Pas pour me moquer, juste que je n'ai pas su lutter contre ce calembour. Et encore il est à tiroir.
Donc j'ai effectivement opté pour
Et ensuite?
Souvenir: début des années 90 j'empruntai un opéra de Verdi que je n'eu pas eu le temps d'écouter. Trop compliqué, je manquais de référence. Aux oubliettes, du moins pour un temps.
Cet épisode m'est revenu il y a quelques mois. Une envie d'en découdre avec cette oeuvre multi-facette. Je plonge aidé par AVANT-SCENE OPERA.
Pour apprendre que Verdi, pardon Monsieur Verdi, en a travaillé remanié sept versions, en français et en italien.
Une version réputée avec Roberto Alagna est mon premier choix. J'espérais et j'espère encore que cela m'ouvrira un accès aux grands opéras français, période Meyerbeer, Halevy, Auber.
Seulement voici l'OS, il existe une version en Italien, en quatre actes au lieu de cinq avec comme ténor un de mes chouchous: Franco Corelli!!
Franco Corelli rencontré sur Turandot de Puccini, pardon de Monsieur Puccini, si "Nessun Dorma" appartient désormais à Luciano Pavarotti, la scène d'appel de Turandot c'est Franco Corelli qui la tient.
Ici, je vous ai préparé l'ensemble, le bel air de Liu suivi de la réponse de Calaf joué par Franco Corelli.
7 minutes de bonheur
Donc adieu DON CARLOS et bonjour DON CARLO (oui, c'était ça le deuxième jeu de mot)
Je reviendrai sur l'oeuvre et mon ressenti. Ici je vais me contenter de présenter - pardon Franco - un des plus beaux airs pour basse et ils ne sont pas nombreux.
J'ai trouvé sur Youtube une interprétation de Nicolai Ghiaurov, un grand, qui m'avait déjà envouté sur Boris Godunov. Et c'est encore lui sur la version Italienne que je vais bientôt vous proposer.
À suivre...
PS: Quoi, quoi... c'était drôle avec la photo de Carlos, et il n'y a aucune moquerie, la preuve je sais un titre de Santana complètement inspiré de "Señor Météo" de Carlos... Tiens, le guitariste se nomme aussi Carlos.
Ça tiroir dans tous les sens!!
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