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Alors que La Planète des singes : le Nouveau Royaume suit son petit gorille de chemin sur les écrans, il est temps de revenir sur le film (raté) de Tim Burton avec Mark Wahlberg, Tim Roth et Helena Bonham Carter.
- À lire aussi : notre critique de La Planète des Singes : le Nouveau Royaume
En 2001, après que des réalisateurs comme Peter Jackson, Oliver Stone ou James Cameron se soient succédé à la tête d’une potentielle nouvelle adaptation du roman de Pierre Boulle La Planète des Singes, c’est finalement Tim Burton qui livre sa version de l’univers simiesque. Avec Mark Wahlberg et Tim Roth au casting, ainsi que des maquillages et des costumes absolument bluffants, le film fait un score correct au box-office. Mais il en est autrement pour la critique, et le monde retient aujourd’hui le long-métrage comme étant l’un des plus gros ratages artistiques de la carrière de son réalisateur.
Pourtant, la promesse était là. L’univers sombre de Burton, ses collaborateurs fétiches et ultra talentueux, un casting de singes aux petits oignons… Cette Planète aurait pu être l’opus capable de regarder la version de Franklin Schaffner de 1968 dans les yeux. Mais des délais de productions aux limites financières, rien ne sera fait pour aider Tim Burton dans sa mise en scène laborieuse, et le désastre sera celui qu’on connaît aujourd’hui.
Retour en vidéo sur le parcours semé d’embûches d’un film finalement plus burtonien qu’on ne le pense, et qui reste à ce jour un cas isolé, aussi bien dans l’histoire de la fameuse planète aux mille singes que dans la filmographie d’un réalisateur qui ne retrouvera jamais l’étincelle par la suite. Et pour en apprendre toujours plus sur la saga, n’hésitez pas à écouter les épisodes dédiés de la Réu’ d’Ecran Large !
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Exact , il y a jamais rien à jeter de Danny Elfman , l’intro est superbe filmée à la manière et mis en musique un peu à la manière de Batman
oups Danny Elfman…
Moi je retiens la BO incroyable de Tim Burton !!!
La Planète des Singes de Burton est assez fidèle au roman de Pierre Boulle et a un intérêt pictural. A voir comme un film néo classique à l’approche théâtrale.
Un tournant dans la carrière de Burton , indéniablement.
Un film avec plus de défauts que de qualités.
La première et grossière première faute est d’avoir choisi Mark Walhberg comme tête d’affiche.le charisme d’une huitre , soporifique au possible , comment passé après Charlton heston en jouant exactement comme dans Ted ou transformers.le cynisme perçu dans les échanges de Taylor avec ses compagnons de voyages et ses réponses désabusées , le pourquoi de son voyage mis en parrelele du final époustouflant rende cette version 68 immortelle et cette version 2001 avec le titre de remake reboot ratée.
Je sais plus si c’était dans feu Studio Magazine ou Première je lisais une interview promo de Mark Walhberg avant la sortie du film où cette truffe disait que la chose la plus importante était qu’il ne jouait pas en pagne.Ca sentait mauvais en amont j’aurais dû me méfier mais quand même après Ed wood et Mars attack , Tim ne pouvait me décevoir.
Hé bien si en fait , la faute a une histoire pourrie et un acteur pourri et une réal mollassonne.pour le souffle épique on repassera
En revanche , Les maquillages, quelle claque dans la gueule quand j’ai vu ça sur grand écran ;que celui de Mme Burton que j’ai trouvé mauvais.
Tim Roth et les autres extraordinaires , celui des femmes un poil ridicule avec un semblant de brushing ou de coupe de cheveux humaine.
Le père de Tim Roth , c’est Heston himself.. il y a aussi Nova.
Des 5 films originaux , le 4 et le 5 sont dispensables , on sent vraiment qu’on a voulu exploiter le filon à mort.les nouvelles moutures sont très bien j’irai prochainement voir le dernier film.
Bref , une petite déception ce film , mais je le revois de temps en temps.
Sinon un docu très intéressant sur la planète des singes 68 sur arte en ce moment avec des beaux moments sur la genèse du film avec le producteur Richard zanuck qui y croyait à mort des le début et des interview de pierre boulle qui n’y croyait pas , le tout remis dans le contexte de lepoque de la lutte sociale des afro-américains.