienne Inspectrice générale des affaires sociales, et elle a une connaissance très, très fine des dispositifs sur le terrain. Donc, je dis que le cœur de mon propos est vraiment encadré par une entrée et une fin absolument somptueuse. Donc, si ce sujet vous intéresse, n’hésitez pas bien sûr à acquérir le livre et puis de toute manière dans les jours qui viennent, je publierai un certain nombre de contenus en vidéos pour mieux éclairer ces différentes facettes que je viens de résumer rapidement ici. J’espère vraiment que ce livre qui est très dense et qui contient beaucoup d’informations qui sont peu connues à l’heure actuelle aidera à faire évoluer la compréhension générale des choses, mais aussi de montrer les responsabilités écrasantes, écrasantes, que portent ceux qui ont infligé ce désastre aux populations, c’est-à-dire nous.


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