"Un chaos pas possible", Adriana lâche ses vérités sur sa rupture avec Christian Karembeu

« Un chaos pas possible », Adriana lâche ses vérités sur sa rupture avec Christian Karembeu

Christian et Adriana Karembeu
La fin de son histoire avec Christian Karembeu a eu des effets inattendus pour l’ancienne mannequin.

Linda Evangelista, Elsa ou Agathe de la Fontaine… Les Bleus de 98 ont fait le bonheur des pages people après leur sacre du 12 juillet face au Brésil. Néanmoins, le couple le plus emblématique des champions du monde fut celui formé par Christian Karembeu et la mannequin slovaque Adriana Sklenaríkova, qui devint Adriana Karembeu quelques mois plus tard après leur mariage en décembre 1998.

Leur union durera quinze ans jusqu’à leur divorce début 2011. Pour autant, celle qui est devenue une figure de la télévision française, notamment aux côtés de Michel Cymes, n’a jamais abandonné le nom Karembeu. Elle s’en est expliquée dans une interview accordée à Entrevue à l’occasion de la sortie de son livre Libre.

« Une fois j’ai essayé… »

« J’ai construit ma carrière avec le nom Karembeu, a-t-elle ainsi confié. Aujourd’hui, c’est inimaginable que j’en change. Ce n’est pas pour paraître prétentieuse, mais c’est mon nom d’artiste. » Après son divorce avec l’ancien Madrilène, l’ancienne top-model s’est pourtant remarié à Monaco avec André Ohanian, un homme d’affaires d’origine arménienne à qui elle a été mariée durant huit ans et avec qui elle a eu une fille, née en 2018.

Adriana Karembeu a d’ailleurs bien tenté de changer de nom. « Une fois j’ai essayé, lors d’un événement, de mettre le nom de mon deuxième mari mais ça a fait un chaos pas possible. Les gens me regardaient d’une façon bizarre, se demandaient : ‘Pourquoi elle dit ça ? », a-t-elle soufflé, ajoutant que le Kanak de naissance ne s’était jamais opposé à ce qu’elle conserve son nom: « On n’est pas en contact et je pense que maintenant, il s’en fout ! »

Interrogée dans l’émission Legend, diffusée sur YouTube, la Slovaque a donné une autre raison à sa volonté de conserver son nom. « En Italie, on m’appelle toujours avec mon nom de jeune fille mais en France, ce nom m’a tellement collé à la peau que je l’ai gardé. C’est mon identité. Et puis il y a cette jolie histoire aussi, les Français m’identifient beaucoup à la Coupe du monde, ça nous a fait vibrer, ce moment était magique », a-t-elle en effet expliqué.

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À propos de l'auteur
François Kulawik
Alias « FK ». La sentinelle de la rédac. En veille du soir au matin, jusqu’au soir suivant, François vous sert sur un plateau ce qu’il y a de plus croustillant à l’heure du petit-déjeuner. Profil technique, gros volume de jeu, petite tendance à accumuler les cartons. Ses stats parlent pour lui. Point faible: parfois les deux points décollés.