Le skipper malouin Louis Burton s’installe à New-York temporairement - France Bleu
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Le skipper malouin Louis Burton s’installe à New-York temporairement

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Arrivé en 9ème position de The Transat entre Lorient et New-York, le skipper malouin Louis Burton et sa famille vont goûter à la vie américaine pendant un mois.

Servane, Lino, Edith et Louis à la mode new-yorkaise devant la maison qu'ils ont louée pour un mois Servane, Lino, Edith et Louis à la mode new-yorkaise devant la maison qu'ils ont louée pour un mois
Servane, Lino, Edith et Louis à la mode new-yorkaise devant la maison qu'ils ont louée pour un mois - Sonya Bakouche

Louis Burton est arrivé ce mardi 7 mai en 9ème position de The Transat, ralenti par une voie d’eau qui l’a handicapé. Il doit repartir de New-York le 29 mai et s’attaquer cette fois à la Transat retour, la New York Vendée. Plutôt que revenir en Bretagne ou faire du tourisme, le skipper de Saint-Malo a décidé de goûter à la vie américaine et new-yorkaise avec femme et enfants.

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Car au centre du projet il y a les deux enfants, Lino, 12 ans, et Édith, 10 ans et demi. Avec "deux transats dans la même année, plus un Vendée Globe, c'était important de trouver une solution pour passer du temps avec eux", explique Louis Burton, depuis les pontons à New-York. Alors, entre les deux transats, Lorient New-York et New-York Vendée, le skipper, sa compagne Servane Escoffier et les deux enfants vont vivre à l’américaine. L’école French American School of New York a accepté d’accueillir les deux petits Malouins, qui n’ont eu qu’une semaine de vacances au printemps, puisqu’ils ont fait leur rentrée le 1ᵉʳ mai à New York. Pour le logement, "on a loué une maison ici, juste à côté de l'école, à 35 minutes de Grand Central".

Même si le rythme est intense pour Lino et Édith, puisque quasiment tous les cours sont en anglais, pour Servane, "c'est plus qu'une solution, c'est une superbe opportunité. On essaie au maximum que ce soit une immersion la plus complète possible pour qu’ils puissent en retirer tous les bienfaits. Parce qu'il y a de belles choses à venir chercher aux États-Unis, notamment à New York. C’est grand, il y a donc plus de monde d'horizons différents. Au niveau de l'ouverture d'esprit, c'est chouette à vivre". Et puis, "on va essayer d'aller voir le Roi Lion à Broadway, des matches de basket ou de baseball", espère Louis Burton, qui continue dans le même temps de préparer son IMOCA Bureau-Vallée à la Transat retour. Et au Vendée Globe évidemment.

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